Pendant qu'on discute du sens de Noël (voir ici), chez nous, c'est la maison qui a décidé de se payer (ou plutôt, de nous faire payer) un cadeau... Je préfère voir de cette façon une dépense assez substancielle (ces temps-ci), plutôt que de broyer du noir... budgétaire.
De toute façon, le fait que le four encastré (un Bélanger âgé de 32 ans!) lâche était prévu, mais au printemps seulement, le temps de digérer le fait que la plaque de cuisson (aussi âgée de 32 ans) ait lâché en début d'automne. Une maison sans four, c'est un peu difficile sur la cuisine, quoique le barbecue, la semaine passée, était aussi dégagé qu'en été, mais c'était la semaine passée...
Maintenant, ne reste qu'à attendre la semaine prochaine pour l'arrivée de la merveille et l'installation qui suivra, après avoir élargi l'ouverture pour accueillir ledit objet : ils sont plus larges que dans l'temps ! Ne reste aussi qu'à acquitter les 24 paiements sans frais... (On dira ce qu'on voudra, mais ça rend la pilule plus facile à avaler (et je ne parle pas de ces pilules-là !)
Une connaissance m'a dit qu'elle appelait ce renouvellement d'électro-ménager une sorte de "renouveau conjugal"...
29 décembre 2006
23 décembre 2006
Joyeuses Fêtes !
Décos sans mesure !!!
Voici une illustration de ce dont Christian parlait récemment ici...
Pour faire suite au commentaire lu sur le blogue de Christian, ce n'est pas Viva Las Vegas, mais Viva Val-Bélair ici ;-)
21 décembre 2006
Collusion - c'est sûr !
Les vacances des Fêtes arrivent et... le prix de l'essence vient d'augmenter pour une deuxième fois de suite en deux ou trois semaines. On est passé à 98.4 cents le litre récemment, puis, cette semaine, à 1.034 dollar le litre. Cinq sous d'un coup (plus de dix en deux coups), sans augmentation sensible du prix du baril... une vraie farce !
Bien sûr, le discours OFFICIEL des grandes pétrolières nous dira une fois de plus qu'il n'y a pas collusion : mon oeil ! La vérité, c'est que le con-sommateur doit se soumettre de façon absolue aux appétits voraces des pétrolières qui, avec nos gouvernements et leurs multiples taxes, profitent amplement de notre portefeuille. Une chance que je roule en Honda Civic : ça rend la pilule un peu plus facile à avaler... de travers quand même.
Tiens, tant qu'à faire, je prédis que, quelque part entre le 5 et le 12 janvier, si le prix du baril n'évolue pas beaucoup, nous aurons droit à une ou deux baisses du prix au litre, les vacances et les déplacements (qui vont souvent avec) étant terminés.
Bien sûr, le discours OFFICIEL des grandes pétrolières nous dira une fois de plus qu'il n'y a pas collusion : mon oeil ! La vérité, c'est que le con-sommateur doit se soumettre de façon absolue aux appétits voraces des pétrolières qui, avec nos gouvernements et leurs multiples taxes, profitent amplement de notre portefeuille. Une chance que je roule en Honda Civic : ça rend la pilule un peu plus facile à avaler... de travers quand même.
Tiens, tant qu'à faire, je prédis que, quelque part entre le 5 et le 12 janvier, si le prix du baril n'évolue pas beaucoup, nous aurons droit à une ou deux baisses du prix au litre, les vacances et les déplacements (qui vont souvent avec) étant terminés.
18 décembre 2006
NOUS...
Félicitations à nous tous, blogueurs et blogueuses et autres vivants du cyberespace :-)
Le Times vient de nous élire personnes de l'année !
Continuons donc de développer ce réseau dont nous ne soupçonnons peut-être pas toutes les implications encore aujourd'hui, mais qui fait son chemin de façon sûre. Et longue vie aux blogues !
Le Times vient de nous élire personnes de l'année !
Continuons donc de développer ce réseau dont nous ne soupçonnons peut-être pas toutes les implications encore aujourd'hui, mais qui fait son chemin de façon sûre. Et longue vie aux blogues !
17 décembre 2006
Une belle résurrection
J'avais déjà abordé le sujet ici et là...
Depuis octobre, le groupe vocal s'est retrouvé avec une douzaine de membres en moins (tous ceux qui avaient "créé" en quelque sorte la situation problématique) et quelques autres qui ont décidé, bien humainement, de prendre une pause pour l'automne, question de vivre un peu de calme après la très grosse tempête : ce fut le cas de la directrice qui avait besoin de retomber sur ses pieds et de panser quelques blessures assez évidentes...
Résultat : me suis retrouvé avec une charge de plus, soit de mener les troupes en l'absence de la directrice. Méchant défi... Je vous jure que je me sentais assez petit (j'ai toujours été petit ;-) les premiers soirs de pratique. Petit à petit (encore ce mot!), l'assurance s'est bâtie, j'ai appris à trouver mon style de direction, à clarifier mes exigences, à mener la troupe à bon port, du moins je le crois, après ce qu'on m'a dit... Pendant la session, plus la poussière de la tempête retombait, plus la situation s'améliorait également. Bien sûr, diriger un groupe vocal quand les mains sont déjà très occupées (sur le clavier ou le piano), c'est moins évident : il faut être 50 % au clavier, 50 % à la direction, mais dans les faits, c'est 100 % fois deux!
Le résultat final, lui, c'était hier. Nous avons fait une prestation, formule raccourcie (vu que les débuts de la session d'automne avaient été pas mal sabotés et que tout cela avait grugé du temps), prestation qui, ma fois, était très bien dans les circonstances. Chapeau à tous ceux qui sont restés et qui ont bravé la tempête pour garder le navire à flots : toutes ces voix réunies hier permettaient de retrouver l'esprit commun qui unit tout groupe de ce genre (C'est ben dur à dire en mots, tout ça !). Même la directrice (qui va beaucoup mieux) est venue nous saluer rapidement, faisant un détour spécial, avant d'aller vaquer à des obligations parentales inévitables.
Depuis octobre, le groupe vocal s'est retrouvé avec une douzaine de membres en moins (tous ceux qui avaient "créé" en quelque sorte la situation problématique) et quelques autres qui ont décidé, bien humainement, de prendre une pause pour l'automne, question de vivre un peu de calme après la très grosse tempête : ce fut le cas de la directrice qui avait besoin de retomber sur ses pieds et de panser quelques blessures assez évidentes...
Résultat : me suis retrouvé avec une charge de plus, soit de mener les troupes en l'absence de la directrice. Méchant défi... Je vous jure que je me sentais assez petit (j'ai toujours été petit ;-) les premiers soirs de pratique. Petit à petit (encore ce mot!), l'assurance s'est bâtie, j'ai appris à trouver mon style de direction, à clarifier mes exigences, à mener la troupe à bon port, du moins je le crois, après ce qu'on m'a dit... Pendant la session, plus la poussière de la tempête retombait, plus la situation s'améliorait également. Bien sûr, diriger un groupe vocal quand les mains sont déjà très occupées (sur le clavier ou le piano), c'est moins évident : il faut être 50 % au clavier, 50 % à la direction, mais dans les faits, c'est 100 % fois deux!
Le résultat final, lui, c'était hier. Nous avons fait une prestation, formule raccourcie (vu que les débuts de la session d'automne avaient été pas mal sabotés et que tout cela avait grugé du temps), prestation qui, ma fois, était très bien dans les circonstances. Chapeau à tous ceux qui sont restés et qui ont bravé la tempête pour garder le navire à flots : toutes ces voix réunies hier permettaient de retrouver l'esprit commun qui unit tout groupe de ce genre (C'est ben dur à dire en mots, tout ça !). Même la directrice (qui va beaucoup mieux) est venue nous saluer rapidement, faisant un détour spécial, avant d'aller vaquer à des obligations parentales inévitables.
14 décembre 2006
Crédibilité de l'information
Tout le monde sait (mes élèves aussi) que l'information doit toujours être confrontée, validée, vérifiée.
Mais il existe des sources qui semblent plus crédibles que d'autres au départ. C'est d'une source semblable (la télé publique belge RTBF) qu'ont été victimes 89 % des auditeurs belges quand leur chaine télé leur a annoncé l'indépendance de la Flandre !
Vingt minutes plus tard, ils devaient apprendre que c'était un canular monté par des journalistes voulant susciter un débat sur la question... Drôle de façon d'informer ! Une telle déstabilisation aurait pu se faire dans un contexte de classe, pour susciter l'apprentissage d'une certaine critique, mais, dans ce cas-ci, les implications étaient tout simplement trop grandes... Réfléchir avant d'agir aurait peut-être été une option à considérer de la part des dirigeants de la chaine. On dit que ça rappelle Orson Welles et son invasion extra-terrestre truquée, à la radio, il y a près de 70 ans de cela, mais que, cette fois-ci, la crédibilité apparente était beaucoup plus présente qu'à l'époque...
Mais il existe des sources qui semblent plus crédibles que d'autres au départ. C'est d'une source semblable (la télé publique belge RTBF) qu'ont été victimes 89 % des auditeurs belges quand leur chaine télé leur a annoncé l'indépendance de la Flandre !
Vingt minutes plus tard, ils devaient apprendre que c'était un canular monté par des journalistes voulant susciter un débat sur la question... Drôle de façon d'informer ! Une telle déstabilisation aurait pu se faire dans un contexte de classe, pour susciter l'apprentissage d'une certaine critique, mais, dans ce cas-ci, les implications étaient tout simplement trop grandes... Réfléchir avant d'agir aurait peut-être été une option à considérer de la part des dirigeants de la chaine. On dit que ça rappelle Orson Welles et son invasion extra-terrestre truquée, à la radio, il y a près de 70 ans de cela, mais que, cette fois-ci, la crédibilité apparente était beaucoup plus présente qu'à l'époque...
13 décembre 2006
Bâillons
v.i., impér. prés., 1re pers. pl.
ou
n.m.pl.
Prélude au sommeil ou démonstration d'une lassitude certaine ou d'un manque d'intérêt flagrant.
ou
Mesure exceptionnelle à laquelle peut recourir un gouvernement pressé par le temps, exception qui est en train de devenir la règle... ce qui suscite un certain ressentiment par rapport au grand principe de la démocratie, ressentiment qui peut parfois tourner à la lassitude, quand on voit un parti critiquer vertement cette mesure exceptionnelle trop souvent employée, mais qui l'utiliserait autant, s'il avait le pouvoir : on tourne en rond (et dans les définitions ici, et dans les gouvernements...)
ou
n.m.pl.
Prélude au sommeil ou démonstration d'une lassitude certaine ou d'un manque d'intérêt flagrant.
ou
Mesure exceptionnelle à laquelle peut recourir un gouvernement pressé par le temps, exception qui est en train de devenir la règle... ce qui suscite un certain ressentiment par rapport au grand principe de la démocratie, ressentiment qui peut parfois tourner à la lassitude, quand on voit un parti critiquer vertement cette mesure exceptionnelle trop souvent employée, mais qui l'utiliserait autant, s'il avait le pouvoir : on tourne en rond (et dans les définitions ici, et dans les gouvernements...)
11 décembre 2006
Top Blogues - la suite
Voici le message que j'obtiens en allant à www.topblogues.com :
À cause d'un traffic très élevé, Top Blogues est temporairement hors ligne mais sera de retour très bientôt. Merci de votre patience.
On n'aura pas tout perdu !
À cause d'un traffic très élevé, Top Blogues est temporairement hors ligne mais sera de retour très bientôt. Merci de votre patience.
On n'aura pas tout perdu !
09 décembre 2006
Nez Rouge 2006
Hier soir, jusqu'à tôt ce matin, j'y étais ! Première expérience.
Nous étions un groupe de 30 personnes du boulot, divisé en 10 équipes, à participer. Pour ceux qui n'ont jamais participé ou utilisé le service, les équipes sont composées ainsi : un chauffeur (qui conduit la voiture du client - la personne "émêchée"), un partenaire (qui accompagne le chauffeur dans la voiture du client et qui s'occupe aussi de la paperasse, et une escorte (qui suit la voiture du client dans sa propre voiture et qui ramène l'équipe au prochain rendez-vous avec un autre client à raccompagner).
Arrivés tôt hier soir (trop tôt en fait) à la centrale, nous avons été obligés d'attendre, voire même poireauter très longtemps, avant de partir, à cause d'un ennui administratif. Malgré que les formulaires aient été envoyés deux semaines à l'avance pour vérification (dossier criminel, etc.), aucun examen n'avait été fait sur 3 d'entre eux, paralysant momentanément 3 équipes pour presque deux heures de temps... Je crois qu'il manque des bénévoles pour cet aspect de la tâche...
Dans notre cas, nous avons pu partir vers 23h00 (1re équipe à partir, en fait, parmi les 10), chercher notre premier client à Lac Delage. Puis, presque sans interruption, nous avons effectué 5 raccompagnements (tous dans la ville de Québec) pour terminer aux environs de 4h45 (Retour à la centrale pour remettre nos vestes et remplir quelques papiers d'usage).
Des anecdotes :
- un de nos clients était très émêché (!). Après avoir enfin retrouvé ses clés, il a enfin pu regagner son logis de façon sécuritaire avec nous. (Durée de toute la procédure : au moins 1 heure. Distance totale parcourue avec le client : moins de 1 km !!!)
- une de nos équipes a effectué 2 raccompagnements dans la région de Portneuf (On ne sera pas surpris que cette équipe n'ait pu faire que 3 raccompagnements durant sa nuit...)
- une autre équipe a fait chou blanc à ses 2 premiers essais. Les clients n'étaient pas au point de rendez-vous fixé...
- un collègue a pu conduire une Mercedes récente (Je n'ai pas pu savoir quel modèle : le gars n'est pas maniaque comme moi, snif !) et ainsi réaliser une chose qu'il ne pourra jamais se permettre : quel rêve ! Et que dire de la sécurité active d'un tel véhicule avec toutes les assistances électroniques dont il dispose... Quelques uns de ces dispositifs ont pu être testés avec la petite neige glissante de cette nuit.
Et là, après 3 heures de sommeil, je suis déjà debout (en fait, assis ;-) incapable de dormir plus... Alors j'ai rédigé ce billet.
AJOUT : Je viens de découvrir, sur le site d'Opération Nez Rouge, une page spécialement consacrée aux statistiques. Ainsi, nos raccompagnements de la nuit passée s'inscrivent parmi les 658 faits hier dans la ville de Québec.
08 décembre 2006
Beta Blogger
Ça faisait longtemps que je remettais mon passage à BetaBlogger, faute de temps pour catégoriser les messages (nouvelle fonctionnalité chez Blogger, que j'apprécie beaucoup sur les autres blogues qui en disposent)...
Alors j'ai pris ce temps ! Voilà !
Alors j'ai pris ce temps ! Voilà !
07 décembre 2006
TopBlogues.com ne répond plus
Trouvé ici :
Domain Name: TOPBLOGUES.COM
Registrar: ENOM, INC.
Whois Server: whois.enom.com
Referral URL: http://www.enom.com
Name Server: NS2.MICFO.COM
Name Server: NS1.MICFO.COM
Status: REGISTRAR-LOCK
EPP Status: clientDeleteProhibited
EPP Status: clientTransferProhibited
Updated Date: 15-Nov-2006
Creation Date: 08-Dec-2005
Expiration Date: 08-Dec-2007
Pourtant, le nom de domaine est supposé être valide jusqu'en 2007, il reste exactement un an... demain !
J'aime bien suivre mes statistiques sur ce site. Mon petit blogue est rendu dans le "top" 350-400 ;-)
Nous verrons si ça revient demain : surveillez l'icone au-dessus du sigle de Blogger, ci-contre, plus bas, à droite...
Domain Name: TOPBLOGUES.COM
Registrar: ENOM, INC.
Whois Server: whois.enom.com
Referral URL: http://www.enom.com
Name Server: NS2.MICFO.COM
Name Server: NS1.MICFO.COM
Status: REGISTRAR-LOCK
EPP Status: clientDeleteProhibited
EPP Status: clientTransferProhibited
Updated Date: 15-Nov-2006
Creation Date: 08-Dec-2005
Expiration Date: 08-Dec-2007
Pourtant, le nom de domaine est supposé être valide jusqu'en 2007, il reste exactement un an... demain !
J'aime bien suivre mes statistiques sur ce site. Mon petit blogue est rendu dans le "top" 350-400 ;-)
Nous verrons si ça revient demain : surveillez l'icone au-dessus du sigle de Blogger, ci-contre, plus bas, à droite...
Revenir de très très loin
Hier soir, à Enjeux, Paul Nadler, réalisateur et producteur qui, en 1994, fut victime d'un très grave accident de voiture pendant des vacances en Égypte...
Enjeux présentait son film, Endommagé prise 2 (traduction du titre original BRAINDAMADJ'D TAKE II, hier soir. (Cette fois, on ne peut revoir le reportage, à cause des droits d'une question de droits sur le film.)
Ce qui m'a le plus touché : la fierté de ce gars-là, fierté immense qui se lisait sur son visage, fierté de pouvoir enfin réaliser à nouveau un film après avoir remonté la pente pendant plus de 10 ans... Une détermination à toute épreuve qui a fait mentir toutes les prévisions, même les plus optimistes !
Bien sûr, il y a des séquelles permanentes, mais s'en sortir avec si peu de chance de simplement survivre (5%), c'est vraiment phénoménal.
BRAINDAMADJ'D TAKE II : réalisateur : Paul Nadler, producteur : Jonathan Filkenstein
Enjeux présentait son film, Endommagé prise 2 (traduction du titre original BRAINDAMADJ'D TAKE II, hier soir. (Cette fois, on ne peut revoir le reportage, à cause des droits d'une question de droits sur le film.)
Ce qui m'a le plus touché : la fierté de ce gars-là, fierté immense qui se lisait sur son visage, fierté de pouvoir enfin réaliser à nouveau un film après avoir remonté la pente pendant plus de 10 ans... Une détermination à toute épreuve qui a fait mentir toutes les prévisions, même les plus optimistes !
Bien sûr, il y a des séquelles permanentes, mais s'en sortir avec si peu de chance de simplement survivre (5%), c'est vraiment phénoménal.
BRAINDAMADJ'D TAKE II : réalisateur : Paul Nadler, producteur : Jonathan Filkenstein
06 décembre 2006
Le Guide de l'auto 2007
Bon, c'est fait ! Je l'ai acheté ce dimanche... et je viens à peine de l'ouvrir, question de prendre une petite pause de mes nombreuses corrections (Je ne me plains pas ; j'ai choisi ce job !).
Je ne peux en dire beaucoup plus pour l'instant, car je commence à peine à le feuilleter, ce fameux guide dont la première édition remonte à 1966. Je les ai tous lus, certains à la bibliothèque de mon école secondaire... L'édition de l'an dernier m'avait déçu, à cause des nombreuses fautes et erreurs dans les fiches techniques (Je le lis vraiment, voyez-vous ;-)
Alors espérons que la rigueur aura été un peu plus de mise cette année dans la rédaction et la correction des erreurs... On s'en reparlera dans une "couple" de mois (Je le lis vraiment, mais par bribes et sporadiquement, si on veut donner dans le pléonasme redondant !)
05 décembre 2006
Têtes à claques ...ou à flaques !
En lisant CFD, je tombe sur une référence à cette parodie !
J'aime bien l'allusion à la Porsche devant l'entrée ;-)
Voilà où va l'argent des pubs, nous dit-on...
Allez lire les commentaires des enquêteurs lecteurs de CFD : les Columbo d'Internet ! Des fois j'aimerais avoir un peu moins de corrections à faire pour pouvoir m'instruire sur ces procédures-là !
J'aime bien l'allusion à la Porsche devant l'entrée ;-)
Voilà où va l'argent des pubs, nous dit-on...
Allez lire les commentaires des enquêteurs lecteurs de CFD : les Columbo d'Internet ! Des fois j'aimerais avoir un peu moins de corrections à faire pour pouvoir m'instruire sur ces procédures-là !
02 décembre 2006
BELLe (im)MOBILITÉ
La jungle des forfaits pour cellulaires (on dit "portables" en France ;-), vous connaissez ?
Personnellement, ça me donne presque la nausée : ça doit être pour cette raison que je flottais sur le même forfait depuis 4 ans, soit 2 ans de plus que la date d'échéance du contrat initial...
Mais vient le jour où l'appareil lui-même commence à démontrer des signes de fatigue, alors faut bouger et se taper tout le charabia des vendeurs et tenter de comprendre ce que sera le VRAI TOTAL À PAYER chaque mois. C'est pas mal ce qui compte le plus pour moi !
J'étais déjà chez Bell, alors je commence par la boutique Espace Bell. On me propose quelque chose (voir ici : forfait Mobile 25 moins le "spécial soirée-première année") qui équivaut à ce que j'ai déjà : 100 minutes à 25$, le soir qui commence à 20h (Ah oui ? Me semble que ces temps-ci, avec le soleil qui se couche de plus en plus tôt, c'est plutôt 16h, non?) Soir et weekend, c'est 1000 minutes. Bien sûr, l'afficheur et la boite vocale ne sont pas compris (C'est autour de 10$ de plus par mois). Il faut aussi ajouter les frais d'accès au réseau et le 911, un autre 9,70$ de plus. Bâtard, 'me ramasse avec une facture frôlant les 50$ par mois, taxes incluses...
Allons chez Telus pour voir (C'est juste à côté, à Place Laurier, à Québec). Bienvenue aux nouveaux : on vous aime et on vous accueille avec beaucoup d'espoir. On voit mon dépliant de Bell, et on me dit, sourire en coin : "Qu'est-ce qu'ils vous ont offert, eux ?"
L'offre de Telus : 25$ plus les frais de réseau et le 911 = 34,70$ plus taxes. Tout ça pour 250 minutes et 1000 minutes soir et weekend, afficheur, boite vocale et autres options (dont je n'ai pas besoin) inclus. Ah oui, chez eux, le soir commence à 18h, ce qui me semble plus normal !
Un autre petit tour à l'autre boutique à côté, où on vend des forfaits et des appareils de plusieurs compagnies, dont Bell. Comme j'ai besoin d'une bonne couverture dans les régions éloignées (par exemple, le "chalet" du beau-père est très loin dans le bois = couverture analogique), le vendeur me dit que c'est mieux chez Bell et que je pourrais avoir le même forfait que chez Telus (à une ou deux options inutiles près), mais à la seule condition que je sois un nouvel abonné. ?!?!?
Pause souper.
Retour chez Bell...
Moi :
-Non mais, c'est quoi le truc? On priorise les nouveaux poissons qui viennent mordre à l'hameçon au détriment d'une clientèle fidèle? Me semble que la fidélisation de la clientèle, ça devrait être ça, le plus important, non?
La madame bien gentille :
-Je sais, monsieur. Mais si on téléphone à "la rétention" (département de fidélisation de la clientèle ou quelque chose comme ça : tiens donc, ça existe?), ils vont pouvoir "accoter (sic)" Telus...
Comme on désire garder le même numéro de téléphone pour des raisons évidentes (ma blonde ne veut pas refaire ses cartes d'affaire pour la suppléance dans les écoles...) on lui dit de procéder. Après une bonne demi-heure de tergiversations et de palabres, où le préposé de "la rétention" alterne sa conversation entre la madame bien gentille et moi-même, on finit par avoir ce qu'on voulait. Le monsieur m'explique qu'il a dû "fabriquer" le forfait pièce par pièce, car son ordinateur ne lui permettait pas de le faire d'emblée, etc. Pas grave, c'est le résultat qui m'importe ici...
Résultat donc, téléphone neuf, assez fort en signal (je testerai quand même en région), et environ 10$ par mois dans mes poches par rapport à ce que je payais jusqu'à maintenant. Sur 3 ans, c'est 360$, ce qui n'est pas rien.
Très bon résultat donc, mais il aura fallu travailler fort dans les coins, autant moi que la madame bien gentille que j'ai remerciée pour ses efforts...
En cette ère où seul le court terme est valorisé, on perd de vue la fidélité de la clientèle, gage de réussite à long terme. Aujourd'hui, le diktat semble être "plus de cash, pis plus vite que ça !" Pourquoi faut-il menacer de quitter pour avoir enfin les vraies affaires sur la table?
28 novembre 2006
Rares moments d'évasion
Ça ne m'arrive pas souvent, mais en fin de semaine passée, j'ai décidé de m'accorder ce temps...
Quelques images :
1-Sur la route (Devinez où je suis ;-)
2-Sentier à moins d'un kilomètre de ma destination... Remarquez que la lune tente d'aider les phares de ma voiture ;-)
3-La vue que j'avais, devant l'endroit calme et reposant, en ce samedi PM : quel temps incroyable pour un 25 novembre (Il a fait presque 18 C au soleil en cette région quand même assez nordique !)
J'ai aussi pu découvrir un truc de musicien : la fréquence de résonnance de deux petits lacs légèrement gelés (à peine quelques centimètres de glace). Quand on y lance une roche, on entend la surface faire une note de musique assez aiguë chaque fois que la roche entre en contact avec la glace... Assez bizarre ! Voir le petit film tourné avec ma caméra numérique. Montez le son pour tenter d'entendre un peu le phénomène, malgré la faible qualité du son !
Quelques images :
1-Sur la route (Devinez où je suis ;-)
2-Sentier à moins d'un kilomètre de ma destination... Remarquez que la lune tente d'aider les phares de ma voiture ;-)
3-La vue que j'avais, devant l'endroit calme et reposant, en ce samedi PM : quel temps incroyable pour un 25 novembre (Il a fait presque 18 C au soleil en cette région quand même assez nordique !)
J'ai aussi pu découvrir un truc de musicien : la fréquence de résonnance de deux petits lacs légèrement gelés (à peine quelques centimètres de glace). Quand on y lance une roche, on entend la surface faire une note de musique assez aiguë chaque fois que la roche entre en contact avec la glace... Assez bizarre ! Voir le petit film tourné avec ma caméra numérique. Montez le son pour tenter d'entendre un peu le phénomène, malgré la faible qualité du son !
27 novembre 2006
Quand un politicien s'emmêle... + les blogues.
Un maire décide de faire taire deux blogueurs, André Bérard et Luc Millette. L'histoire est relatée à de nombreux endroits. Voir chez Max, chez CFD, ou chez le Gros bon sens, ou encore outremer...
La communauté des blogueurs a maintenant une opportunité de démontrer sa solidarité et son poids démocratique : ce n'est pas rien !
Un dossier à suivre.
La communauté des blogueurs a maintenant une opportunité de démontrer sa solidarité et son poids démocratique : ce n'est pas rien !
Un dossier à suivre.
24 novembre 2006
Calcul rapide !
Stephan en parle ici.
Allez voir cette méthode de calcul et ... admirez la rapidité !
Je cherche à comprendre complètement le truc...
Je vais essayer quelques exemples plus tard et vous en faire part si je découvre comment ça marche en détails.
Allez voir cette méthode de calcul et ... admirez la rapidité !
Je cherche à comprendre complètement le truc...
Je vais essayer quelques exemples plus tard et vous en faire part si je découvre comment ça marche en détails.
21 novembre 2006
Ça va chauffer ?
Les défuntes compagnies parentes, Flamidor et Les Pro du chauffage, sont maintenant fermées. Mais l'OPC est sur le dossier (La recherche sur leur site est tout sauf conviviale, mais quand même... J'espère qu'on s'y occupe mieux de ce dossier "chaud" que du site...)
Je me rappelle avoir été appelé 4 fois de suite l'automne dernier, pour de la sollicitation téléphonique (moyen de mise en marché que j'exècre au plus haut point). La dernière fois, nous leur avions poliment fait la menace de les dénoncer à l'OPC pour harcèlement, s'«ils» ne nous enlevaient pas immédiatement de leur liste. OUF ! Les appels ont enfin cessé après cette menace.
J'avais toujours eu un doute sérieux sur leur promesse d'économie miracle sur les frais de chauffage. Force m'est aujourd'hui d'admettre que mes doutes étaient plus que fondés. Jamais je n'aurais pensé que l'arnaque allait aussi loin. Voir à ce sujet le reportage de La Facture.
Je plains les consommateurs qui ont été floués dans cette situation. Je doute sérieusement qu'ils puissent revoir leur argent de sitôt, sinon jamais...
Bref, quand c'est trop beau pour être vrai, il y a anguille sous roche.
Je me rappelle avoir été appelé 4 fois de suite l'automne dernier, pour de la sollicitation téléphonique (moyen de mise en marché que j'exècre au plus haut point). La dernière fois, nous leur avions poliment fait la menace de les dénoncer à l'OPC pour harcèlement, s'«ils» ne nous enlevaient pas immédiatement de leur liste. OUF ! Les appels ont enfin cessé après cette menace.
J'avais toujours eu un doute sérieux sur leur promesse d'économie miracle sur les frais de chauffage. Force m'est aujourd'hui d'admettre que mes doutes étaient plus que fondés. Jamais je n'aurais pensé que l'arnaque allait aussi loin. Voir à ce sujet le reportage de La Facture.
Je plains les consommateurs qui ont été floués dans cette situation. Je doute sérieusement qu'ils puissent revoir leur argent de sitôt, sinon jamais...
Bref, quand c'est trop beau pour être vrai, il y a anguille sous roche.
19 novembre 2006
Mon rêve !
Je pense que l'ordi ne s'était même pas démocratisé que j'en rêvais déjà. À ce que je vois ici, je n'étais pas le seul et cet «autre» a poussé plus loin que moi l'idée...
À 1400 $, ça refroidit les ardeurs, par contre :-(
À 1400 $, ça refroidit les ardeurs, par contre :-(
Messmer
Hier soir, j'ai pu découvrir ce drôle de personnage, hypnotiseur-humoriste (comme il se définit lui-même), lors d'un spectacle "corporatif" qu'il donnait pour la municipalité de St-Augustin.
Pour un sceptique comme moi, c'était tout simplement fascinant, et ce, pour plusieurs raisons. D'abord, je connaissais bien une des personnes volontaires. Alors j'ai pu en savoir un peu plus sur le déroulement des événements, à partir du regard posé a posteriori par cette personne volontaire.
Les personnes ne jouent donc pas la comédie et vivent vraiment ce que Messmer leur suggère. Bien sûr, il faut être coopératif au départ et accepter de se placer sous la dépendance de la volonté de l'hypnotiseur. C'est l'évidence même. (Il y avait un test au départ et je l'échouais largement : pas bon candidat, moi ;-) Une fois cette étape de "soumission" franchie, c'est hallucinant ce que l'on peut faire faire aux hypnotisés. Ainsi, la personne volontaire que je connais a oublié complètement le chiffre 7 et comptait ses doigts ainsi : 1, 2, 3, 4, 5, 6, ..., 8, 9, 10 ! Également, 4+3 donnent : ...8-1 ! Un autre exemple est lorsque cette même personne a complètement perdu l'usage de ses cordes vocales... Ou encore quand elle est allée souhaiter "Bonne année grand-papa !" au maire Marcel Corriveau... Ce ne sont que quelques exemples, mais plusieurs autres faits m'ont convaincu de l'efficacité du phénomène pour qui s'abandonne réellement...
Voir aussi des extraits d'interview avec Messmer ici.
Pour un sceptique comme moi, c'était tout simplement fascinant, et ce, pour plusieurs raisons. D'abord, je connaissais bien une des personnes volontaires. Alors j'ai pu en savoir un peu plus sur le déroulement des événements, à partir du regard posé a posteriori par cette personne volontaire.
Les personnes ne jouent donc pas la comédie et vivent vraiment ce que Messmer leur suggère. Bien sûr, il faut être coopératif au départ et accepter de se placer sous la dépendance de la volonté de l'hypnotiseur. C'est l'évidence même. (Il y avait un test au départ et je l'échouais largement : pas bon candidat, moi ;-) Une fois cette étape de "soumission" franchie, c'est hallucinant ce que l'on peut faire faire aux hypnotisés. Ainsi, la personne volontaire que je connais a oublié complètement le chiffre 7 et comptait ses doigts ainsi : 1, 2, 3, 4, 5, 6, ..., 8, 9, 10 ! Également, 4+3 donnent : ...8-1 ! Un autre exemple est lorsque cette même personne a complètement perdu l'usage de ses cordes vocales... Ou encore quand elle est allée souhaiter "Bonne année grand-papa !" au maire Marcel Corriveau... Ce ne sont que quelques exemples, mais plusieurs autres faits m'ont convaincu de l'efficacité du phénomène pour qui s'abandonne réellement...
Voir aussi des extraits d'interview avec Messmer ici.
Caméras et YouTube...
Pour continuer sur les caméras à la suite de ceci...
YouTube, c'est parfois très amusant, parfois instructif... et parfois, on y dépasse les bornes. (Remarquez que je n'ai pas dit que YouTube dépasse les bornes : nuance très importante !)
Une enseignante du Saguenay (ou de Saguenay, c'est pareil ;-) s'est fait filmer à son insu par des élèves l'an passé et ça s'est retrouvé pendant un temps sur YouTube. J'ai lu quelques commentaires ici. Ce n'est pas mon genre d'émission du tout, et je prends quelques commentaires avec un grain de sel, mais il en ressort tout de même certains points importants que je partage.
1-On sait que, avant de publier les photos d'élèves participant à une activité quelconque de l'école, il faut passer les photos une à une pour vérifier si le visage de tel ou telle élève figure sur une photo, parce que nous ne devons pas diffuser la photo de cet élève (Refus des parents d'autoriser toute diffusion, quelle qu'elle soit - refus que nous respectons à la lettre, bien sûr).
Quand on sait cela, donc, et qu'on voit un événement de la sorte (diffusion non autorisée, mais de la part d'élèves), on se demande s'il n'y a pas eu un manque d'éducation quelque part ou si, plus simplement, les ados qui ont fait ça ont mesuré les conséquences de leur geste AVANT... Le fameux «réfléchir avant d'agir», ça a du bon ! Et le consentement à la diffusion d'images, ça doit pouvoir fonctionner dans les deux sens, élève ou prof...
2-Après la télé-réalité, où la réalité n'a que le nom (tout le monde sait que c'est scénarisé, ces affaires-là !), on a maintenant la réalité diffusée (Quoique, dans ce cas-ci, les élèves ont "organisé" l'événement en tentant volontairement de faire fâcher leur enseignante...)
3-Ça me fait penser aux cas de personnes qui se diffusent elles-mêmes sur Internet et qui mesurent après coup seulement les conséquences de leur geste quand l'image ou le film est repris à d'autres fins que la première diffusion...
4-Bref, l'outil technologique est une chose, ni bonne ni mauvaise en soi. Ce sont les gens qui s'en servent qui réalisent ainsi une chose que l'on qualifiera de bonne ou de mauvaise. L'éducation doit passer par là : les valeurs et la façon de se servir des outils... (Avec le temps, les outils ont changé, mais l'être humain, lui, pas vraiment...)
YouTube, c'est parfois très amusant, parfois instructif... et parfois, on y dépasse les bornes. (Remarquez que je n'ai pas dit que YouTube dépasse les bornes : nuance très importante !)
Une enseignante du Saguenay (ou de Saguenay, c'est pareil ;-) s'est fait filmer à son insu par des élèves l'an passé et ça s'est retrouvé pendant un temps sur YouTube. J'ai lu quelques commentaires ici. Ce n'est pas mon genre d'émission du tout, et je prends quelques commentaires avec un grain de sel, mais il en ressort tout de même certains points importants que je partage.
1-On sait que, avant de publier les photos d'élèves participant à une activité quelconque de l'école, il faut passer les photos une à une pour vérifier si le visage de tel ou telle élève figure sur une photo, parce que nous ne devons pas diffuser la photo de cet élève (Refus des parents d'autoriser toute diffusion, quelle qu'elle soit - refus que nous respectons à la lettre, bien sûr).
Quand on sait cela, donc, et qu'on voit un événement de la sorte (diffusion non autorisée, mais de la part d'élèves), on se demande s'il n'y a pas eu un manque d'éducation quelque part ou si, plus simplement, les ados qui ont fait ça ont mesuré les conséquences de leur geste AVANT... Le fameux «réfléchir avant d'agir», ça a du bon ! Et le consentement à la diffusion d'images, ça doit pouvoir fonctionner dans les deux sens, élève ou prof...
2-Après la télé-réalité, où la réalité n'a que le nom (tout le monde sait que c'est scénarisé, ces affaires-là !), on a maintenant la réalité diffusée (Quoique, dans ce cas-ci, les élèves ont "organisé" l'événement en tentant volontairement de faire fâcher leur enseignante...)
3-Ça me fait penser aux cas de personnes qui se diffusent elles-mêmes sur Internet et qui mesurent après coup seulement les conséquences de leur geste quand l'image ou le film est repris à d'autres fins que la première diffusion...
4-Bref, l'outil technologique est une chose, ni bonne ni mauvaise en soi. Ce sont les gens qui s'en servent qui réalisent ainsi une chose que l'on qualifiera de bonne ou de mauvaise. L'éducation doit passer par là : les valeurs et la façon de se servir des outils... (Avec le temps, les outils ont changé, mais l'être humain, lui, pas vraiment...)
17 novembre 2006
À propos d'accomodement...
C'est drôle comment peut se commencer un billet.
1-Je lis un commentaire d'une visiteure inconnue à propos d'une de mes photos ici.
2-Je vais voir son blogue, ben sûr !
3-Je découvre un de ses billets : tiens donc, le même sujet dont je voulais traiter tout à l'heure en écoutant RDI et une entrevue de Mario Dumont...
Tout un lien !...
Alors ça vient, ce billet ? Oui, j'y arrive !
L'entrevue que je viens d'entendre avec Mario Dumont, dont je suis souvent loin de partager les idées, a achevé de m'inviter à parler de ce sujet... Jusqu'où doit-on aller dans l'accomodement ? Doit-on s'effacer dans un coin et se renier au nom du respect de l'autre (et je ne parle pas seulement du cas des Juifs hassidiques ici, mais de tout immigrant en général) ? J'veux ben croire que, comme Québécois habitués à «être nés pour un p'tit pain», on soit enclins, par nature ou par «arrière fond culturel», à bien traiter les «étranges» qui nous visitent ou qui viennent s'installer chez nous (et c'est tout à notre honneur !), mais le respect des autres ne doit jamais se faire au détriment du respect de soi-même !
Et il est là, je crois, le problème. L'équilibre (chose instable s'il en est une : regardez un funambule pour comprendre !) penche trop vers les autres et pas assez vers soi : on doit trouver le milieu, l'équilibre entre les autres et soi. Pas facile me direz-vous : peut-être. Mais c'est faisable !
Sont-ce les vieux principes hérités de notre tradition judéo-chrétienne qui refont surface ou est-ce simplement de l'à-plat-ventrisme face à un certain pouvoir ($) ou encore un trop grand souci de rectitude politique poussée à l'excès ?... Je ne sais pas, mais il est temps qu'on s'affirme un peu plus que ça, tout en respectant autrui.
1-Je lis un commentaire d'une visiteure inconnue à propos d'une de mes photos ici.
2-Je vais voir son blogue, ben sûr !
3-Je découvre un de ses billets : tiens donc, le même sujet dont je voulais traiter tout à l'heure en écoutant RDI et une entrevue de Mario Dumont...
Tout un lien !...
Alors ça vient, ce billet ? Oui, j'y arrive !
L'entrevue que je viens d'entendre avec Mario Dumont, dont je suis souvent loin de partager les idées, a achevé de m'inviter à parler de ce sujet... Jusqu'où doit-on aller dans l'accomodement ? Doit-on s'effacer dans un coin et se renier au nom du respect de l'autre (et je ne parle pas seulement du cas des Juifs hassidiques ici, mais de tout immigrant en général) ? J'veux ben croire que, comme Québécois habitués à «être nés pour un p'tit pain», on soit enclins, par nature ou par «arrière fond culturel», à bien traiter les «étranges» qui nous visitent ou qui viennent s'installer chez nous (et c'est tout à notre honneur !), mais le respect des autres ne doit jamais se faire au détriment du respect de soi-même !
Et il est là, je crois, le problème. L'équilibre (chose instable s'il en est une : regardez un funambule pour comprendre !) penche trop vers les autres et pas assez vers soi : on doit trouver le milieu, l'équilibre entre les autres et soi. Pas facile me direz-vous : peut-être. Mais c'est faisable !
Sont-ce les vieux principes hérités de notre tradition judéo-chrétienne qui refont surface ou est-ce simplement de l'à-plat-ventrisme face à un certain pouvoir ($) ou encore un trop grand souci de rectitude politique poussée à l'excès ?... Je ne sais pas, mais il est temps qu'on s'affirme un peu plus que ça, tout en respectant autrui.
14 novembre 2006
L'eau
Plusieurs en parlent (voir ici et là), mais dans ce cas-ci, c'est une image que j'ai captée l'autre jour sur une plante intérieure. La plante, dont j'oublie le nom, avait cette minuscule goutte complètement sphérique au bout de sa fleur blanche (surexposée sur la photo, car je voulais capter la goutte principalement...)
Et en voici une autre version, de plus près cette fois pour mieux voir ici les reflets sur la sphère d'eau... "Click to enlarge", comme on dit chez Shakespeare ;-)
09 novembre 2006
L'aphasie à la suite d'un AVC...
Encore à Enjeux, un reportage sur des aphasiques sévères qui s'en sortent après moult efforts de réadaptation. Quelle détermination, mais quels obstacles à surmonter aussi...
Je n'ai pu m'empêcher de penser à Ian qui livre sa bataille actuellement en compagnie des siens...
J'ai aussi pensé à un collègue enseignant qui a vécu un accident semblable il y a deux ou trois semaines à peine...
Courage et persévérance sont les seules choses que je peux leur souhaiter...
Je n'ai pu m'empêcher de penser à Ian qui livre sa bataille actuellement en compagnie des siens...
J'ai aussi pensé à un collègue enseignant qui a vécu un accident semblable il y a deux ou trois semaines à peine...
Courage et persévérance sont les seules choses que je peux leur souhaiter...
Liberté 85 ?
Cette semaine, à Enjeux, on a pu voir un reportage sur le fameux mythe «Liberté 55»...
Personnellement, je n'ai rien contre le travail. J'ai commencé très tôt, même gratuitement. Il faut dire que mon père était gérant d'un commerce, ce qui a facilité mon intégration. Mais j'adorais aider et même, à 12 ans, «coacher» les nouveaux employés ! Dans la famille, le travail a toujours été valorisé et encouragé. Mon grand-père est mort à 80 ans et il a travaillé jusqu'à trois mois avant sa mort ... et il aimait ça ! (Aspect très important de toute tâche)
Il faut que les gens soient occupés quand vient le temps de la retraite, je n'en doute aucunement. Les retraités vont souvent retourner sur le marché du travail, mais à un rythme moindre que celui qu'ils avaient à 30, 40 ou même 50 ans. Et c'est normal, à mon avis.
Ceci dit, même si je suis on ne peut plus d'accord avec Félix Leclerc quand il dit "La meilleure façon de tuer un homme, c'est de le payer à ne rien faire", je pense que «Liberté 85» est nettement exagéré. On doit pouvoir profiter un peu plus de la vie à un certain âge... avant que la santé ne nous quitte définitivement.
Comme enseignant, je me vois mal enseigner au secondaire jusqu'à 65 ou 70 ans, alors encore moins à 85 ans. Tous les enseignants que j'ai connus et qui dépassent 60 ans sont rapidement fatigués, voire écrasés par la lourdeur de la tâche. (Tâche qui s'est pas mal alourdie depuis les 15 dernières années, si je compare mes débuts avec maintenant : et pourtant, je ne suis pas vieux !)
Alors si on veut encourager le travail dans notre société sur une plus longue période de temps, et nous faire travailler plus (dixit Lucien Bouchard) ou mieux (dixit Bernard Landry), il faudra réaménager sérieusement les possibilités d'emploi pour certains secteurs où le besoin d'être assez vif et alerte est absolument nécessaire, etc.* Bref, on devra avoir des emplois qui tiennent compte de la capacité réduite avec l'âge. (Et des horaires réduits également !) Car, bien qu'on ait augmenté la longévité de beaucoup depuis quelques décennies, on n'a pas augmenté d'autant la qualité de vie pendant ces années de plus... Il reste beaucoup de progrès à faire en santé, notamment.
*J'ajouterais aussi que, si on veut nous faire travailler mieux, il faudrait peut-être nous outiller un peu mieux, surtout dans les écoles où les ordinateurs du plan Marois tombent en décrépitude et nuisent considérablement à la productivité. Mais ça, c'est une autre histoire...
Personnellement, je n'ai rien contre le travail. J'ai commencé très tôt, même gratuitement. Il faut dire que mon père était gérant d'un commerce, ce qui a facilité mon intégration. Mais j'adorais aider et même, à 12 ans, «coacher» les nouveaux employés ! Dans la famille, le travail a toujours été valorisé et encouragé. Mon grand-père est mort à 80 ans et il a travaillé jusqu'à trois mois avant sa mort ... et il aimait ça ! (Aspect très important de toute tâche)
Il faut que les gens soient occupés quand vient le temps de la retraite, je n'en doute aucunement. Les retraités vont souvent retourner sur le marché du travail, mais à un rythme moindre que celui qu'ils avaient à 30, 40 ou même 50 ans. Et c'est normal, à mon avis.
Ceci dit, même si je suis on ne peut plus d'accord avec Félix Leclerc quand il dit "La meilleure façon de tuer un homme, c'est de le payer à ne rien faire", je pense que «Liberté 85» est nettement exagéré. On doit pouvoir profiter un peu plus de la vie à un certain âge... avant que la santé ne nous quitte définitivement.
Comme enseignant, je me vois mal enseigner au secondaire jusqu'à 65 ou 70 ans, alors encore moins à 85 ans. Tous les enseignants que j'ai connus et qui dépassent 60 ans sont rapidement fatigués, voire écrasés par la lourdeur de la tâche. (Tâche qui s'est pas mal alourdie depuis les 15 dernières années, si je compare mes débuts avec maintenant : et pourtant, je ne suis pas vieux !)
Alors si on veut encourager le travail dans notre société sur une plus longue période de temps, et nous faire travailler plus (dixit Lucien Bouchard) ou mieux (dixit Bernard Landry), il faudra réaménager sérieusement les possibilités d'emploi pour certains secteurs où le besoin d'être assez vif et alerte est absolument nécessaire, etc.* Bref, on devra avoir des emplois qui tiennent compte de la capacité réduite avec l'âge. (Et des horaires réduits également !) Car, bien qu'on ait augmenté la longévité de beaucoup depuis quelques décennies, on n'a pas augmenté d'autant la qualité de vie pendant ces années de plus... Il reste beaucoup de progrès à faire en santé, notamment.
*J'ajouterais aussi que, si on veut nous faire travailler mieux, il faudrait peut-être nous outiller un peu mieux, surtout dans les écoles où les ordinateurs du plan Marois tombent en décrépitude et nuisent considérablement à la productivité. Mais ça, c'est une autre histoire...
05 novembre 2006
Sens dessus dessous
Découvert cette semaine dans une circulaire, la nouveauté 2006 en décoration de Noël : le sapin INVERSÉ !!! On aura tout vu !
04 novembre 2006
Yamaha Civic !
Ça faisait un bout que je n'avais pas envoyé une photo, alors en voici une sur laquelle je suis retombé par hasard cette semaine.
La toile de fond, c'est un Royal Star Venture 2003. Le Civic, c'est mon vieux 2000 âgé de quelque 180000 km et, aussi, oui je sais, on voit que le front du photographe se dégarnit lentement mais sûrement. Ouais, pis ?...
La toile de fond, c'est un Royal Star Venture 2003. Le Civic, c'est mon vieux 2000 âgé de quelque 180000 km et, aussi, oui je sais, on voit que le front du photographe se dégarnit lentement mais sûrement. Ouais, pis ?...
03 novembre 2006
Présentation météo
Voici une lettre que je viens d'envoyer à Radio-Canada, section Téléjournal-Québec.
Vous pouvez, si cela vous le dit, faire de même en écrivant ici.
La lettre est libellée comme suit:
Il y a quelque temps que je veux vous donner mon opinion sur l'écran météo régional que vous affichez vers la fin du bulletin météo du téléjournal de 18h00.
On dirait une présentation PowerPoint faite par un élève du secondaire (je suis bien placé pour le dire : j'enseigne dans ce milieu !), le genre d'élève qui veut mettre des effets "plein la vue" à tout prix. Trop d'effets visuels inutiles nuisent à la clarté de la communication. Chaque fois que je vois arriver de partout des chiffres (températures) et des symboles météo pêle-mêle qui finissent par "se ranger" au bout d'une ou deux secondes, je perds le fil de ce qui se dit pendant ce temps, tellement c'est distrayant.
Le même écran, sans effet visuel, tiendrait bien mieux son rôle de SOUTIEN visuel. Au pis aller, on pourrait faire arriver tous les symboles du même côté, mais ce serait déjà trop distrayant, à mon humble avis.
Bref, un soutien visuel doit demeurer un soutien, et non être le centre d'attraction qui dilue, voire qui élude complètement le message.
Merci de considérer ma demande.
Un auditeur fidèle
Vous pouvez, si cela vous le dit, faire de même en écrivant ici.
La lettre est libellée comme suit:
Il y a quelque temps que je veux vous donner mon opinion sur l'écran météo régional que vous affichez vers la fin du bulletin météo du téléjournal de 18h00.
On dirait une présentation PowerPoint faite par un élève du secondaire (je suis bien placé pour le dire : j'enseigne dans ce milieu !), le genre d'élève qui veut mettre des effets "plein la vue" à tout prix. Trop d'effets visuels inutiles nuisent à la clarté de la communication. Chaque fois que je vois arriver de partout des chiffres (températures) et des symboles météo pêle-mêle qui finissent par "se ranger" au bout d'une ou deux secondes, je perds le fil de ce qui se dit pendant ce temps, tellement c'est distrayant.
Le même écran, sans effet visuel, tiendrait bien mieux son rôle de SOUTIEN visuel. Au pis aller, on pourrait faire arriver tous les symboles du même côté, mais ce serait déjà trop distrayant, à mon humble avis.
Bref, un soutien visuel doit demeurer un soutien, et non être le centre d'attraction qui dilue, voire qui élude complètement le message.
Merci de considérer ma demande.
Un auditeur fidèle
Poissons et fruits de mer ?
Pour l'amateur de poissons et de fruits de mer en moi, cette nouvelle est plutôt catastrophique : nous n'en aurions plus pour longtemps à pouvoir profiter de ces espèces si délicieuses... (Voir ici)
Depuis le temps qu'on le dit, cette fois-ci, ça semble vraiment très sérieux, voire désastreux... Mais qui va s'en soucier réellement cette fois ? Encore une fois, on va dire que c'est bien dommage et nous ne ferons rien ? (Nous = ici la société en général et certaines entreprises en particulier...)
Depuis le temps qu'on le dit, cette fois-ci, ça semble vraiment très sérieux, voire désastreux... Mais qui va s'en soucier réellement cette fois ? Encore une fois, on va dire que c'est bien dommage et nous ne ferons rien ? (Nous = ici la société en général et certaines entreprises en particulier...)
Têtes à claques (.tv)
J'ai découvert récemment ce site assez intéressant. Ce sont quelques collègues qui m'en ont d'abord parlé et ça a fait par la suite boule de neige (expression de circonstance pour ceux qui ont regardé dehors vers 14h30 cet PM à Québec...)
Bien sûr, certains gags sont meilleurs que d'autres, voire parfois carrément savoureux et hilarants. Je pense ici au sketch sur l'Halloween et celui des pilotes...
La page d'accueil s'ouvre sur le top 9. Pour voir la collection complète, cliquez ici.
Attention : à ne pas confondre avec le site de caricatures dont on parle entre autres ici. Et encore moins avec le site tetesaclaques.COM où des personnes légèrement susceptibles (!) qui gèrent ce site ont mis deux avertissements pour qu'aucun Québécois ne s'inscrive à leur site pour demander des vidéos...
Bien sûr, certains gags sont meilleurs que d'autres, voire parfois carrément savoureux et hilarants. Je pense ici au sketch sur l'Halloween et celui des pilotes...
La page d'accueil s'ouvre sur le top 9. Pour voir la collection complète, cliquez ici.
Attention : à ne pas confondre avec le site de caricatures dont on parle entre autres ici. Et encore moins avec le site tetesaclaques.COM où des personnes légèrement susceptibles (!) qui gèrent ce site ont mis deux avertissements pour qu'aucun Québécois ne s'inscrive à leur site pour demander des vidéos...
01 novembre 2006
3 X 2 = 6
Ça m'énerve et faut que je le dise : quand j'entends «TRIPLE DOUBLE V», ça me turlupine. Un triple-double-v, est-ce un sextuple v ? Est-ce trois w mis bout à bout ? Pas clair, cette multiplication verbale...
-Barman, un triple double w-hisky, s.v.p.
...ou l'art de se paqueter la fraise trop vite!
On est à l'époque du fast-food (et donc du fast-drink?), parait-il.
En fait, le problème vient du nom de la lettre elle-même : double-v.
En anglais, on dit double-u... Le problème demeure alors ici aussi.
Sur ce, je m'en vais prendre un bon grand verre... d'eau : un double, bien sûr, ou un triple double... Santé !
-Barman, un triple double w-hisky, s.v.p.
...ou l'art de se paqueter la fraise trop vite!
On est à l'époque du fast-food (et donc du fast-drink?), parait-il.
En fait, le problème vient du nom de la lettre elle-même : double-v.
En anglais, on dit double-u... Le problème demeure alors ici aussi.
Sur ce, je m'en vais prendre un bon grand verre... d'eau : un double, bien sûr, ou un triple double... Santé !
31 octobre 2006
AppleSTORE.ca - en français s.v.p.
L'autre jour, je me commande un clavier sur le Apple Store. Évidemment, on doit le faire en anglais, avec une fenêtre en français par ci par là, quand on pense à cliquer sur la p'tite image identifiée "en français"... Jusque là, c'est pas terrible, mais pas catastrophique non plus, mais ça pourrait facilement être mieux!
Je reçois par erreur un clavier USA au lieu d'un clavier canadien-français. Et là, l'aventure commence. Impossible de trouver quelque chose sur le site de Apple : alors, téléphonons! (En français si possible... bien sûr)
Labyrinthe alambiqué de boites vocales débouchant toutes sans exception dans un cul-de-sac avec impossibilité de retour. Recomposition du numéro indiqué sur le Apple Store et nouvelle tentative avec d'autres options... Même destination : cul-de-sac! Parfois, on arrive sur un message disant que le service est fermé, et ce, pendant les heures d'ouverture. À n'y rien comprendre!
Après quelques minutes perdues, je reporte le tout, faute de temps... Au moment où je réussis à avoir un peu de ce temps, je finis par faire n'importe quelle option dans les menus de boites vocales pour finalement arriver, en anglais, à une vraie personne (Ça existe encore, ça, du vrai monde au bout d'une ligne téléphonique? Oui, mais seulement en anglais chez Apple.ca, semble-t-il...) J'explique mon cas et on finit par me transférer à une personne "french speaking" : OUF, pensai-je.
Mais j'avais tort. La personne fut très polie, mais comme elle était aux USA (je n'ai pas encore compris pourquoi, mais bon...) elle ne pouvait complètement boucler la transaction pour la commande du bon clavier. Elle me donne le numéro du département des ventes de Apple.ca : j'aboutis au soutien technique : aucun menu de boite vocale concernant une vente quelconque... Je pitonne au hasard pour me faire dire par quelqu'un qu'il me faut composer... le premier numéro de tous, celui avec les culs-de-sac de boites vocales : merde! Je compose ce numéro en faisant n'importe quelle option (car ça donne absolument rien de les écouter) et on finit par me dire que, pour commander le bon clavier, il serait mieux que je le fasse en ligne!!!
Non, mais faut-tu croire au produit pour vouloir quand même acheter après tout ce non-service... Les employés à qui j'ai parlé sont "ben ben fins", mais ils sont pognés dans une structure dans laquelle, tout comme nous, ils sont empêtrés ou empêchés (d'agir). Ils le déplorent, ont fait des demandes à leurs patrons, me disent-ils, mais ça semble dur de faire bouger cette structure.
La maison qui rend fou, dans Les 12 travaux d'Astérix, vous connaissez?
Tout ça, c'était le 25 octobre.
Étant supposé recevoir un courriel m'indiquant la procédure de retour à faire, j'ai attendu ce courriel... en vain. Je viens de téléphoner pour avoir ladite procédure de retour de marchandise dans ma boite de courriel et, surprise!, le dédale des boites vocales ne conduit plus aux culs-de-sac. Au moins un problème de partiellement réglé!
Alors je me dis quand même, aujourd'hui encore, que Apple.ca et les services en français, ça fait pitié pas mal... Malheureux que tout cela... Ben dommage!
Je reçois par erreur un clavier USA au lieu d'un clavier canadien-français. Et là, l'aventure commence. Impossible de trouver quelque chose sur le site de Apple : alors, téléphonons! (En français si possible... bien sûr)
Labyrinthe alambiqué de boites vocales débouchant toutes sans exception dans un cul-de-sac avec impossibilité de retour. Recomposition du numéro indiqué sur le Apple Store et nouvelle tentative avec d'autres options... Même destination : cul-de-sac! Parfois, on arrive sur un message disant que le service est fermé, et ce, pendant les heures d'ouverture. À n'y rien comprendre!
Après quelques minutes perdues, je reporte le tout, faute de temps... Au moment où je réussis à avoir un peu de ce temps, je finis par faire n'importe quelle option dans les menus de boites vocales pour finalement arriver, en anglais, à une vraie personne (Ça existe encore, ça, du vrai monde au bout d'une ligne téléphonique? Oui, mais seulement en anglais chez Apple.ca, semble-t-il...) J'explique mon cas et on finit par me transférer à une personne "french speaking" : OUF, pensai-je.
Mais j'avais tort. La personne fut très polie, mais comme elle était aux USA (je n'ai pas encore compris pourquoi, mais bon...) elle ne pouvait complètement boucler la transaction pour la commande du bon clavier. Elle me donne le numéro du département des ventes de Apple.ca : j'aboutis au soutien technique : aucun menu de boite vocale concernant une vente quelconque... Je pitonne au hasard pour me faire dire par quelqu'un qu'il me faut composer... le premier numéro de tous, celui avec les culs-de-sac de boites vocales : merde! Je compose ce numéro en faisant n'importe quelle option (car ça donne absolument rien de les écouter) et on finit par me dire que, pour commander le bon clavier, il serait mieux que je le fasse en ligne!!!
Non, mais faut-tu croire au produit pour vouloir quand même acheter après tout ce non-service... Les employés à qui j'ai parlé sont "ben ben fins", mais ils sont pognés dans une structure dans laquelle, tout comme nous, ils sont empêtrés ou empêchés (d'agir). Ils le déplorent, ont fait des demandes à leurs patrons, me disent-ils, mais ça semble dur de faire bouger cette structure.
La maison qui rend fou, dans Les 12 travaux d'Astérix, vous connaissez?
Tout ça, c'était le 25 octobre.
Étant supposé recevoir un courriel m'indiquant la procédure de retour à faire, j'ai attendu ce courriel... en vain. Je viens de téléphoner pour avoir ladite procédure de retour de marchandise dans ma boite de courriel et, surprise!, le dédale des boites vocales ne conduit plus aux culs-de-sac. Au moins un problème de partiellement réglé!
Alors je me dis quand même, aujourd'hui encore, que Apple.ca et les services en français, ça fait pitié pas mal... Malheureux que tout cela... Ben dommage!
30 octobre 2006
Rasage et essence !
L'autre jour, je vous parlais des prix de l'essence à la baisse (C'est toujours d'actualité, mais le rythme de la baisse a, justement, baissé!)
Le même genre de questionnement s'est imposé à mon esprit lorsque j'ai vu la dernière pub de Gillette qui, au rythme où vont les choses, proposera un rasoir 27 lames très bientôt, si la tendance se maintient (pour employer l'expression consacrée) ! Ainsi, on a eu le Trac II (2 lames) en 1971, le Mach 3 (3 lames) en 1998 et le Fusion à 5 lames en 2006 ! Une vraie courbe exponentielle...
Tout ça me fait penser à une autre discussion que j'ai eue sur la grandeur des moniteurs pour ordinateurs. Apple est rendu à proposer un écran de 30 pouces depuis quelque temps déjà. J'ai de la place pour 36 pouces sur mon bureau, mais mon portefeuille s'y refuse... ;-)
Le même genre de questionnement s'est imposé à mon esprit lorsque j'ai vu la dernière pub de Gillette qui, au rythme où vont les choses, proposera un rasoir 27 lames très bientôt, si la tendance se maintient (pour employer l'expression consacrée) ! Ainsi, on a eu le Trac II (2 lames) en 1971, le Mach 3 (3 lames) en 1998 et le Fusion à 5 lames en 2006 ! Une vraie courbe exponentielle...
Tout ça me fait penser à une autre discussion que j'ai eue sur la grandeur des moniteurs pour ordinateurs. Apple est rendu à proposer un écran de 30 pouces depuis quelque temps déjà. J'ai de la place pour 36 pouces sur mon bureau, mais mon portefeuille s'y refuse... ;-)
23 octobre 2006
Caméras et vie privée
Il y a longtemps que le sujet me chicotte...
Aujourd'hui, force nous est de constater que les caméras sont devenues omniprésentes. Récemment, on interrogeait des personnes âgées qui, devant les mauvais traitements subis par l'un des leurs, se montraient favorables à l'utilisation de caméras de surveillance dans les CHSLD ou autres résidences. Ils se montraient favorables, certes, mais avec une teinte évidente de résignation dans le regard et dans le ton de la réponse.
En effet, le conflit interne de plusieurs individus se situe au plan de la vie privée (qui est un droit fondamental) versus le besoin de sécurité que ressentent de plus en plus de personnes. On dirait que c'est devenu une mode depuis 5 ans...
D'un côté, je comprends qu'il faille dénoncer les abus sur d'innocentes victimes, mais, d'un autre côté, il ne faut pas oublier que la vie privée est un droit fondamental et que tout ne peut être enregistré sur film. Il y a une limite à faire des shows-réalité avec ou sans l'assentiment des personnes filmées. (Ça aussi, c'est devenu une mode, les reality shows...)
La multiplication des caméras de tout acabit est en train d'apporter tout un questionnement que nous devons faire au plus tôt. On ne peut se permettre de ne pas en mesurer toute l'ampleur et toutes les conséquences possibles...
Aujourd'hui, force nous est de constater que les caméras sont devenues omniprésentes. Récemment, on interrogeait des personnes âgées qui, devant les mauvais traitements subis par l'un des leurs, se montraient favorables à l'utilisation de caméras de surveillance dans les CHSLD ou autres résidences. Ils se montraient favorables, certes, mais avec une teinte évidente de résignation dans le regard et dans le ton de la réponse.
En effet, le conflit interne de plusieurs individus se situe au plan de la vie privée (qui est un droit fondamental) versus le besoin de sécurité que ressentent de plus en plus de personnes. On dirait que c'est devenu une mode depuis 5 ans...
D'un côté, je comprends qu'il faille dénoncer les abus sur d'innocentes victimes, mais, d'un autre côté, il ne faut pas oublier que la vie privée est un droit fondamental et que tout ne peut être enregistré sur film. Il y a une limite à faire des shows-réalité avec ou sans l'assentiment des personnes filmées. (Ça aussi, c'est devenu une mode, les reality shows...)
La multiplication des caméras de tout acabit est en train d'apporter tout un questionnement que nous devons faire au plus tôt. On ne peut se permettre de ne pas en mesurer toute l'ampleur et toutes les conséquences possibles...
19 octobre 2006
Ça va mieux...
J'ai vu ma collègue aujourd'hui (pas au boulot, cependant !) : elle remonte assez bien, tout en sachant que la ligne droite est impossible dans un tel cas : il y aura des hauts et des bas, mais le fond, il est passé...
Mon père, de son côté, récupère bien. Lentement mais sûrement, telle est la devise à appliquer. J'en profite pour saluer le travail bien fait et sans relâche de tout le personnel oeuvrant aux soins à l'hôpital Laval : toujours attentionné. Sortie prévue pour le convalescent : dimanche...
Mon père, de son côté, récupère bien. Lentement mais sûrement, telle est la devise à appliquer. J'en profite pour saluer le travail bien fait et sans relâche de tout le personnel oeuvrant aux soins à l'hôpital Laval : toujours attentionné. Sortie prévue pour le convalescent : dimanche...
15 octobre 2006
Triste nouvelle - 2
Vendredi, environ une heure après avoir appris une première mauvaise nouvelle (voir billet précédent), j'ai su que mon père avait fait un léger infarctus, preuve de l'échec de son angioplastie de la fin de l'été... Il a été transféré à l'hôpital Laval et il faudra faire les pontages aux trois artères obstruées. Ça devrait se faire en début de semaine...
13 octobre 2006
Triste nouvelle
Je suis seul chez moi, bien tranquille, et je corrige le travail de mes élèves. Le téléphone sonne. C'est mon directeur adjoint qui m'apprend qu'il fait une brève réunion de tout son personnel présent à l'école à 16h15 pour annoncer à tous... que le conjoint de ma collègue s'est suicidé !!!!!! C'est la raison de son téléphone. Il est en train de faire le tour des collègues qui étaient absents en cette fin d'après-midi...
OUF ! Quel choc ! Je m'assois quelques instants, puis, incapable de me contenir, je me mets à tourner en rond dans la maison comme une bête en cage... Avoir eu l'auto, je serais parti rejoindre mes collègues sur-le-champ pour tenter de comprendre l'incompréhensible avec eux. Nous sommes une équipe de profs qui nous connaissons depuis plus de 10 ans et nos liens sont assez bien tissés.
En ce moment, j'ai une pensée pour cette collègue que j'apprécie énormément, car c'est vraiment une excellente collègue avec qui il fait bon travailler. Son efficacité et son professionnalisme font en sorte que c'est toujours agréable de travailler avec elle.
Quel bouleversement dans une vie que cette mort insensée ! Je pense aussi à leur deux fils... Les mots me manquent...
... ... ...
OUF ! Quel choc ! Je m'assois quelques instants, puis, incapable de me contenir, je me mets à tourner en rond dans la maison comme une bête en cage... Avoir eu l'auto, je serais parti rejoindre mes collègues sur-le-champ pour tenter de comprendre l'incompréhensible avec eux. Nous sommes une équipe de profs qui nous connaissons depuis plus de 10 ans et nos liens sont assez bien tissés.
En ce moment, j'ai une pensée pour cette collègue que j'apprécie énormément, car c'est vraiment une excellente collègue avec qui il fait bon travailler. Son efficacité et son professionnalisme font en sorte que c'est toujours agréable de travailler avec elle.
Quel bouleversement dans une vie que cette mort insensée ! Je pense aussi à leur deux fils... Les mots me manquent...
... ... ...
11 octobre 2006
Services Google
Je viens de découvrir, avec l'aide de Jérôme à San Francisco, le service Google Analytics. Ça donne une multitude de statistiques sur son blogue, si on est chez Blogger.com, comme moi. Très intéressant ! J'aime bien la carte ci-dessous où l'on voit graphiquement la provenance des visiteurs (J'ai ajouté des lignes rouges pour l'illustration ici). Si vous êtes sur Blogger, inscrivez-vous à Google Analytics. Pour ce faire, on se crée un compte en suivant les étapes et l'affaire est ketchup !
09 octobre 2006
08 octobre 2006
On inverse le titre ?
Par rapport à ce que j'avais écrit le 10 septembre après le Grand prix de Monza, on a observé aujourd'hui exactement l'inverse. Schumacher qui voit son moteur sauter (chez Ferrari, c'est rare !) et Alonso qui file en première place, devançant son adversaire de 10 points pour le championnat des pilotes. Les probabilités que Schumacher revienne à égalité avec Alonso au dernier grand prix de la saison sont à peu près nulles, puisqu'il faudrait répéter la malchance Renault de Monza...
Mais, comme dirait l'autre : c'est pas fini tant que c'est pas fini. (Quelle "belle" phrase quand même ;-)
Mais, comme dirait l'autre : c'est pas fini tant que c'est pas fini. (Quelle "belle" phrase quand même ;-)
07 octobre 2006
Complètement rythmé !
Une collègue de travail vient de me faire parvenir ceci. Je n'ai pas pu résister longtemps avant de vous partager le truc. La vidéo dure 9 mn 29 s, alors il faut avoir ce temps devant soi pour profiter pleinement du visionnement.
Le pire dans tout ça : il y a des trucs que j'ai déjà essayé moi-même (Étirer un élastique pour faire la basse, tapocher sur une table, une lampe, etc.) Par contre, "ils" ont oublié de se taper sur les dents avec un crayon en faisant bouger la cavité buccale pour faire différentes notes ;-)
Le pire dans tout ça : il y a des trucs que j'ai déjà essayé moi-même (Étirer un élastique pour faire la basse, tapocher sur une table, une lampe, etc.) Par contre, "ils" ont oublié de se taper sur les dents avec un crayon en faisant bouger la cavité buccale pour faire différentes notes ;-)
05 octobre 2006
Ah... ce sel !
On en entend parler beaucoup aujourd'hui et cette question continue de m'interpeler.
Ces temps-ci, on dirait que la vie se charge de m'avertir, ou bien je deviens plus sensible à certaines questions, ayant changé de dizaine cet été ;-)
D'abord il y a eu mon père à qui on a dû déboucher une artère. En fait, il y en avait trois, mais comme cela fut très long pour la première (la plus obstruée), il a fallu laisser les autres en plan. Depuis, il est bien suivi à l'hôpital Laval et il va mieux, même si le moteur n'est pas neuf... À suivre...
À peu près en même temps, il y a eu le père d'une collègue et amie, un homme en pleine forme avec un bon bilan de santé à qui il a fallu faire 5 pontages d'urgence cet été. Sa femme, souffrant d'angine, lui a sauvé la vie en lui donnant de sa "nitro", en attendant qu'elle puisse faire conduire son mari à l'hôpital... Le monsieur récupère et tout semble aller dans le bon sens maintenant.
Il y a aussi Ian, un gars énergique et vivant (dans tous les bons sens de ce mot), 36 ans, qui a subi un anévrisme au cerveau. Il mène présentement la bataille de sa vie, relatée par sa courageuse compagne dans son blogue. Il devra réapprendre à marcher et à exprimer sa pensée avec des mots, la fonction du langage ayant été passablement affectée.
Bref, tout ça fait réfléchir, en plus des articles d'aujourd'hui qui nous mettent en plein visage notre consommation excessive de sel. Bien sûr, certains d'entre eux manquent de précision sur quelques aspects, mais pour moi qui aime tellement le sel, mais qui a commencé à diminuer sérieusement, ça interpelle. Et c'est l'essentiel, selon moi...
Ces temps-ci, on dirait que la vie se charge de m'avertir, ou bien je deviens plus sensible à certaines questions, ayant changé de dizaine cet été ;-)
D'abord il y a eu mon père à qui on a dû déboucher une artère. En fait, il y en avait trois, mais comme cela fut très long pour la première (la plus obstruée), il a fallu laisser les autres en plan. Depuis, il est bien suivi à l'hôpital Laval et il va mieux, même si le moteur n'est pas neuf... À suivre...
À peu près en même temps, il y a eu le père d'une collègue et amie, un homme en pleine forme avec un bon bilan de santé à qui il a fallu faire 5 pontages d'urgence cet été. Sa femme, souffrant d'angine, lui a sauvé la vie en lui donnant de sa "nitro", en attendant qu'elle puisse faire conduire son mari à l'hôpital... Le monsieur récupère et tout semble aller dans le bon sens maintenant.
Il y a aussi Ian, un gars énergique et vivant (dans tous les bons sens de ce mot), 36 ans, qui a subi un anévrisme au cerveau. Il mène présentement la bataille de sa vie, relatée par sa courageuse compagne dans son blogue. Il devra réapprendre à marcher et à exprimer sa pensée avec des mots, la fonction du langage ayant été passablement affectée.
Bref, tout ça fait réfléchir, en plus des articles d'aujourd'hui qui nous mettent en plein visage notre consommation excessive de sel. Bien sûr, certains d'entre eux manquent de précision sur quelques aspects, mais pour moi qui aime tellement le sel, mais qui a commencé à diminuer sérieusement, ça interpelle. Et c'est l'essentiel, selon moi...
02 octobre 2006
Infrastructures et inquiétudes
On en a parlé beaucoup et on en parlera encore pas mal : le viaduc de la Concorde à Laval est tristement célèbre.
Derrière tout ça, on voit l'inquiétude poindre dans la population face aux infrastructures routières du Québec. Il y a eu la 40, près de Trois-Rivières l'an dernier, où un ponceau avait cédé à la suite d'une erreur humaine lors d'une réparation de routine. À Laval, c'est plus sérieux. On parle d'usure prématurée (35 années de vie au lieu des 70 prévues), etc.
Comment peut-on prévenir ces situations? Il y avait eu inspection de routine il y a un an, et une inspection sommaire à peine une heure avant l'accident. Et ce n'est pas parce qu'un morceau relativement petit (par rapport à l'ensemble de la structure) tombe que le viaduc va automatiquement s'écrouler. Mais, cette fois-ci, ça s'est produit. Événement anecdotique et très malheureux : probablement. Espérons-le. (J'avoue ici avoir regardé les viaducs sous lesquels je suis passé ce matin, sur Henri IV...)
Gageons que les procédures d'inspection seront profondément révisées sous peu...
De plus, au traditionnel État des routes on ajoutera peut-être État des infrastructures routières au Québec...
Derrière tout ça, on voit l'inquiétude poindre dans la population face aux infrastructures routières du Québec. Il y a eu la 40, près de Trois-Rivières l'an dernier, où un ponceau avait cédé à la suite d'une erreur humaine lors d'une réparation de routine. À Laval, c'est plus sérieux. On parle d'usure prématurée (35 années de vie au lieu des 70 prévues), etc.
Comment peut-on prévenir ces situations? Il y avait eu inspection de routine il y a un an, et une inspection sommaire à peine une heure avant l'accident. Et ce n'est pas parce qu'un morceau relativement petit (par rapport à l'ensemble de la structure) tombe que le viaduc va automatiquement s'écrouler. Mais, cette fois-ci, ça s'est produit. Événement anecdotique et très malheureux : probablement. Espérons-le. (J'avoue ici avoir regardé les viaducs sous lesquels je suis passé ce matin, sur Henri IV...)
Gageons que les procédures d'inspection seront profondément révisées sous peu...
De plus, au traditionnel État des routes on ajoutera peut-être État des infrastructures routières au Québec...
27 septembre 2006
Discrimination appliquée - Enjeux
Ce soir à Enjeux, une expérience de discrimination appliquée dans une classe de 3e année du primaire. L'enseignante avait longuement préparé la chose, impliquant au préalable les parents de tous ses élèves, la direction de l'école et la Commission scolaire. L'équipe d'Enjeux a filmé le tout : saisissant !
L'idée est venue à cette enseignante après avoir observé de la discrimination dans sa classe et, surtout, après avoir pris connaissance d'une expérience à peu près similaire, menée il y a 36 ans de cela, par Jane Elliott, une institutrice américaine.
Dans l'émission de ce soir, il était difficile de constater, par moments, la dureté du rôle de l'enseignante (rôle qu'elle devait tenir presque malgré elle jusqu'au bout afin de bien mener l'expérience) face aux réactions des enfants victimes de cette discrimination. Il était aussi intéressant de voir la 2e journée où les rôles étaient inversés. Puis, finalement, quelques semaines plus tard, de mesurer les apprentissages réalisés par les enfants lors de cette difficile expérience dont ils se souviendront très longtemps et dont ils pourront continuer de tirer profit, si l'«animalité» de l'humain en chacun d'eux réussit à rester de côté. Un reportage à voir ou revoir selon le cas.
L'idée est venue à cette enseignante après avoir observé de la discrimination dans sa classe et, surtout, après avoir pris connaissance d'une expérience à peu près similaire, menée il y a 36 ans de cela, par Jane Elliott, une institutrice américaine.
Dans l'émission de ce soir, il était difficile de constater, par moments, la dureté du rôle de l'enseignante (rôle qu'elle devait tenir presque malgré elle jusqu'au bout afin de bien mener l'expérience) face aux réactions des enfants victimes de cette discrimination. Il était aussi intéressant de voir la 2e journée où les rôles étaient inversés. Puis, finalement, quelques semaines plus tard, de mesurer les apprentissages réalisés par les enfants lors de cette difficile expérience dont ils se souviendront très longtemps et dont ils pourront continuer de tirer profit, si l'«animalité» de l'humain en chacun d'eux réussit à rester de côté. Un reportage à voir ou revoir selon le cas.
Souvenir éclair !
En toute fin d'après-midi, alors que je roulais assez allègrement sur le Corridor des cheminots, j'ai entendu, dans le fossé tout près, un son qui m'a instantanément rappelé un vieux souvenir...
J'ai encore la version 1.0.1 de 1995 sur mon vénérable LC475 : de là vient l'image ci-dessus.
22 septembre 2006
Honda UK et les pubs !
Non, cette fois, mon titre ne commence pas par "Quand..." !
Je viens de revoir avec intérêt, tout en clavardant avec un de mes amis musiciens, deux pubs de Honda UK. La première, disponible entre autres à cette adresse est étonnante de par sa complexité.Elle date déjà de 2003 et on trouve quelques renseignements utiles ici.
Mais la plus récente, faite par le même réalisateur, se trouve ici. Dans cette pub, comme musicien, je me suis régalé. Surtout que dans la section "Watch", on peut voir les pratiques, les partitions, etc. Tout simplement génial. Et que dire de toute la recherche sonore qu'il y a là-dedans. Belle chorale ! Allez voir !
Je viens de revoir avec intérêt, tout en clavardant avec un de mes amis musiciens, deux pubs de Honda UK. La première, disponible entre autres à cette adresse est étonnante de par sa complexité.Elle date déjà de 2003 et on trouve quelques renseignements utiles ici.
Mais la plus récente, faite par le même réalisateur, se trouve ici. Dans cette pub, comme musicien, je me suis régalé. Surtout que dans la section "Watch", on peut voir les pratiques, les partitions, etc. Tout simplement génial. Et que dire de toute la recherche sonore qu'il y a là-dedans. Belle chorale ! Allez voir !
Quand une image vaut mille mots
Je veux revenir sur un sujet que j'ai d'abord découvert chez Christian. Il s'agit du site de WorldMapper.
Au cours de mes conversations cette semaine, il m'est arrivé au moins 3-4 fois d'en parler. Vraiment une bonne idée de représenter le monde selon d'autres critères que la superficie du pays. À voir.
Au cours de mes conversations cette semaine, il m'est arrivé au moins 3-4 fois d'en parler. Vraiment une bonne idée de représenter le monde selon d'autres critères que la superficie du pays. À voir.
21 septembre 2006
Essence gratuite !
L'imperturbable Bernard Derome le dira sans doute bientôt : «Radio-Canada prévoit que, si la tendance (observée depuis la fin de l'été) se maintient, l'essence sera complètement gratuite d'ici quelques mois !»
«Non, mais, 89 sous le litre, c'est donc ben pas cher !», entendons-nous aujourd'hui.
Il y a deux ans ou un peu moins, c'était pourtant dans les 70 sous le litre...
Comme quoi tout est relatif, sans doute.
19 septembre 2006
Gouttes d'eau
Quand le cadre prime...
Hier soir, j'ai l'impression d'avoir assisté à un éclatement. Celui d'un groupe vocal où je «travaille» depuis 16 ans, comme musicien accompagnateur...
Je n'y ai pas perdu mon travail : personne ne m'a remercié de mes services. Sur papier, tout existe encore. Mais, humainement, je vis l'éclatement d'un groupe qui a été polarisé, petit à petit et sournoisement (comme seul l'être humain peut l'être à ses heures, parfois plus ou moins volontairement), groupe polarisé, donc, entre son chef d'une part et le CA d'autre part.
Un membre de ce groupe résumait très bien la situation hier soir : quand la définition des modes de fonctionnements prime sur le chant et la musique qui sont la PREMIÈRE raison d'être de ce groupe, on arrive à une situation aberrante de ce genre. Ceci n'enlève pas l'importance qu'ont les deux aspects. L'art et l'argent sont indissociables, mais l'art doit primer dans une organisation (le mot légal "compagnie" a été utilisé avec force convictions par quelqu'un : j'ai détesté !) organisation dont le but premier est le chant. C'est le GBS (Gros bon sens) qui le dicte. Il y a la loi et l'esprit de la loi : le deuxième est le plus important.
Au centre de tout ça, un conflit qui a dérapé, avec des personnalités fortes et d'autres manquant de sécurité personnelle qui, au lieu de se «soigner» personnellement, s'en sont prises aux autres, tentant de passer la «puck» de leurs frustrations sur le dos des autres. Ajoutons d'autres «gouvernements de coulisses», quelques réactions de panique, non complètement réfléchies, et vous avez un cocktail explosif qui a mené à la destruction (massive).
Quand l'administration oublie le côté humain au point de blâmer le manque de respect éthique du chef de choeur qui a communiqué par courriel sa non-volonté de continuer dans de telles circonstances alors que cette personne était, humainement, complètement jetée par terre, on voit ici le manque de respect, humain celui-là, de personnes qui ne pensent qu'en termes de structurite aiguë.
En conclusion, une phrase de François qui a dit hier, sur un autre sujet : «Les individus éprouvent des réactions plus naturelles que les corporations. L’émotion est plus sincère quand elle vient du coeur que de la bourse.»
Quand le cadre s'épaissit trop, on ne voit plus l'oeuvre du peintre...
Je n'y ai pas perdu mon travail : personne ne m'a remercié de mes services. Sur papier, tout existe encore. Mais, humainement, je vis l'éclatement d'un groupe qui a été polarisé, petit à petit et sournoisement (comme seul l'être humain peut l'être à ses heures, parfois plus ou moins volontairement), groupe polarisé, donc, entre son chef d'une part et le CA d'autre part.
Un membre de ce groupe résumait très bien la situation hier soir : quand la définition des modes de fonctionnements prime sur le chant et la musique qui sont la PREMIÈRE raison d'être de ce groupe, on arrive à une situation aberrante de ce genre. Ceci n'enlève pas l'importance qu'ont les deux aspects. L'art et l'argent sont indissociables, mais l'art doit primer dans une organisation (le mot légal "compagnie" a été utilisé avec force convictions par quelqu'un : j'ai détesté !) organisation dont le but premier est le chant. C'est le GBS (Gros bon sens) qui le dicte. Il y a la loi et l'esprit de la loi : le deuxième est le plus important.
Au centre de tout ça, un conflit qui a dérapé, avec des personnalités fortes et d'autres manquant de sécurité personnelle qui, au lieu de se «soigner» personnellement, s'en sont prises aux autres, tentant de passer la «puck» de leurs frustrations sur le dos des autres. Ajoutons d'autres «gouvernements de coulisses», quelques réactions de panique, non complètement réfléchies, et vous avez un cocktail explosif qui a mené à la destruction (massive).
Quand l'administration oublie le côté humain au point de blâmer le manque de respect éthique du chef de choeur qui a communiqué par courriel sa non-volonté de continuer dans de telles circonstances alors que cette personne était, humainement, complètement jetée par terre, on voit ici le manque de respect, humain celui-là, de personnes qui ne pensent qu'en termes de structurite aiguë.
En conclusion, une phrase de François qui a dit hier, sur un autre sujet : «Les individus éprouvent des réactions plus naturelles que les corporations. L’émotion est plus sincère quand elle vient du coeur que de la bourse.»
Quand le cadre s'épaissit trop, on ne voit plus l'oeuvre du peintre...
15 septembre 2006
Quand l'explication est impossible
Pourquoi ? Un mot, une question. Toute une question ! Le Soleil en a fait sa une jeudi. Devant l'incompréhensible, qu'il soit atrocité comme cette semaine au Dawson College, ou qu'il soit merveilleux comme l'arrivée de l'amour dans une vie (Je déteste l'expression "Tomber en amour"), on a beau poser la question "Pourquoi ?", on n'a pas de réponse. Pas d'explication possible. La cause est trop dure à trouver.
Pour l'incompréhensible-merveilleux, avoir la réponse à la question, à la limite, importe peu. Mais pour tenter de prévenir l'incomprensible-atrocité, trouver la cause première pourrait peut-être aider. Reste à trouver COMMENT trouver la cause de ce POURQUOI à la réponse si complexe...
Pour l'incompréhensible-merveilleux, avoir la réponse à la question, à la limite, importe peu. Mais pour tenter de prévenir l'incomprensible-atrocité, trouver la cause première pourrait peut-être aider. Reste à trouver COMMENT trouver la cause de ce POURQUOI à la réponse si complexe...
13 septembre 2006
La lettre H
Aujourd'hui, en discutant avec quelques uns de mes étudiants, nous nous sommes posé la question suivante : pourquoi le H aspiré ne s'appelle-t-il pas plutôt le H expulsé, le H soufflé, ou autre terme qui rend compte de la réalité exacte qui se passe au moment de sa prononciation. Personne, que je sache, n'aspire une lettre en parlant ! :-)
12 septembre 2006
Blogues scolaires : plus tard...
Ça fait un an que je pense rejoindre mes élèves et leurs parents via un blogue scolaire. L'an dernier, ma commission scolaire a commencé à héberger des blogues d'élèves et d'enseignants. Belle initiative réalisée par des collègues pionniers qui veulent beaucoup, avec des moyens parfois très limités.
Comme pratiquement rien, sauf le texte brut, pouvait réellement fonctionner dans ce blogue (quand l'accès était possible !), j'ai rapidement abandonné, le temps me manquant pour me mettre à résoudre des séries de petits bogues dont la somme provoque l'irritation.
Cette année, changements de serveur à ce que j'ai su. Améliorations notables possibles et espérées. Je me suis donc rendu à une séance d'information ce midi, pour voir où en est le dossier. Ce n'est pas parfait, mais ça évolue dans le bon sens. Il reste des bogues à résoudre, mais peut-être qu'on va pouvoir y arriver sans que les enseignants ne se découragent de l'inefficacité engendrée par les irritants. Vais-je faire le saut? Je ne sais pas encore... Je réfléchis encore un peu.
P.S.: Bravo à François et à Alec pour leur persévérance que j'envie presque ! Faut dire que le serveur Opossum est très stable, LUI ;-/
Comme pratiquement rien, sauf le texte brut, pouvait réellement fonctionner dans ce blogue (quand l'accès était possible !), j'ai rapidement abandonné, le temps me manquant pour me mettre à résoudre des séries de petits bogues dont la somme provoque l'irritation.
Cette année, changements de serveur à ce que j'ai su. Améliorations notables possibles et espérées. Je me suis donc rendu à une séance d'information ce midi, pour voir où en est le dossier. Ce n'est pas parfait, mais ça évolue dans le bon sens. Il reste des bogues à résoudre, mais peut-être qu'on va pouvoir y arriver sans que les enseignants ne se découragent de l'inefficacité engendrée par les irritants. Vais-je faire le saut? Je ne sais pas encore... Je réfléchis encore un peu.
P.S.: Bravo à François et à Alec pour leur persévérance que j'envie presque ! Faut dire que le serveur Opossum est très stable, LUI ;-/
Quand la gestion s'emmêle...
Ces jours-ci, j'assiste, bien impuissant, à une remise en question majeure d'un organisme que je côtoie depuis de nombreuses années. Cet organisme en étant un de groupe, oeuvrant dans le domaine musical (et donc artistique), il y est donc question de passions, d'émotions, mais aussi de tensions, certaines accumulées par quelques individus depuis des années, semble-t-il.
Bref, une situation de conflit, mais dans un groupe, où certains ont pu y aller de leurs interprétations, où certains autres ont pu "préparer" une pensée supposément collective (mais qui ne rallie jamais tout le monde !). Bref (encore !), un dérapage. Total ? L'avenir me le dira...
C'est qu'il y a lutte de pouvoir dans cette histoire, entre la personne dirigeant le groupe, et les gens l'administrant. Direction artistique versus administration : le débat n'est pas nouveau, le concept de la lutte de pouvoir ou du sentiment (ou ressentiment) d'un mauvais partage des responsabilités non plus. Direction avec une forte personnalité versus un CA composé en partie de personnes au tempéramment insécure, prises dans une sorte de malaise presque paranoiaque... (J'exagère à peine, mais on voit que ce sont des problèmes personnels qui font surface ici sans raison.) On se prend (on exclut la personne qui parle, toujours) à vouloir que la personne dirigeante soit parfaite. Avez-vous déjà vu une personnalité forte sans défaut ? Ça n'a aucun sens. On peut s'améliorer dans la vie, mais certaines personnes qui ont des qualités très fortes ont aussi des défauts correspondant et c'est l'essence même de leur personnalité, de leur âme. À la limite, c'est ce qui fait leur charme, leur entièreté, leur authenticité. Le genre de personnes exigeantes qui sont tout sauf mièvres ou tièdes et sans saveur.
Toute cette histoire est extrêmement dommage, car, si l'on avait pu ne pas précipiter les choses, si on avait su prendre le temps de régler les problèmes un à un au lieu de provoquer une crise majeure, on aurait pu continuer de bâtir ce qui a commencé à germer il y a un peu plus de 16 ans maintenant...
Bien triste de voir quelque chose, qu'on a contribué à bâtir depuis si longtemps, se faire amocher de la sorte. Bien désolant de voir quelque chose, dans laquelle on s'est tant impliqué, se faire rabrouer de cette façon sans que l'on (on inclusif ici) puisse y faire quoi que ce soit. Je vous laisse imaginer combien la personne dirigeante, fondatrice de l'organisme, peut se sentir. Flouée, bafouée, le lien de confiance et la chimie nécessaire à un groupe artistique passablement brisés.
Uen oeuvre de destruction massive ? Involontaire de la part des administrateurs supposés représenter des membres ? Personne ne le sait plus, car, derrière les discours officiels, se cachent les vraies intentions profondes, tenues presque secrètes...
:-(((
Bref, une situation de conflit, mais dans un groupe, où certains ont pu y aller de leurs interprétations, où certains autres ont pu "préparer" une pensée supposément collective (mais qui ne rallie jamais tout le monde !). Bref (encore !), un dérapage. Total ? L'avenir me le dira...
C'est qu'il y a lutte de pouvoir dans cette histoire, entre la personne dirigeant le groupe, et les gens l'administrant. Direction artistique versus administration : le débat n'est pas nouveau, le concept de la lutte de pouvoir ou du sentiment (ou ressentiment) d'un mauvais partage des responsabilités non plus. Direction avec une forte personnalité versus un CA composé en partie de personnes au tempéramment insécure, prises dans une sorte de malaise presque paranoiaque... (J'exagère à peine, mais on voit que ce sont des problèmes personnels qui font surface ici sans raison.) On se prend (on exclut la personne qui parle, toujours) à vouloir que la personne dirigeante soit parfaite. Avez-vous déjà vu une personnalité forte sans défaut ? Ça n'a aucun sens. On peut s'améliorer dans la vie, mais certaines personnes qui ont des qualités très fortes ont aussi des défauts correspondant et c'est l'essence même de leur personnalité, de leur âme. À la limite, c'est ce qui fait leur charme, leur entièreté, leur authenticité. Le genre de personnes exigeantes qui sont tout sauf mièvres ou tièdes et sans saveur.
Toute cette histoire est extrêmement dommage, car, si l'on avait pu ne pas précipiter les choses, si on avait su prendre le temps de régler les problèmes un à un au lieu de provoquer une crise majeure, on aurait pu continuer de bâtir ce qui a commencé à germer il y a un peu plus de 16 ans maintenant...
Bien triste de voir quelque chose, qu'on a contribué à bâtir depuis si longtemps, se faire amocher de la sorte. Bien désolant de voir quelque chose, dans laquelle on s'est tant impliqué, se faire rabrouer de cette façon sans que l'on (on inclusif ici) puisse y faire quoi que ce soit. Je vous laisse imaginer combien la personne dirigeante, fondatrice de l'organisme, peut se sentir. Flouée, bafouée, le lien de confiance et la chimie nécessaire à un groupe artistique passablement brisés.
Uen oeuvre de destruction massive ? Involontaire de la part des administrateurs supposés représenter des membres ? Personne ne le sait plus, car, derrière les discours officiels, se cachent les vraies intentions profondes, tenues presque secrètes...
:-(((
10 septembre 2006
Déceptions franco-espagnoles + Émotions italo-allemandes
Voilà qui résume la course d'aujourd'hui.
Ce matin, coup de théâtre avec une décision controversée concernant Alonso qui doit partir 10e et ainsi devoir pousser au maximum son moteur sur le circuit de Monza, particulièrement exigeant en la matière. Conséquence : on la connait. Moteur sauté à 10 tours de la fin. Bye bye la 3e place. Et l'avance d'Alonso qui fond comme neige au soleil dans le championnat des pilotes, sans parler de Renault qui recule dans celui des constructeurs.
Les gars de chez Renault avaient un logo exprimant leur frustration ce matin : FIA = Ferrari International Assistance...
D'un autre côté, Schumacher qui annonce son départ après une carrière de 15 ans en F1. Annonce faite tout juste après la course, par Ferrari (qui a véritablement initié la prise de décision). Schumi très ému : de gagner aujourd'hui ? de partir cette année alors qu'il aurait probablement voulu continuer encore un an ? de quitter son équipe formidable dans trois grands prix ?
Ah les coulisses de la F1 !...
Ce matin, coup de théâtre avec une décision controversée concernant Alonso qui doit partir 10e et ainsi devoir pousser au maximum son moteur sur le circuit de Monza, particulièrement exigeant en la matière. Conséquence : on la connait. Moteur sauté à 10 tours de la fin. Bye bye la 3e place. Et l'avance d'Alonso qui fond comme neige au soleil dans le championnat des pilotes, sans parler de Renault qui recule dans celui des constructeurs.
Les gars de chez Renault avaient un logo exprimant leur frustration ce matin : FIA = Ferrari International Assistance...
D'un autre côté, Schumacher qui annonce son départ après une carrière de 15 ans en F1. Annonce faite tout juste après la course, par Ferrari (qui a véritablement initié la prise de décision). Schumi très ému : de gagner aujourd'hui ? de partir cette année alors qu'il aurait probablement voulu continuer encore un an ? de quitter son équipe formidable dans trois grands prix ?
Ah les coulisses de la F1 !...
09 septembre 2006
MacBook Pro ou iMac 24 pouces ?
Telle est la question. Outre le fait que, budgétairement, le tout ne soit pas encore complètement décidé (ce qui laisse quelques semaines pour réfléchir), l'hésitation demeure : iMac 24 pouces ou MacBook Pro.
La portabilité ou le grand écran ... et 1 Go de RAM de plus (détail).
07 septembre 2006
Photo paisible...
06 septembre 2006
Avez-vous pris votre Nescafé ?
Hier soir, en sortant le chien, quelle ne fut pas ma surprise de voir un petit Publisac accroché à ma boîte aux lettres (eh oui, nous avons encore un vrai facteur dans le quartier !)
Ce petit sac est en fait une magnifique boîte, faite d'un carton bien luisant et très rigide, attirant l'oeil à coup sûr. À l'intérieur (faut être patient pour l'ouvrir, car c'est très solidement fermé !), un petit pot de café... instantané :-(
Pour l'amateur de café en moi, c'est un peu décevant. Ce pot est confortablement entouré d'une double épaisseur de ce carton déjà assez épais merci ! On ne veut vraiment pas que le pot se casse.
Puis, surgit une question : combien coûte tout ça ? Affreusement cher, j'en suis sûr. Et quelle quantité de carton (sans compter les sacs en plastique) cela générera au recyclage !
Ce petit sac est en fait une magnifique boîte, faite d'un carton bien luisant et très rigide, attirant l'oeil à coup sûr. À l'intérieur (faut être patient pour l'ouvrir, car c'est très solidement fermé !), un petit pot de café... instantané :-(
Pour l'amateur de café en moi, c'est un peu décevant. Ce pot est confortablement entouré d'une double épaisseur de ce carton déjà assez épais merci ! On ne veut vraiment pas que le pot se casse.
Puis, surgit une question : combien coûte tout ça ? Affreusement cher, j'en suis sûr. Et quelle quantité de carton (sans compter les sacs en plastique) cela générera au recyclage !
Des nouvelles du Pérou
Je viens d'avoir, par courriel, des nouvelles de deux de mes collègues qui sont actuellement au Pérou avec un groupe d'étudiants. Ça m'a fait plaisir de les lire plus en "direct" que par leur blogue, tenu par un des élèves du voyage, dans ses rares moments libres.
On peut visiter leur site complet ici. Quelques photos sont disponibles. Ce voyage met à rude épreuve les capacités physiques de chacun en plus d'être une expérience inoubliable pour les élèves qui ont la chance de la vivre.
Ce voyage en est à sa deuxième édition, l'autre ayant été vécue en 2003.
On peut visiter leur site complet ici. Quelques photos sont disponibles. Ce voyage met à rude épreuve les capacités physiques de chacun en plus d'être une expérience inoubliable pour les élèves qui ont la chance de la vivre.
Ce voyage en est à sa deuxième édition, l'autre ayant été vécue en 2003.
04 septembre 2006
Civic rétrécie
C'est fou ce que ça peut être simple que de faire un montage... sans montage !
En fait, il s'agit d'une photo prise à travers les vitres d'une porte. Ces vitres ont un rebord en biseau qui explique la distorsion ainsi aperçue dans la lentille.
NOTE ajoutée le 5 septembre 2006 : 20:03
On est loin ici des manipulations d'image dont nous parle François à propos de ce site.
Passé nouveau ?
Cet été, je suis tombé par hasard sur une ou deux émissions, à la SRC, intitulée Tout le monde en parlait. Cette série, au titre très marketing rappelant LA émission du dimanche soir, relate des faits qui étaient d'actualité dans les années 1970.
Récemment, je discutais avec quelqu'un qui trouvait que ça faisait un peu trop passéiste à son goût. Comme je m'étais posé un peu la même question, je ne pouvais être complètement en désaccord avec cette personne, mais je ne pouvais pas non plus être en total accord, car j'y ai trouvé certaines explications ou justifications d'actions posées il y a plus de 30 ans de cela.
Comme j'étais trop jeune pour comprendre à l'époque, le contenu des émissions regardées (peu nombreuses en réalité : l'été n'étant pas propice à la télé !) a pu m'éclairer sur l'origine de la volonté de mettre en place le régime du no fault de la SAAQ, par exemple. Comme ce régime est remis en question ces temps-ci, ça aide à alimenter la réflexion et l'argumentation en 2006.
Ceci dit, je conçois fort bien que, parfois, la SRC-RDI nous propose un peu fort l'éloge-au-passé, en apparence du moins. Il faut parfois savoir d'où l'on vient pour savoir où l'on va, c'est connu. On peut parfois éviter les mêmes erreurs en regardant d'abord derrière pour mieux aller devant par la suite. La mémoire collective est une denrée rare au Québec, dont la devise est pourtant Je me souviens...
Lundi prochain, par contre, on tombera trop facilement, et sur toutes les chaînes télé, dans le rappel à caractère sensationnaliste. Un rappel 20 ou 30 ans après l'événement a le mérite de rafraîchir la mémoire et d'aider à mieux comprendre, mais des rappels trop fréquents diluent ce mérite. Il est vrai que le 9-11 a marqué l'histoire de la planète, mais nous aurons besoin de plus de recul pour en mesurer tous les impacts.
Récemment, je discutais avec quelqu'un qui trouvait que ça faisait un peu trop passéiste à son goût. Comme je m'étais posé un peu la même question, je ne pouvais être complètement en désaccord avec cette personne, mais je ne pouvais pas non plus être en total accord, car j'y ai trouvé certaines explications ou justifications d'actions posées il y a plus de 30 ans de cela.
Comme j'étais trop jeune pour comprendre à l'époque, le contenu des émissions regardées (peu nombreuses en réalité : l'été n'étant pas propice à la télé !) a pu m'éclairer sur l'origine de la volonté de mettre en place le régime du no fault de la SAAQ, par exemple. Comme ce régime est remis en question ces temps-ci, ça aide à alimenter la réflexion et l'argumentation en 2006.
Ceci dit, je conçois fort bien que, parfois, la SRC-RDI nous propose un peu fort l'éloge-au-passé, en apparence du moins. Il faut parfois savoir d'où l'on vient pour savoir où l'on va, c'est connu. On peut parfois éviter les mêmes erreurs en regardant d'abord derrière pour mieux aller devant par la suite. La mémoire collective est une denrée rare au Québec, dont la devise est pourtant Je me souviens...
Lundi prochain, par contre, on tombera trop facilement, et sur toutes les chaînes télé, dans le rappel à caractère sensationnaliste. Un rappel 20 ou 30 ans après l'événement a le mérite de rafraîchir la mémoire et d'aider à mieux comprendre, mais des rappels trop fréquents diluent ce mérite. Il est vrai que le 9-11 a marqué l'histoire de la planète, mais nous aurons besoin de plus de recul pour en mesurer tous les impacts.
03 septembre 2006
THE calme
Cette photo illustre très bien le calme absolu qui régnait sur la rivière Péribonka en ce 26 juillet 2006. Photo prise au retour d'une petite excursion aux nombreuses prises (très majoritairement photographiques, bien sûr !), excursion qui nous a conduits jusqu'aux abords du nouvueau barrage en construction "Péribonka 4".
D'autres photos suivront sûrement plus tard...
01 septembre 2006
Apple.ca - Hello, y'a quelqu'un ?!?
Max et Christian en parlent dans leur blogue. MacQuebec aussi. (LIens ci-contre)
Désolante situation que de retrouver dans une annonce officielle, celle de l'ouverture prochaine du Apple Store de Laval, autant de fautes de français et de phrases incompréhensibles dignes d'une mauvaise traduction d'un mode d'emploi "made in China"... Apple.ca, section franco, ça existe-tu encore ? Je ne pense pas :-(
Allez sur le site de MacQuebec.com et signez la pétition dénonçant la piètre qualité ou la quasi absence de service en français.
Au Québec, il me semble qu'on mérite encore d'avoir un service en français dans une aussi grande entreprise.
Apple.ca, ça ne fait pas sérieux.
(Note : l'annonce sur le site de Apple est étrangement muette ce soir. Espérons qu'Apple ait enfin compris, et pour de bon cette fois !)
Désolante situation que de retrouver dans une annonce officielle, celle de l'ouverture prochaine du Apple Store de Laval, autant de fautes de français et de phrases incompréhensibles dignes d'une mauvaise traduction d'un mode d'emploi "made in China"... Apple.ca, section franco, ça existe-tu encore ? Je ne pense pas :-(
Allez sur le site de MacQuebec.com et signez la pétition dénonçant la piètre qualité ou la quasi absence de service en français.
Au Québec, il me semble qu'on mérite encore d'avoir un service en français dans une aussi grande entreprise.
Apple.ca, ça ne fait pas sérieux.
(Note : l'annonce sur le site de Apple est étrangement muette ce soir. Espérons qu'Apple ait enfin compris, et pour de bon cette fois !)
31 août 2006
Départ
C'est toujours énervant de commencer un blogue ou un carnet !
On sait qu'on sera lu... peut-être... quelque part dans le temps et dans le cyberespace.
L'aventure commence donc ici et maintenant (hic et nunc, si mon latin n'est pas trop atrophié dans ma mémoire).
On trouvera de tout ici, comme dans plusieurs blogues, sur une base régulière, espère-t-on toujours au départ, mais on sait que, finalement, selon les disponibilités et les aléas de la vie, ça peut devenir plus sporadique par moments : normal !
Il me fera donc plaisir de partager certaines choses avec vous ici et il sera tout aussi agréable de lire vos commentaires.
À bientôt, donc !
Sylvain
On sait qu'on sera lu... peut-être... quelque part dans le temps et dans le cyberespace.
L'aventure commence donc ici et maintenant (hic et nunc, si mon latin n'est pas trop atrophié dans ma mémoire).
On trouvera de tout ici, comme dans plusieurs blogues, sur une base régulière, espère-t-on toujours au départ, mais on sait que, finalement, selon les disponibilités et les aléas de la vie, ça peut devenir plus sporadique par moments : normal !
Il me fera donc plaisir de partager certaines choses avec vous ici et il sera tout aussi agréable de lire vos commentaires.
À bientôt, donc !
Sylvain
Ma photo
Après quelques recherches, je tente un essai de publication de photo pour mon profil...
Prise à main levée, le 3 juin 2006, avant un concert...
J'aime bien l'effet de flou et de mouvement qui a été créé involontairement par la photographe !
Il sera rare ici de me voir la binette, car je suis rarement photogénique... En fait, je préfère de beaucoup être derrière la caméra et photographier les événements ou les paysages. Je compte en envoyer quelques uns ici dans de prochains messages.
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