Dernièrement, je recevais une information m'informant que la GRICS avait développé (ou fait développer) un petit logiciel permettant d'alléger les fichiers images trop lourds.
Or, le logiciel existait uniquement en version PC (Fichier .exe) J'ai fait un commentaire (voir au bas de cette page) déplorant le fait que le logiciel n'existe que pour une plateforme, et ce, le 14 décembre dernier. On m'envoie aujourd'hui un courriel pour me dire que le logiciel existe maintenant pour Mac OS X ! Je suis bien heureux de cette rapidité et je me propose donc de tester ce petit logiciel dans les jours qui vont suivre. ConversionMagick est le nom de ce petit logiciel.
Comme je n'ai aucun intérêt dans ladite compagnie, ce test est purement gratuit de ma part et n'engage que moi. Personne ne m'a demandé quoi que ce soit. Cependant, je me propose de faire un petit rapport ici lorsque le test sera terminé.
Si la GRICS s'engage sur la voie des logiciels libres, j'embarque !
31 janvier 2008
Invitation flatteuse ?
Hier, parmi mes courriels, je retrouve une invitation de la FQDE (Fédération québécoise des directions d'établissement d'enseignement) à une conférence de presse qui se tiendra à Montréal, le 5 février prochain à 11h, sur le thème de «la démocratie scolaire et la gouvernance en éducation». Dans l'invitation, je retrouve quelques citations prises dans les blogues de quelques amis édu-blogueurs et une de moi-même (!).
C'est flatteur, au point de départ, mais je doute fortement pouvoir assister à cet événement. 250 km à parcourir à l'aller, (autnat au retour, logiquement!), me faire libérer par ma direction une journée entière, juste pour une conférence de presse dont j'imagine que je pourrai lire le contenu quelque part, ce qui serait pour moi beaucoup plus pratique, finalement.
Malgré tout, je ne peux que me rendre quand même à l'évidence que les blogues commencent à avoir une certaine influence. On nous voit, on nous lit, même juste un peu, on nous qualifie parfois d'embêtants (surtout pour certains journalistes (M. Schnobb et cie) qui pensent ou laissent croire qu'on leur fait une forme de compétition alors que je nous vois plus comme dans un rôle complémentaire...) Sincèrement, j'ose donc ici croire que c'est un peu cette influence bloguesque qui a amené l'invitation.
Ce qui aurait été l'idéal pour rejoindre toute cette jungle plutôt "web 2.0", c'eût été une conférence qu'on peut suivre sur le Net en temps réel ou en différé. Je crois que je vais le suggérer à la personne qui m'a invité.
C'est flatteur, au point de départ, mais je doute fortement pouvoir assister à cet événement. 250 km à parcourir à l'aller, (autnat au retour, logiquement!), me faire libérer par ma direction une journée entière, juste pour une conférence de presse dont j'imagine que je pourrai lire le contenu quelque part, ce qui serait pour moi beaucoup plus pratique, finalement.
Malgré tout, je ne peux que me rendre quand même à l'évidence que les blogues commencent à avoir une certaine influence. On nous voit, on nous lit, même juste un peu, on nous qualifie parfois d'embêtants (surtout pour certains journalistes (M. Schnobb et cie) qui pensent ou laissent croire qu'on leur fait une forme de compétition alors que je nous vois plus comme dans un rôle complémentaire...) Sincèrement, j'ose donc ici croire que c'est un peu cette influence bloguesque qui a amené l'invitation.
Ce qui aurait été l'idéal pour rejoindre toute cette jungle plutôt "web 2.0", c'eût été une conférence qu'on peut suivre sur le Net en temps réel ou en différé. Je crois que je vais le suggérer à la personne qui m'a invité.
Catégories:
Blogosphère,
Éducation,
Société,
vers_education_deuxpointzero
29 janvier 2008
MAJUSCULES et minuscules ?!?
Je viens de terminer de corriger une grosse pile de travaux, en plus de la compilation des résultats qui devait être terminée pour le début de cette semaine, fin d'étape et production de bulletin oblige.
Une chose que je remarque régulièrement depuis quelques années, comme un petit cancer sournois qui se répand, est l'emploi désordonné des majuscules et des minuscules. Ainsi, il est courant de voir des phrases commençant par une minuscule, puis d'apercevoir çà et là des lettres majuscules en début de mot ou n'importe où dans le mot, selon la fantaisie calligraphique du moment...
C'est bien beau écrire son pseudo en mêlant allègrement majuscules et minuscules sur MSN, mais c'en est une autre de les employer à bon escient quand on veut écrire normalement son français, avec le minimum de conventions à respecter. Je crois cependant que le problème ne se situe pas seulement là, mais qu'il est un mélange de calligraphies diverses qui n'ont jamais été vraiment exigées ou contrôlées. Ou, plus simplement, un peu de paresse ;-)
Tout ceci n'est qu'un détail de plus qui s'ajoute aux nombreuses absences de respect de règles élémentaires de grammaire, mais un détail de plus ou de trop ! Après ce constat, essayez d'expliquer et de distinguer le nom propre désignant les habitants d'un territoire donné (pays, province, région, ville) - qui prend la majuscule - et l'adjectif correspondant !
Une chose que je remarque régulièrement depuis quelques années, comme un petit cancer sournois qui se répand, est l'emploi désordonné des majuscules et des minuscules. Ainsi, il est courant de voir des phrases commençant par une minuscule, puis d'apercevoir çà et là des lettres majuscules en début de mot ou n'importe où dans le mot, selon la fantaisie calligraphique du moment...
C'est bien beau écrire son pseudo en mêlant allègrement majuscules et minuscules sur MSN, mais c'en est une autre de les employer à bon escient quand on veut écrire normalement son français, avec le minimum de conventions à respecter. Je crois cependant que le problème ne se situe pas seulement là, mais qu'il est un mélange de calligraphies diverses qui n'ont jamais été vraiment exigées ou contrôlées. Ou, plus simplement, un peu de paresse ;-)
Tout ceci n'est qu'un détail de plus qui s'ajoute aux nombreuses absences de respect de règles élémentaires de grammaire, mais un détail de plus ou de trop ! Après ce constat, essayez d'expliquer et de distinguer le nom propre désignant les habitants d'un territoire donné (pays, province, région, ville) - qui prend la majuscule - et l'adjectif correspondant !
Motivation
Aujourd'hui, je lis chez Florence, la traduction en français de ce discours de Steve Jobs, PDG fondateur d'Apple.
Personnellement, ce texte m'est tombé dessus comme un coup de fouet, un vrai, un bon. À la suite d'un revirement de situation pas vraiment prévu qui est arrivé comme un bon coup bien asséné, - coup que je digère lentement, à petites doses, depuis quelques mois, me créant d'autres défis que ceux qui existaient auparavant - , j'ai parfois besoin de ce genre de textes motivants et encourageants. Bref, ça fait du bien, et ça donne l'énergie pour continuer !
À écouter ou lire absolument !
Personnellement, ce texte m'est tombé dessus comme un coup de fouet, un vrai, un bon. À la suite d'un revirement de situation pas vraiment prévu qui est arrivé comme un bon coup bien asséné, - coup que je digère lentement, à petites doses, depuis quelques mois, me créant d'autres défis que ceux qui existaient auparavant - , j'ai parfois besoin de ce genre de textes motivants et encourageants. Bref, ça fait du bien, et ça donne l'énergie pour continuer !
À écouter ou lire absolument !
Objet inutile !
Il est de ces objets complètement inutiles. En voici un. Il a été reçu en cadeau lors d'un échange de cadeaux dits quétaines, juste pour rire. Les personnes impliquées dans cet échange devaient rivaliser d'ingéniosité pour dégoter l'objet le plus quétaine ou inutile possible. Je crois que la personne qui a reçu ce cadeau a vraiment été choyée, selon le thème de cet échange ;-)
Maintenant : qui sait ce que ça peut être ?
J'ai deviné du premier coup.
Preuve que j'ai un vrai fond quétaine québécois ou nord-américain ?... :-)
ATTENTION : pas le droit de cliquer sur l'objet ou d'y passer la souris avant d'avoir donné votre réponse ! Sinon, vous allez lire le nom de l'objet (en québécois) qui est aussi le nom du fichier JPG ;-)
Maintenant : qui sait ce que ça peut être ?
J'ai deviné du premier coup.
Preuve que j'ai un vrai fond quétaine québécois ou nord-américain ?... :-)
ATTENTION : pas le droit de cliquer sur l'objet ou d'y passer la souris avant d'avoir donné votre réponse ! Sinon, vous allez lire le nom de l'objet (en québécois) qui est aussi le nom du fichier JPG ;-)
25 janvier 2008
Légalité d'Internet...
Cet après-midi, lors d'une réunion enseignants-direction, une question a été soulevée par un délégué syndical à qui quelqu'un avait posé une question qu'il désirait tout bonnement transmettre à la direction via notre réunion (vous me suivez?), afin de s'enquérir des détails concernant un petit courriel dont les répercussions sont en apparence (et en réalité?) anodines.
C'est que, il y a quelques jours, un directeur adjoint de mon école a déplacé la date d'une réunion dûment convoquée avec son équipe d'enseignants. Il l'a fait via courriel, puisque tous (il me semble) les enseignants qu'il gère ont accepté en début d'année d'être informés par courriel. Là où la question surgit, c'est en lien avec le fait que ce courriel devient en fait une convocation en bonne et due forme, avec l'obligation de présence qui y est reliée si les enseignants ne veulent pas être coupés sur leur paye... Or, pour qu'une convocation soit légale, selon le syndicat, il faut qu'elle soit expédiée "papier". (J'ai déjà abordé ce sujet ici.)
Or, quand j'ai personnellement reçu ledit courriel de mon directeur adjoint, je me suis réjoui du fait qu'il soit écrit que ce courriel constituait une convocation en bonne et due forme (ou plutôt la modification d'une convocation déjà faite longtemps auparavant, quand on fixe les dates de ces réunions en début d'année scolaire).
On est au 21e siècle ! Alors, vivons avec notre époque et arrêtons d'employer les moyens d'hier ! Maintenant que la question a été posée, le directeur adjoint concerné a d'abord semblé embarrassé, ce qui est une réaction normale sur le coup. Mais j'ose souhaiter que la direction continuera d'évoluer dans ses pratiques elle aussi. Après tout, il n'y a pas que les profs qui peuvent prendre le virage, n'est-ce pas ? En bon québécois, on pourrait traduire ce souhait en disant qu'il est souhaitable que la direction garde ses attributs masculins ;-)
(Lire ici un mot qui commence par un c et qui finit par "ouille" ! :-)
Et pour ce qui est de la question du mot légal ou de ses dérivés, il faut savoir que, depuis plusieurs années, des transactions commerciales tout à fait légales se font via Internet. Alors pour la légalité des courriels, il serait temps qu'on évolue tous ensemble.
Note : ce billet ne se veut pas une défense de la direction ou de quelque partie que ce soit. Il se veut juste le reflet du gros bon sens, une réalité que tous (peu importe leurs allégeances) ont parfois tendance à oublier.
C'est que, il y a quelques jours, un directeur adjoint de mon école a déplacé la date d'une réunion dûment convoquée avec son équipe d'enseignants. Il l'a fait via courriel, puisque tous (il me semble) les enseignants qu'il gère ont accepté en début d'année d'être informés par courriel. Là où la question surgit, c'est en lien avec le fait que ce courriel devient en fait une convocation en bonne et due forme, avec l'obligation de présence qui y est reliée si les enseignants ne veulent pas être coupés sur leur paye... Or, pour qu'une convocation soit légale, selon le syndicat, il faut qu'elle soit expédiée "papier". (J'ai déjà abordé ce sujet ici.)
Or, quand j'ai personnellement reçu ledit courriel de mon directeur adjoint, je me suis réjoui du fait qu'il soit écrit que ce courriel constituait une convocation en bonne et due forme (ou plutôt la modification d'une convocation déjà faite longtemps auparavant, quand on fixe les dates de ces réunions en début d'année scolaire).
On est au 21e siècle ! Alors, vivons avec notre époque et arrêtons d'employer les moyens d'hier ! Maintenant que la question a été posée, le directeur adjoint concerné a d'abord semblé embarrassé, ce qui est une réaction normale sur le coup. Mais j'ose souhaiter que la direction continuera d'évoluer dans ses pratiques elle aussi. Après tout, il n'y a pas que les profs qui peuvent prendre le virage, n'est-ce pas ? En bon québécois, on pourrait traduire ce souhait en disant qu'il est souhaitable que la direction garde ses attributs masculins ;-)
(Lire ici un mot qui commence par un c et qui finit par "ouille" ! :-)
Et pour ce qui est de la question du mot légal ou de ses dérivés, il faut savoir que, depuis plusieurs années, des transactions commerciales tout à fait légales se font via Internet. Alors pour la légalité des courriels, il serait temps qu'on évolue tous ensemble.
Note : ce billet ne se veut pas une défense de la direction ou de quelque partie que ce soit. Il se veut juste le reflet du gros bon sens, une réalité que tous (peu importe leurs allégeances) ont parfois tendance à oublier.
Catégories:
Éducation,
Internet,
Société,
Technologie,
vers_education_deuxpointzero
24 janvier 2008
Le monde est petit...
On entend souvent cette phrase lorsqu'on croise (physiquement, surtout) quelqu'un qui connait quelqu'un qui nous connait...
Aujourd'hui, je parle plutôt de la petitesse de notre Terre !
Habitant Québec, je me trouve souvent au milieu d'un trajet entre des gens de ma parenté... et un aéroport assez près de chez moi. Ce fut le cas hier, alors qu'une parente ayant pris l'autobus au Lac-St-Jean est venue souper puis dormir quelques heures chez nous avant que nous allions la reconduire à l'aéroport vers les 4h30 du matin.
Je trouve toujours plaisant ces moments de transit où on peut jaser un peu avec ces grands voyageurs, s'informer de leurs plans de vol, regarder quelques renseignements utiles ici et là sur le Net. Ce fut encore le cas hier soir. (En plus de pouvoir terminer les derniers préparatifs entre cette parente et sa fille, qui habite à 7000 km de route d'ici, mais à moins de 5000 km à vol d'oiseau... ou d'avion). Vive Skype !
Tout en jasant : quelques découvertes, dont celle-ci, un calculateur de distance qui permet de voir à quelle vitesse on peut avaler les kilomètres (même physiquement) de nos jours où la planète rapetisse sans cesse grâce surtout à la phénoménale croissance du Net et de tous les outils qui en font partie.
Ainsi, on peut savoir que la parente hébergée hier soir aura fait, dans moins de 20 heures, plus de 8000 km, pendant que sa fille aura parcouru un peu moins de 5000 km de son côté pour la rejoindre. Belle façon de vieillir ensemble (leur anniversaire tombe à environ 2 semaines d'intervalle ces jours-ci) !
Peu après, coïncidence, nous recevions nos passeports fraîchement renouvelés, après 2 petites semaines d'attente. Fins prêts nous serons, nous aussi, pour notre voyage dans quelques semaines...
MISE À JOUR : 2008-01-25--10h30
Découvert un site pour suivre en direct les vols : ici. Tout ce que ça prend, c'est la compagnie aérienne et, idéalement pour plus de rapidité, le numéro du vol. Simple et pratique ! On suit l'avion à la trace ou presque, vitesse, altitude, heure d'arrivée prévue,puis réelle, heure de départ également, etc.
Aujourd'hui, je parle plutôt de la petitesse de notre Terre !
Habitant Québec, je me trouve souvent au milieu d'un trajet entre des gens de ma parenté... et un aéroport assez près de chez moi. Ce fut le cas hier, alors qu'une parente ayant pris l'autobus au Lac-St-Jean est venue souper puis dormir quelques heures chez nous avant que nous allions la reconduire à l'aéroport vers les 4h30 du matin.
Je trouve toujours plaisant ces moments de transit où on peut jaser un peu avec ces grands voyageurs, s'informer de leurs plans de vol, regarder quelques renseignements utiles ici et là sur le Net. Ce fut encore le cas hier soir. (En plus de pouvoir terminer les derniers préparatifs entre cette parente et sa fille, qui habite à 7000 km de route d'ici, mais à moins de 5000 km à vol d'oiseau... ou d'avion). Vive Skype !
Tout en jasant : quelques découvertes, dont celle-ci, un calculateur de distance qui permet de voir à quelle vitesse on peut avaler les kilomètres (même physiquement) de nos jours où la planète rapetisse sans cesse grâce surtout à la phénoménale croissance du Net et de tous les outils qui en font partie.
Ainsi, on peut savoir que la parente hébergée hier soir aura fait, dans moins de 20 heures, plus de 8000 km, pendant que sa fille aura parcouru un peu moins de 5000 km de son côté pour la rejoindre. Belle façon de vieillir ensemble (leur anniversaire tombe à environ 2 semaines d'intervalle ces jours-ci) !
Peu après, coïncidence, nous recevions nos passeports fraîchement renouvelés, après 2 petites semaines d'attente. Fins prêts nous serons, nous aussi, pour notre voyage dans quelques semaines...
MISE À JOUR : 2008-01-25--10h30
Découvert un site pour suivre en direct les vols : ici. Tout ce que ça prend, c'est la compagnie aérienne et, idéalement pour plus de rapidité, le numéro du vol. Simple et pratique ! On suit l'avion à la trace ou presque, vitesse, altitude, heure d'arrivée prévue,puis réelle, heure de départ également, etc.
22 janvier 2008
Paradoxe météorologique ?
Non, je ne vais pas vous entretenir à nouveau des paradoxes mathématiques de mon thermomètre !
C'est plutôt qu'hier, je faisais un rapprochement entre la température extérieure (sans facteur exagérex - ben assez frette comme ça) et la température financière de Québécor World.
Je me suis alors dit que PKP devait avoir très chaud, malgré l'air ambiant... Quoique ce froid doit probablement habiter les petits actionnaires qui ne reverront probablement jamais leur investissement. Québécor World, une partie de l'empire Québécor, va très mal, c'est le moins qu'on puisse dire : en même temps, le domaine de l'impression traditionnelle doit se renouveler s'il ne veut pas finir ainsi.
Tout ça a fini par m'inspirer ce montage photo brouillon, fait en 5 minutes, sans peaufinage : pas l'temps !
Il y a donc un gros bloc de l'empire Québécor qui fond comme neige au soleil (ou glace sur le comptoir), pendant qu'à l'extérieur on se les gèle ;-)
C'est plutôt qu'hier, je faisais un rapprochement entre la température extérieure (sans facteur exagérex - ben assez frette comme ça) et la température financière de Québécor World.
Je me suis alors dit que PKP devait avoir très chaud, malgré l'air ambiant... Quoique ce froid doit probablement habiter les petits actionnaires qui ne reverront probablement jamais leur investissement. Québécor World, une partie de l'empire Québécor, va très mal, c'est le moins qu'on puisse dire : en même temps, le domaine de l'impression traditionnelle doit se renouveler s'il ne veut pas finir ainsi.
Tout ça a fini par m'inspirer ce montage photo brouillon, fait en 5 minutes, sans peaufinage : pas l'temps !
Il y a donc un gros bloc de l'empire Québécor qui fond comme neige au soleil (ou glace sur le comptoir), pendant qu'à l'extérieur on se les gèle ;-)
20 janvier 2008
Vitre électrique - version revue !
Tombé là-dessus par hasard ce matin, via un courriel reçu...
Seul problème : il me semble que les "mixettes", ça fonctionne sur le 110 volts, non ? Onduleur du Pneu Canadien en option ? ;-/
Seul problème : il me semble que les "mixettes", ça fonctionne sur le 110 volts, non ? Onduleur du Pneu Canadien en option ? ;-/
19 janvier 2008
Le prix de la minceur... (modifié)
Plusieurs en ont parlé, mais je voulais mettre mon grain de sel à propos du nouveau MacBook Air, l'ordinateur portable ultra-mince d'Apple, lancé par Steve Jobs, lors de son allocution (Keynote) au MacWorld de San Francisco cette semaine, la grand'messe annuelle des adeptes de La Pomme.
Comme toujours chez Apple, le produit est superbe. Vraiment très beau. Esthétiquement, c'est très réussi. Là où d'autres se sont essayés, Apple a réussi à faire un mini-portable, mais avec un écran plus gros que ce à quoi plusieurs s'attendaient et un clavier pleine grandeur (qui a finalement décidé de la taille de l'écran...)
Mais, car il y en a plusieurs, l'ordi est trop cher pour ce qu'il offre, selon moi.
Disque dur à 4200 tr/mn, c'est plus lent que les 5400 (et même 7200 en option) auxquels on est habitué dans les portables Apple. Disque dur flash en option, mais cette option a un prix actuellement démesuré. L'attente est donc conseillée, car on sait que des disques durs flash, ça s'en vient lentement mais sûrement ! Autre élément ici : je ne sais pas quelle peut être l'amélioration du temps d'accès en vitesse. J'imagine que c'est beaucoup comparé à un disque dur "mécanique"...
Mémoire soudée à la carte mère, donc aucune possibilité d'expansion... Un peu incongru, à mon avis, quand on sait que la tendance aux logiciels (système d'exploitation inclus) de plus en plus gourmands en mémoire ne cesse d'être très présente.
Mémoire vidéo somme toute assez restreinte (144 Mo).
Batterie style iPod, i.e. non remplaçable, sauf par un technicien spécialisé. On parle d'un coût équivalent, mais ça me laisse un peu refroidi, ça aussi...
Pas de prise Firewire (bof, puisque si peu de périphériques FW disponibles), mais pas de prise Ethernet non plus. Le Wi-Fi, ça se répand de plus en plus, mais on doit encore accéder "avec fil" aux réseaux dans plusieurs lieux, quand la borne sans fil est trop éloignée physiquement, comme dans un local de classe situé trop loin de la salle des profs où les routeurs sans fil logent... Je sais qu'il existe un petit adaptateur USB-Ethernet pour 29 $, mais ça fait encore un autre gugusse à brancher.
Pas de lecteur optique non plus. On parle beaucoup de la répétition de l'historique disparition du lecteur de disquettes (ce support archaïque et suranné que les PC non Apple se sont obstinés à garder pendant des années après qu'Apple eût abandonné ce désuet support). Mais il est peut-être encore un peu trop tôt pour abandonner le lecteur optique, à mon avis, car la location de films supposément répandue via l'iTune store ou autres, c'est encore assez théorique, surtout au Canada, pays où on emboîte le pas traditionnellement assez tard, par rapport aux É-U.
Bref, un appareil génial de par sa conception, surtout esthétique, mais qui est peut-être un peu en avance sur son temps, tout en intégrant certaines composantes roulant à des vitesses d'hier.
Aux 1800 $ du modèle de base, on ajoute 200 $ et on obtient un MacBook Pro plus rapide (au prix éducationnel)... Ça dit tout, il me semble. Quant au modèle avec disque dur flash, son prix équivaut à peu près à celui du MacBook Pro de 17 pouces qui, lui, est toute une bête.
Le MacBook Air a donc un avenir, mais il se situe un peu (beaucoup) plus loin devant lui...
Quant aux comparaisons avec le XO, disons simplement que ce sont deux projets TOTALEMENT différents, qui appartiennent à deux mondes passablement éloignés l'un de l'autre.
MISE À JOUR : 2008-01-25--16h00 :
Voici le rapport de tests comparatifs (benchmarks) effectués. Découvert sur le site de MacQuébec. En gros, ça confirme ce que plusieurs en disaient sans avoir mesuré quoi que ce soit...
Comme toujours chez Apple, le produit est superbe. Vraiment très beau. Esthétiquement, c'est très réussi. Là où d'autres se sont essayés, Apple a réussi à faire un mini-portable, mais avec un écran plus gros que ce à quoi plusieurs s'attendaient et un clavier pleine grandeur (qui a finalement décidé de la taille de l'écran...)
Mais, car il y en a plusieurs, l'ordi est trop cher pour ce qu'il offre, selon moi.
Disque dur à 4200 tr/mn, c'est plus lent que les 5400 (et même 7200 en option) auxquels on est habitué dans les portables Apple. Disque dur flash en option, mais cette option a un prix actuellement démesuré. L'attente est donc conseillée, car on sait que des disques durs flash, ça s'en vient lentement mais sûrement ! Autre élément ici : je ne sais pas quelle peut être l'amélioration du temps d'accès en vitesse. J'imagine que c'est beaucoup comparé à un disque dur "mécanique"...
Mémoire soudée à la carte mère, donc aucune possibilité d'expansion... Un peu incongru, à mon avis, quand on sait que la tendance aux logiciels (système d'exploitation inclus) de plus en plus gourmands en mémoire ne cesse d'être très présente.
Mémoire vidéo somme toute assez restreinte (144 Mo).
Batterie style iPod, i.e. non remplaçable, sauf par un technicien spécialisé. On parle d'un coût équivalent, mais ça me laisse un peu refroidi, ça aussi...
Pas de prise Firewire (bof, puisque si peu de périphériques FW disponibles), mais pas de prise Ethernet non plus. Le Wi-Fi, ça se répand de plus en plus, mais on doit encore accéder "avec fil" aux réseaux dans plusieurs lieux, quand la borne sans fil est trop éloignée physiquement, comme dans un local de classe situé trop loin de la salle des profs où les routeurs sans fil logent... Je sais qu'il existe un petit adaptateur USB-Ethernet pour 29 $, mais ça fait encore un autre gugusse à brancher.
Pas de lecteur optique non plus. On parle beaucoup de la répétition de l'historique disparition du lecteur de disquettes (ce support archaïque et suranné que les PC non Apple se sont obstinés à garder pendant des années après qu'Apple eût abandonné ce désuet support). Mais il est peut-être encore un peu trop tôt pour abandonner le lecteur optique, à mon avis, car la location de films supposément répandue via l'iTune store ou autres, c'est encore assez théorique, surtout au Canada, pays où on emboîte le pas traditionnellement assez tard, par rapport aux É-U.
Bref, un appareil génial de par sa conception, surtout esthétique, mais qui est peut-être un peu en avance sur son temps, tout en intégrant certaines composantes roulant à des vitesses d'hier.
Aux 1800 $ du modèle de base, on ajoute 200 $ et on obtient un MacBook Pro plus rapide (au prix éducationnel)... Ça dit tout, il me semble. Quant au modèle avec disque dur flash, son prix équivaut à peu près à celui du MacBook Pro de 17 pouces qui, lui, est toute une bête.
Le MacBook Air a donc un avenir, mais il se situe un peu (beaucoup) plus loin devant lui...
Quant aux comparaisons avec le XO, disons simplement que ce sont deux projets TOTALEMENT différents, qui appartiennent à deux mondes passablement éloignés l'un de l'autre.
MISE À JOUR : 2008-01-25--16h00 :
Voici le rapport de tests comparatifs (benchmarks) effectués. Découvert sur le site de MacQuébec. En gros, ça confirme ce que plusieurs en disaient sans avoir mesuré quoi que ce soit...
L'enfant en «cage» - la suite !
Vous vous rappelez de cet enfant isolé dans un coin de retrait dans la classe en février 2007 ?
Prof Masqué publie un excellent billet qui résume très bien la situation ! Allez lire, c'est vraiment très bien :-)
-L'enseignante, faisant preuve d'un grand courage, poursuit les parents de l'élève en question, qui avait été isolé, mis en retrait, afin d'effectuer auprès de lui un arrêt d'agir nécessaire à la suite d'un comportement inapproprié. L'histoire avait été montée en épingle dans les médias, mais l'enseignante s'est ressaisie. Juste ça, ça demande beaucoup de forces et d'énergie que, normalement, on met ailleurs en enseignement. Elle a tout mon appui ! Et elle en aura besoin, d'appuis, tout au long des inévitables procédures que comporte toute démarche judiciaire.
Prof Masqué publie un excellent billet qui résume très bien la situation ! Allez lire, c'est vraiment très bien :-)
-L'enseignante, faisant preuve d'un grand courage, poursuit les parents de l'élève en question, qui avait été isolé, mis en retrait, afin d'effectuer auprès de lui un arrêt d'agir nécessaire à la suite d'un comportement inapproprié. L'histoire avait été montée en épingle dans les médias, mais l'enseignante s'est ressaisie. Juste ça, ça demande beaucoup de forces et d'énergie que, normalement, on met ailleurs en enseignement. Elle a tout mon appui ! Et elle en aura besoin, d'appuis, tout au long des inévitables procédures que comporte toute démarche judiciaire.
18 janvier 2008
Supérieur depuis toujours... ;-)
Selon cet article (référence trouvée chez Photosmax), je serais supérieur depuis de nombreuses années, étant un utilisateur Mac (et Apple IIe avant l'existence des Macs) depuis 25 ans !
17 janvier 2008
WeatherDock - Météo portative...
Voici un petit (in)utilitaire gratuit (freeware) que je teste depuis quelques jours sur mon ordi : WeatherDock.
Logiciel très complet qui joue le rôle de petite station météo portative (si on a déjà le portable... et la connexion requise!), ou station météo visuellement conviviale, si on compare aux sites météo spécialisés comme celui de la météo aérienne qu'un de mes élèves, passionné d'aviation, m'a fait découvrir l'autre jour.
Voici donc quelques captures-écran réalisées presque en même temps, avec quelques lieux en guise de clin d'oeil à certains lecteurs ici ;-)
(Les autres, ne soyez pas offusqués, j'ai pris les plus éloignés physiquement parlant !)
En gros, on choisit ce qu'on veut indiquer dans la barre de menus (de rien du tout à tout ce qui est offert (Voir ge ci-dessous = ce que l'on peut obtenir quand on déroule le menu au complet). Il y a aussi un système de badges (ci-dessous), configurables à souhait, que l'on peut faire afficher sur l'écran et dan le Dock, ou dans le Dock seulement.
Seul bémol jusqu'à présent : dans la barre de menus, on indique la direction OÙ VA le vent, au lieu d'indiquer D'OÙ IL VIENT : vraiment étrange ! Dans le système de badges, par contre, la vraie direction du vent est indiquée, symbolisée par une flèche qui pointe là où le vent va, mais qui part d'où il vient... Exemple ci-dessous.
Logiciel très complet qui joue le rôle de petite station météo portative (si on a déjà le portable... et la connexion requise!), ou station météo visuellement conviviale, si on compare aux sites météo spécialisés comme celui de la météo aérienne qu'un de mes élèves, passionné d'aviation, m'a fait découvrir l'autre jour.
Voici donc quelques captures-écran réalisées presque en même temps, avec quelques lieux en guise de clin d'oeil à certains lecteurs ici ;-)
(Les autres, ne soyez pas offusqués, j'ai pris les plus éloignés physiquement parlant !)
En gros, on choisit ce qu'on veut indiquer dans la barre de menus (de rien du tout à tout ce qui est offert (Voir ge ci-dessous = ce que l'on peut obtenir quand on déroule le menu au complet). Il y a aussi un système de badges (ci-dessous), configurables à souhait, que l'on peut faire afficher sur l'écran et dan le Dock, ou dans le Dock seulement.
Seul bémol jusqu'à présent : dans la barre de menus, on indique la direction OÙ VA le vent, au lieu d'indiquer D'OÙ IL VIENT : vraiment étrange ! Dans le système de badges, par contre, la vraie direction du vent est indiquée, symbolisée par une flèche qui pointe là où le vent va, mais qui part d'où il vient... Exemple ci-dessous.
16 janvier 2008
Podcast avec meilleure diction !
Faisons une pub :
Tu trouves que ta voix sonne plus ou moins bien ? C'est maintenant possible de faire des podcasts avec la voix de ton choix, ou presque !
Grâce à Kaçandre Bourdelais (ici), j'ai découvert la semaine dernière un logiciel (malheureusement pas gratuit), GhostReader (admirez la prononciation en français dans les extraits MP3 ci-dessous ;-).
Le logiciel est très simple d'utilisation.
On peut juste faire "parler" le texte : quand GhostReader est ouvert, on sélectionne du texte dans n'importe quel logiciel et on choisit "Speak Selection" parmi les boutons (Voir fenêtre ci-dessous) et le texte est lu à haute voix, par le personnage choisi.
Pour la réalisation de podcasts, on ouvre une nouvelle fenêtre Reader ( Bouton New Reader), puis on colle le texte à être lu dans la fenêtre qui s'est ouverte. Ensuite, on peut exporter le tout sous forme audio non compressée (Fichier AIFF) ou exporter vers iTunes (en AAC ou MP3).
Simple et rapide !
Malgré tout, quelques petits défauts, audibles à l'écoute de ces deux extraits MP3 : le premier avec la voix française (de France) de Bruno, le deuxième avec la voix québécoise de Louise.
Bruno :
Louise :
NDLR : Je n'ai reçu aucune somme pour évaluer ce produit, ni n'ai été contacté par quelque firme que ce soit. Ceci constitue donc une critique complètement libre et transparente. À la suite de tests plus ou moins transparents par des blogueurs (dont certains fort connus) (Voir l'article ici, dans Le Soleil, article qui sort fort longtemps après les événements...), et des critiques qui ont suivi, je préfère l'écrire tout de suite, plutôt que de ramasser inutilement des pots cassés, si virtuels soient-ils !
MISE À JOUR : 2008-01-16 - 19h30 :
Après quelques petits tests : Peut-être un défaut majeur de GhostReader (outre la non-gratuité) : depuis l'installation du logiciel ça fait deux fois que mon ordi (avec GhostReader ouvert) ne se réveille plus après une période de veille (couvercle fermé = veille). Plantage sans possibilité de redémarrage, même en utilisant certaines combinaisons de touches... Le redémarrage en tenant le "power" pendant plusieurs secondes devient alors la seule solution. Pas plaisant, quand on sait que je redémarre mon ordi une fois par mois environ, que je laisse 10 à 20 applications ouvertes en tout temps, que je ne fais que mettre en veille en fermant le couvercle-écran quand je ne l'utilise pas...
Tu trouves que ta voix sonne plus ou moins bien ? C'est maintenant possible de faire des podcasts avec la voix de ton choix, ou presque !
Grâce à Kaçandre Bourdelais (ici), j'ai découvert la semaine dernière un logiciel (malheureusement pas gratuit), GhostReader (admirez la prononciation en français dans les extraits MP3 ci-dessous ;-).
Le logiciel est très simple d'utilisation.
On peut juste faire "parler" le texte : quand GhostReader est ouvert, on sélectionne du texte dans n'importe quel logiciel et on choisit "Speak Selection" parmi les boutons (Voir fenêtre ci-dessous) et le texte est lu à haute voix, par le personnage choisi.
Pour la réalisation de podcasts, on ouvre une nouvelle fenêtre Reader ( Bouton New Reader), puis on colle le texte à être lu dans la fenêtre qui s'est ouverte. Ensuite, on peut exporter le tout sous forme audio non compressée (Fichier AIFF) ou exporter vers iTunes (en AAC ou MP3).
Simple et rapide !
Malgré tout, quelques petits défauts, audibles à l'écoute de ces deux extraits MP3 : le premier avec la voix française (de France) de Bruno, le deuxième avec la voix québécoise de Louise.
Bruno :
Louise :
NDLR : Je n'ai reçu aucune somme pour évaluer ce produit, ni n'ai été contacté par quelque firme que ce soit. Ceci constitue donc une critique complètement libre et transparente. À la suite de tests plus ou moins transparents par des blogueurs (dont certains fort connus) (Voir l'article ici, dans Le Soleil, article qui sort fort longtemps après les événements...), et des critiques qui ont suivi, je préfère l'écrire tout de suite, plutôt que de ramasser inutilement des pots cassés, si virtuels soient-ils !
MISE À JOUR : 2008-01-16 - 19h30 :
Après quelques petits tests : Peut-être un défaut majeur de GhostReader (outre la non-gratuité) : depuis l'installation du logiciel ça fait deux fois que mon ordi (avec GhostReader ouvert) ne se réveille plus après une période de veille (couvercle fermé = veille). Plantage sans possibilité de redémarrage, même en utilisant certaines combinaisons de touches... Le redémarrage en tenant le "power" pendant plusieurs secondes devient alors la seule solution. Pas plaisant, quand on sait que je redémarre mon ordi une fois par mois environ, que je laisse 10 à 20 applications ouvertes en tout temps, que je ne fais que mettre en veille en fermant le couvercle-écran quand je ne l'utilise pas...
Catégories:
Découvertes,
Éducation,
Technologie,
vers_education_deuxpointzero
14 janvier 2008
12 janvier 2008
Moins zéro !
Mercury Messenger 1.9
Tout le monde sait, ou presque (!), que MSN, le (trop) populaire logiciel de clavardage de Microsoft possède des «blocages» dans sa version Mac pour que la vidéo-conférence ne puisse être active. Une autre niaiserie de chez Microsoft : on n'en est pas à la première, loin de là...
En attendant, je contourne le problème très facilement, grâce à Skype, qui fonctionne à merveille, en autant que le PCiste interlocuteur installe Skype sur son appareil lui aussi. À partir de là, tout baigne !
Un élève me mentionnait hier qu'il existe un logiciel qui permet de «débloquer» la vidéo sur MSN Mac. Mercury Messenger, version 1.9, est le logiciel désigné... Je ne l'ai pas essayé, faute de temps, et aussi parce que Skype va bien pour moi et mes interlocuteurs réguliers. Quant aux autres, la rapidité avec laquelle je tape sur un clavier fait en sorte que ça rend le mal (de ne pas avoir la vidéo activée) beaucoup plus supportable ;-)
En attendant, je contourne le problème très facilement, grâce à Skype, qui fonctionne à merveille, en autant que le PCiste interlocuteur installe Skype sur son appareil lui aussi. À partir de là, tout baigne !
Un élève me mentionnait hier qu'il existe un logiciel qui permet de «débloquer» la vidéo sur MSN Mac. Mercury Messenger, version 1.9, est le logiciel désigné... Je ne l'ai pas essayé, faute de temps, et aussi parce que Skype va bien pour moi et mes interlocuteurs réguliers. Quant aux autres, la rapidité avec laquelle je tape sur un clavier fait en sorte que ça rend le mal (de ne pas avoir la vidéo activée) beaucoup plus supportable ;-)
09 janvier 2008
Éducation 2.0 et profs 1.0 ou moins...
On en a discuté un peu ici et là... entre autres.
Depuis ce temps - et même avant - que mon cerveau essaie de se faire une synthèse de la situation, une tentative de vision globale du phénomène, tentant en même temps de cerner les deux côtés de la médaille (car une médaille a TOUJOURS deux côtés, sinon, en sablant la médaille pour tenter d'arriver de l'autre côté, on finit par ne plus avoir de côtés du tout ! - Simpliste, mais pourtant vrai).
En éducation, on a diverses façons de faire apprendre... Je simplifie volontairement beaucoup ici. L'objectif étant l'idée générale, pas les multiples détails dans lesquels on se perd trop souvent.
Alors d'un côté, nous avons les technologies, avec leurs diverses utilités ou inutilités, selon que l'on considère certains divertissements comme profondément inutiles, bien qu'il y ait des utilités évidentes qui ressortent de plus en plus... et qu'il y ait des apprentissages possibles à travers les apparentes inutilités ! Ce débat ne sera jamais clos, point (pas final).
De l'autre côté, nous avons les vieilles méthodes qui ont supposément fait leurs preuves. Il est ici question de "la cruche que l'on remplit" à force de discours plus ou moins bien sentis ou plus ou moins creux, de vérités plus ou moins importantes ou utiles aux autres éléments de connaissances plus ou moins inutiles, "parce que ça ne servira jamais dans la vie" (argument de plusieurs jeunes que j'ai entendu combientes fois).
À travers ça, on a beaucoup de profs qu'on pourrait appeler «traditionnels», au plan technologique, parce que les ordis et autres appareils, c'est fait pour accomplir des tâches traditionnelles, bureautiques, une sorte de grosse calculatrice pour faire un peu plus rapidement - quand le système d'exploitation (ai-je dit Windows, car les autres systèmes...) ne plante pas - des tâches répétitives, etc. Pour eux, un téléphone, si cellulaire ou portable soit-il, c'est fait pour téléphoner, point final. Le reste n'est que gadgets pour amuser la galerie et, surtout, pour faire engranger des profits faramineux aux compagnies qui vendent des forfaits tous plus chers les uns que les autres. En cela, au Canada, les forfaits et les règlementations CRTCiennes (autre organisme archi-archaïque qui vit encore à l'âge de pierre) favorisent finalement ce genre de pratique à la limite du frauduleux !
De l'autre côté, en très petit nombre, on a ce que Missmath a appelé (ici) des hurluberlus extraterrestres (J'aime bien). Ce sont ceux qui innovent, qui osent aller plus loin, qui essaient à tout le moins un peu de le faire, qui ont compris que les pseudo-perfectionnements offerts souvent sous forme de congrès (où tout ce qui est utile pourrait être fait en moins d'un jour (mais le social en direct, c'est aussi important, je le sais - les jeunes aussi)) sont pour la plupart plus ou moins consciemment conçus pour nous garder dans un système qui ne cherche pas vraiment l'évolution, encore moins la révolution. Le confort, c'est la première priorité, bon ! La sécurité, collective comme personnelle, c'est encore plus important, alors ne menaçons rien, et ne faisons pas bouger rien... c'est si difficile, ramasser un vase cassé.
On a donc parlé des moyens (les technologies) et des profs. Soit.
Mais parle-t-on des élèves ? Souventes fois, oui. Mais très souvent les considèrent-on comme un bloc monolithique, eux aussi. Ça doit être une déformation causée par le système qui veut nous transmettre une vision à son image ;-)
Les élèves ne sont pas tous 2.0. Certains à cause de lacunes de formation, lacunes elles-mêmes causées en partie par des enseignants traditionnels dans le fond... même si peut-être pas toujours traditionnels dans la forme, occasionnelle, ce que j'appellerais le «patchage technologique», comme cette CP dont je tairai le nom et qui donnait comme exemple d'intégration des TIC le fait d'écrire son travail avec Word !!! OUF !!!
Certains élèves sont un peu, parfois, beaucoup 2.0 hors école, mais ne savent alors pas qu'ils apprennent. Il est évident qu'ils n'apprennent alors pas tout ce que l'on voudrait qu'ils apprennent. Mais il est aussi évident que ces apprentissages ne sont pas encadrés, faute d'encadrants véritablement capables de le faire. D'un autre côté, a-t-on toujours besoin d'un cadre ?... Autre bonne question !
Avec les cellulaires, il est aussi évident que ce ne sont pas tous les élèves qui sont 2.0. Les fonctions de téléphonie (la première vraie fonction d'un... téléphone, justement) et de textes SMS sont beaucoup utilisées, mais il ne faut pas sous-estimer les autres fonctions qui, même si elles ne sont actuellement pas très présentes en termes statistiques, finiront par gagner du terrain à mesure que les prix des appareils baisseront et que le prix des forfaits finira peut-être par en faire autant, du moins l'espèré-je !
Certains élèves, et certains enseignants, ne sont pas de grands utilisateurs de technologies par tempéramment, mais aussi parfois faute de budget. Ce n'est pas tout le monde qui peut se permettre de posséder un ordinateur portable, ou un cellulaire, ou un iPod, ou ... Aurons-nous un jour un système d'éducation à deux vitesses ? D'un côté, ceux qui ont les moyens de s'équiper technologiquement, et les pauvres de l'autre côté ? Aurons-nous droit pour ces gens au portable à 100$ qui finira par coûter un peu plus (Le XO) ? Certains diront que nous avons déjà deux vitesses au Québec, le privé et le public. Mais c'est un autre débat à mon avis... quoique...
Donc, si je tente de résumé les divers volets qui se bousculent dans ma pensée, et dans la vraie vie aussi, il y a de plus en plus d'élèves, nés dans cette sauce technologique, qui sont prêts à passer à l'éducation 2.0. Certains y sont déjà actifs, hors sytème de l'éducation. Certains sont de simples utilisateurs, plus ou moins inconscients des apprentissages réalisés sans supervision. Reste que les profs, eux, sont de la génération de ceux qui ont vu naître les vidéos (VHS, surtout, Beta pour les plus vieux dont je suis déjà ;-)), l'ordinateur personnel et les téléphones cellulaires... Mais il y a aussi certains enseignants, qui sont presque nés avec les vidéos, qui n'ont pas pris aucun virage technologique. Ce dernier phénomène m'inquiète un peu plus que les autres, mais en même temps, comme on le dit chez Missmath dans la référence précitée, ils n'ont eu aucun modèle. Alors peut-être sont-ils plus mimétiques que l'on pense, finalement.
Je suis conscient que ce texte est fort incomplet. Il se veut un essai, un début de synthèse de ce qui touche actuellement l'Éducation 2.0, ou l'application à l'éducation du Web 2.0, si l'on veut.
Dans un cours d'histoire juive, on nous disait jadis que les Juifs - qui ont une excellente mémoire historique, de par tous les rappels et les célébrations qui visent justement à garder active cette mémoire de qui on est et d'où l'on vient - que les Juifs, donc, avaient eu le don de s'approprier plusieurs textes historiques d'autres cultures qui les entouraient (textes babyloniens, etc.), leur permettant de survivre, comme civilisation. D'une façon analogue, saurons-nous, comme profs, nous approprier les technologies afin de les inclure en éducation, afin de survivre, comme enseignants, avant que d'autres le fassent avant nous, à notre place ? À la limite, je crois qu'il s'agit presque de la survie du système d'éducation, tel que nous le connaissons. Quoiqu'on peut facilement penser que les technologies vont créer des différences, forcément.
Je n'ai pas abordé ici l'utilisation du iPod (que plusieurs considèrent comme un simple lecteur MP3, ce que les imitations sont souvent, mais l'appareil original est déjà rendu plus loin que ça), car François l'a déjà fait bien mieux que moi ici.
Depuis ce temps - et même avant - que mon cerveau essaie de se faire une synthèse de la situation, une tentative de vision globale du phénomène, tentant en même temps de cerner les deux côtés de la médaille (car une médaille a TOUJOURS deux côtés, sinon, en sablant la médaille pour tenter d'arriver de l'autre côté, on finit par ne plus avoir de côtés du tout ! - Simpliste, mais pourtant vrai).
En éducation, on a diverses façons de faire apprendre... Je simplifie volontairement beaucoup ici. L'objectif étant l'idée générale, pas les multiples détails dans lesquels on se perd trop souvent.
Alors d'un côté, nous avons les technologies, avec leurs diverses utilités ou inutilités, selon que l'on considère certains divertissements comme profondément inutiles, bien qu'il y ait des utilités évidentes qui ressortent de plus en plus... et qu'il y ait des apprentissages possibles à travers les apparentes inutilités ! Ce débat ne sera jamais clos, point (pas final).
De l'autre côté, nous avons les vieilles méthodes qui ont supposément fait leurs preuves. Il est ici question de "la cruche que l'on remplit" à force de discours plus ou moins bien sentis ou plus ou moins creux, de vérités plus ou moins importantes ou utiles aux autres éléments de connaissances plus ou moins inutiles, "parce que ça ne servira jamais dans la vie" (argument de plusieurs jeunes que j'ai entendu combientes fois).
À travers ça, on a beaucoup de profs qu'on pourrait appeler «traditionnels», au plan technologique, parce que les ordis et autres appareils, c'est fait pour accomplir des tâches traditionnelles, bureautiques, une sorte de grosse calculatrice pour faire un peu plus rapidement - quand le système d'exploitation (ai-je dit Windows, car les autres systèmes...) ne plante pas - des tâches répétitives, etc. Pour eux, un téléphone, si cellulaire ou portable soit-il, c'est fait pour téléphoner, point final. Le reste n'est que gadgets pour amuser la galerie et, surtout, pour faire engranger des profits faramineux aux compagnies qui vendent des forfaits tous plus chers les uns que les autres. En cela, au Canada, les forfaits et les règlementations CRTCiennes (autre organisme archi-archaïque qui vit encore à l'âge de pierre) favorisent finalement ce genre de pratique à la limite du frauduleux !
De l'autre côté, en très petit nombre, on a ce que Missmath a appelé (ici) des hurluberlus extraterrestres (J'aime bien). Ce sont ceux qui innovent, qui osent aller plus loin, qui essaient à tout le moins un peu de le faire, qui ont compris que les pseudo-perfectionnements offerts souvent sous forme de congrès (où tout ce qui est utile pourrait être fait en moins d'un jour (mais le social en direct, c'est aussi important, je le sais - les jeunes aussi)) sont pour la plupart plus ou moins consciemment conçus pour nous garder dans un système qui ne cherche pas vraiment l'évolution, encore moins la révolution. Le confort, c'est la première priorité, bon ! La sécurité, collective comme personnelle, c'est encore plus important, alors ne menaçons rien, et ne faisons pas bouger rien... c'est si difficile, ramasser un vase cassé.
On a donc parlé des moyens (les technologies) et des profs. Soit.
Mais parle-t-on des élèves ? Souventes fois, oui. Mais très souvent les considèrent-on comme un bloc monolithique, eux aussi. Ça doit être une déformation causée par le système qui veut nous transmettre une vision à son image ;-)
Les élèves ne sont pas tous 2.0. Certains à cause de lacunes de formation, lacunes elles-mêmes causées en partie par des enseignants traditionnels dans le fond... même si peut-être pas toujours traditionnels dans la forme, occasionnelle, ce que j'appellerais le «patchage technologique», comme cette CP dont je tairai le nom et qui donnait comme exemple d'intégration des TIC le fait d'écrire son travail avec Word !!! OUF !!!
Certains élèves sont un peu, parfois, beaucoup 2.0 hors école, mais ne savent alors pas qu'ils apprennent. Il est évident qu'ils n'apprennent alors pas tout ce que l'on voudrait qu'ils apprennent. Mais il est aussi évident que ces apprentissages ne sont pas encadrés, faute d'encadrants véritablement capables de le faire. D'un autre côté, a-t-on toujours besoin d'un cadre ?... Autre bonne question !
Avec les cellulaires, il est aussi évident que ce ne sont pas tous les élèves qui sont 2.0. Les fonctions de téléphonie (la première vraie fonction d'un... téléphone, justement) et de textes SMS sont beaucoup utilisées, mais il ne faut pas sous-estimer les autres fonctions qui, même si elles ne sont actuellement pas très présentes en termes statistiques, finiront par gagner du terrain à mesure que les prix des appareils baisseront et que le prix des forfaits finira peut-être par en faire autant, du moins l'espèré-je !
Certains élèves, et certains enseignants, ne sont pas de grands utilisateurs de technologies par tempéramment, mais aussi parfois faute de budget. Ce n'est pas tout le monde qui peut se permettre de posséder un ordinateur portable, ou un cellulaire, ou un iPod, ou ... Aurons-nous un jour un système d'éducation à deux vitesses ? D'un côté, ceux qui ont les moyens de s'équiper technologiquement, et les pauvres de l'autre côté ? Aurons-nous droit pour ces gens au portable à 100$ qui finira par coûter un peu plus (Le XO) ? Certains diront que nous avons déjà deux vitesses au Québec, le privé et le public. Mais c'est un autre débat à mon avis... quoique...
Donc, si je tente de résumé les divers volets qui se bousculent dans ma pensée, et dans la vraie vie aussi, il y a de plus en plus d'élèves, nés dans cette sauce technologique, qui sont prêts à passer à l'éducation 2.0. Certains y sont déjà actifs, hors sytème de l'éducation. Certains sont de simples utilisateurs, plus ou moins inconscients des apprentissages réalisés sans supervision. Reste que les profs, eux, sont de la génération de ceux qui ont vu naître les vidéos (VHS, surtout, Beta pour les plus vieux dont je suis déjà ;-)), l'ordinateur personnel et les téléphones cellulaires... Mais il y a aussi certains enseignants, qui sont presque nés avec les vidéos, qui n'ont pas pris aucun virage technologique. Ce dernier phénomène m'inquiète un peu plus que les autres, mais en même temps, comme on le dit chez Missmath dans la référence précitée, ils n'ont eu aucun modèle. Alors peut-être sont-ils plus mimétiques que l'on pense, finalement.
Je suis conscient que ce texte est fort incomplet. Il se veut un essai, un début de synthèse de ce qui touche actuellement l'Éducation 2.0, ou l'application à l'éducation du Web 2.0, si l'on veut.
Dans un cours d'histoire juive, on nous disait jadis que les Juifs - qui ont une excellente mémoire historique, de par tous les rappels et les célébrations qui visent justement à garder active cette mémoire de qui on est et d'où l'on vient - que les Juifs, donc, avaient eu le don de s'approprier plusieurs textes historiques d'autres cultures qui les entouraient (textes babyloniens, etc.), leur permettant de survivre, comme civilisation. D'une façon analogue, saurons-nous, comme profs, nous approprier les technologies afin de les inclure en éducation, afin de survivre, comme enseignants, avant que d'autres le fassent avant nous, à notre place ? À la limite, je crois qu'il s'agit presque de la survie du système d'éducation, tel que nous le connaissons. Quoiqu'on peut facilement penser que les technologies vont créer des différences, forcément.
Je n'ai pas abordé ici l'utilisation du iPod (que plusieurs considèrent comme un simple lecteur MP3, ce que les imitations sont souvent, mais l'appareil original est déjà rendu plus loin que ça), car François l'a déjà fait bien mieux que moi ici.
Catégories:
Éducation,
Société,
Technologie,
vers_education_deuxpointzero
Caricature du jour...
08 janvier 2008
Le français : un nouveau pas franchi ?
Article somme toute intéressant, au contenu correct, il me semble.
Mais titre absolument nul, qui sème la confusion, qui recherche le sensationnalisme ! Je déteste !
Mais titre absolument nul, qui sème la confusion, qui recherche le sensationnalisme ! Je déteste !
RPM : Rouler en Pensant Musique !
L'autre jour, en rétrogradant pour un dépassement dans le Parc des Laurentides, j'ai soudain remarqué que le moteur s'harmonisait parfaitement avec l'accord en cours dans la pièce musicale qui jouait : un beau LA, bien juste !
Et tout ça m'a rappelé un autre souvenir : je roulais sur la 40, par un bel après-midi, en écoutant une pièce où il y avait une pédale (note tenue pendant plusieurs accords, car elle est commune à ces accords-là) de LA (la note), à la basse, pendant plusieurs mesures. Je m'étais alors aperçu que lorsque je roulais 110 km/h avec mon véhicule du moment (mon fameux Honda Civic familiale 1988 4WD : oui, oui, des Civic 4 roues motrices, ça a déjà existé, de 1986 à 1989, 1990 aux USA), le moteur tournait à 3300 tr/min, ce qui générait un LA, un LA d'autant plus fort que cette fois-là, sur la 40, mon silencieux était bien percé et dû pour être changé. Je m'amusais donc à ce moment à enfoncer un peu plus l'accélérateur, pour le relâcher aussitôt, "mimant" ainsi les attaques de la basse, toujours sur la note la ! Du pur plaisir, ou du pur délire ;-)
Par contre, là où mon questionnement arriva fut sur lequel LA j'entendais alors. En effet, à 3300 tr/min, on obtient normalement un LA 55 Hz (3300/60). Or, j'entendais bel et bien un LA 110 Hz (celui du premier espace en clé de fa, pour les intimes ou les initiés...)
Me rappelle avoir posé la question dans un forum de discussion particulièrement hétéroclite, sans nécessairement passer pour un extra-terrestre. Réponse qui finit par arriver un jour : à chaque tour que fait un moteur à explosion, il se produit en fait deux explosions, d'où la fréquence entendue, deux fois plus élevée que le nombre de tours accomplis par le moteur ! CQFD.
J'aime bien ces épisodes où les liens se font entre divers éléments ou domaines de connaisances, éléments dont on ne voit pas le lien de prime abord :-)
NDLR : La photo n'a PAS été prise en conduisant. Elle a été prise dans un stationnement, pendant que j'appuyais un peu sur l'accélérateur, question d'avoir une aiguille un peu plus haute que 750 tr/min.
Et tout ça m'a rappelé un autre souvenir : je roulais sur la 40, par un bel après-midi, en écoutant une pièce où il y avait une pédale (note tenue pendant plusieurs accords, car elle est commune à ces accords-là) de LA (la note), à la basse, pendant plusieurs mesures. Je m'étais alors aperçu que lorsque je roulais 110 km/h avec mon véhicule du moment (mon fameux Honda Civic familiale 1988 4WD : oui, oui, des Civic 4 roues motrices, ça a déjà existé, de 1986 à 1989, 1990 aux USA), le moteur tournait à 3300 tr/min, ce qui générait un LA, un LA d'autant plus fort que cette fois-là, sur la 40, mon silencieux était bien percé et dû pour être changé. Je m'amusais donc à ce moment à enfoncer un peu plus l'accélérateur, pour le relâcher aussitôt, "mimant" ainsi les attaques de la basse, toujours sur la note la ! Du pur plaisir, ou du pur délire ;-)
Par contre, là où mon questionnement arriva fut sur lequel LA j'entendais alors. En effet, à 3300 tr/min, on obtient normalement un LA 55 Hz (3300/60). Or, j'entendais bel et bien un LA 110 Hz (celui du premier espace en clé de fa, pour les intimes ou les initiés...)
Me rappelle avoir posé la question dans un forum de discussion particulièrement hétéroclite, sans nécessairement passer pour un extra-terrestre. Réponse qui finit par arriver un jour : à chaque tour que fait un moteur à explosion, il se produit en fait deux explosions, d'où la fréquence entendue, deux fois plus élevée que le nombre de tours accomplis par le moteur ! CQFD.
J'aime bien ces épisodes où les liens se font entre divers éléments ou domaines de connaisances, éléments dont on ne voit pas le lien de prime abord :-)
NDLR : La photo n'a PAS été prise en conduisant. Elle a été prise dans un stationnement, pendant que j'appuyais un peu sur l'accélérateur, question d'avoir une aiguille un peu plus haute que 750 tr/min.
07 janvier 2008
Cellulaire à l'école
Des étudiants (au Conseil étudiant) ont récemment demandé un assouplissement de la règle qui stipule que l'utilisation du téléphone cellulaire (portable pour nos cousins outre-Atlantique) soit interdite en tout temps dans l'école. (Règle difficilement gérable ou applicable)
Ce matin, à la traditionnelle assemblée générale (tradition qui a failli être outrepassée par la direction qui voulait initialement commencer ce retour des Fêtes par une journée de cours !), la direction nous a fait part de ce fait...
En bref, et pour éviter de citer directement des personnes qui pourraient se reconnaître, la majorité des enseignants (88 contre 42, excluant les 8 abstentions) n'est pas favorable à ce qu'on se penche un tant soit peu sur les mesures d'assouplissemnt de la règle qu'il pourrait être possible d'envisager.
Quand un enseignant a fait part des utilités possibles du cellulaire comme outil d'apprentissage, on aurait presque dit qu'il y avait un extra-terrestre dans la salle, rien de moins ! Tout à coup, une grande déprime m'a empoigné. J'ai tout à coup senti que le monde de l'éducation s'écroulait lentement, comme un immense bloc monolithique dont la pierre finira par se fissurer. À moins que ce ne soit un pressentiment d'une éventuelle explosion de cette même immense pierre, quand le système accusera un retard trop considérable pour être surmonté... Je ne sais plus en fait...
Le web 2.0 ? L'Éducation 2.0 ? De qu'ossé ? Je crois que la majorité des enseignants sont encore au temps des dinosaures... Bien sûr, il ne faut pas rejeter le passé en bloc, mais en même temps, il faut être de son époque, sinon, vers quelle société nous dirigeons-nous si nous ne savons pas éduquer les futurs acteurs de cette société avec les outils de l'époque concernée ?
Je ne parle pas de technologie gadget ici, ou encore de technologie-consommation, mais de réalité quotidienne et de l'éducation qui doit s'y faire ! Point final...
Ce matin, à la traditionnelle assemblée générale (tradition qui a failli être outrepassée par la direction qui voulait initialement commencer ce retour des Fêtes par une journée de cours !), la direction nous a fait part de ce fait...
En bref, et pour éviter de citer directement des personnes qui pourraient se reconnaître, la majorité des enseignants (88 contre 42, excluant les 8 abstentions) n'est pas favorable à ce qu'on se penche un tant soit peu sur les mesures d'assouplissemnt de la règle qu'il pourrait être possible d'envisager.
Quand un enseignant a fait part des utilités possibles du cellulaire comme outil d'apprentissage, on aurait presque dit qu'il y avait un extra-terrestre dans la salle, rien de moins ! Tout à coup, une grande déprime m'a empoigné. J'ai tout à coup senti que le monde de l'éducation s'écroulait lentement, comme un immense bloc monolithique dont la pierre finira par se fissurer. À moins que ce ne soit un pressentiment d'une éventuelle explosion de cette même immense pierre, quand le système accusera un retard trop considérable pour être surmonté... Je ne sais plus en fait...
Le web 2.0 ? L'Éducation 2.0 ? De qu'ossé ? Je crois que la majorité des enseignants sont encore au temps des dinosaures... Bien sûr, il ne faut pas rejeter le passé en bloc, mais en même temps, il faut être de son époque, sinon, vers quelle société nous dirigeons-nous si nous ne savons pas éduquer les futurs acteurs de cette société avec les outils de l'époque concernée ?
Je ne parle pas de technologie gadget ici, ou encore de technologie-consommation, mais de réalité quotidienne et de l'éducation qui doit s'y faire ! Point final...
Catégories:
Éducation,
Société,
Technologie,
vers_education_deuxpointzero
05 janvier 2008
Identité numérique
... une identité parmi d'autres, finalement !
Il suffit juste de savoir quoi en faire, de la gérer comme on gère nos autres identités (personnelle, professionnelle, administrative et, la petite nouvelle, numérique).
Texte très complet et étoffé d'Olivier Zara, à lire absolument.
Il suffit juste de savoir quoi en faire, de la gérer comme on gère nos autres identités (personnelle, professionnelle, administrative et, la petite nouvelle, numérique).
Texte très complet et étoffé d'Olivier Zara, à lire absolument.
Catégories:
Blogosphère,
Internet,
Société,
Technologie,
vers_education_deuxpointzero
Impression de photos
Hier, à mon retour à la maison après un peu de vacances, ce fut quelques courses, dont celle d'aller chercher les impressions de très nombreuses photos. Impressions que nous avons fait faire chez Jean-Coutu, à cause d'un prix spécial boxing day dont nous nous sommes prévalus le 26 décembre. (10 ¢ la photo, avouons que c'est tentant comme prix !) (Le problème, c'est leur terminal en magasin - trop de photos pour traiter par Internet - qui mélange les photos : on ne sait alors combien de temps il nous reste à faire patienter les clients suivants, à quelques minutes de la fermeture du commerce, car le classement chronologique initial sur le CD aurait permis de savoir où j'en étais rendu dans les recadrages nécessaires... Mais bon...)
Comme ça faisait 16 mois que nous n'avions fait faire aucune impression de photos, il y avait 753 spécimens (en fait un peu moins, car 66 photos provenait de quelqu'un d'autre de la famille qui voulait profiter du prix). Je reste donc fidèle à ma moyenne de 10% des photos prises que je fais imprimer. (À 5000 prises par an, la moyenne est facile à calculer ;-)
Les impressions, maintenant...
J'ai l'impression que les photos sont sorties légèrement trop sombres. Pour certaines (pas beaucoup heureusement), mêmes les couleurs ont souffert. Il est évident que leur système de traitement en est un de masse (batch processing). Alors face à ces photos que j'ai regardées 2 fois plutôt qu'une, j'éprouve tout à coup un sentiment nouveau : celui d'aimer mieux regarder les photos à l'écran que sur papier. Il est vrai qu'un écran de MacBook Pro, ça possède un rendu vraiment très bon, comparé au moniteur ViewSonic vieillissant que je consultais auparavant.
Alors, est-ce parce que je suis mieux équipé, technologiquement parlant, est-ce parce que je me suis habitué aux pixels plutôt qu'au papier ? Je ne sais tout simplement pas. Mais je suis un peu déçu.
Avec un portable, il devient plus facile de transporter ses photos avec soi que de prendre quantité d'albums-photos papier. Vais-je refaire imprimer des photos un jour ? Je ne sais pas non plus... D'autres tests seront peut-être nécessaire. Peut-être que le spécial incluait un batch processing plus cheap ? Encore une question sans réponse.
Comme ça faisait 16 mois que nous n'avions fait faire aucune impression de photos, il y avait 753 spécimens (en fait un peu moins, car 66 photos provenait de quelqu'un d'autre de la famille qui voulait profiter du prix). Je reste donc fidèle à ma moyenne de 10% des photos prises que je fais imprimer. (À 5000 prises par an, la moyenne est facile à calculer ;-)
Les impressions, maintenant...
J'ai l'impression que les photos sont sorties légèrement trop sombres. Pour certaines (pas beaucoup heureusement), mêmes les couleurs ont souffert. Il est évident que leur système de traitement en est un de masse (batch processing). Alors face à ces photos que j'ai regardées 2 fois plutôt qu'une, j'éprouve tout à coup un sentiment nouveau : celui d'aimer mieux regarder les photos à l'écran que sur papier. Il est vrai qu'un écran de MacBook Pro, ça possède un rendu vraiment très bon, comparé au moniteur ViewSonic vieillissant que je consultais auparavant.
Alors, est-ce parce que je suis mieux équipé, technologiquement parlant, est-ce parce que je me suis habitué aux pixels plutôt qu'au papier ? Je ne sais tout simplement pas. Mais je suis un peu déçu.
Avec un portable, il devient plus facile de transporter ses photos avec soi que de prendre quantité d'albums-photos papier. Vais-je refaire imprimer des photos un jour ? Je ne sais pas non plus... D'autres tests seront peut-être nécessaire. Peut-être que le spécial incluait un batch processing plus cheap ? Encore une question sans réponse.
01 janvier 2008
Bonne année !
Deux mots qu'on a peut-être entendus dans les partys de famille où «chacun se la souhaite», comme le dit la vieille chanson, une bonne année assortie de voeux traditionnels, comme la fameuse «Santé» dont certains sont littéralement tannés d'entendre le simple mot, ou le simple souhait...
Il est vrai qu'on peut trouver à redire sur ces souhaits, sur le contenu, la manière de les formuler, la manière de les exprimer, dans le non verbal qui accompagne le souhait, dans l'embrassade ou l'étreinte qui s'y colle ! Et il n'a même pas encore été question des échanges de microbes, particulièrement virulents ces semaines-ci... Ouache !
Mais, en même temps, quand on s'y arrête quelques secondes, comme ce matin en me réveillant, quand on y pense juste un peu, n'est-il pas bon ou sain de se souhaiter, sincèrement, de passer une bonne année au moment où on en commence justement une ?
N'est-il pas agréable de serrer une main,vigoureusement, de prendre quelques secondes pour bien sentir l'énergie et la sincérité qui passe ? N'est-il pas agréable de serrer dans nos bras certaines personnes de la parenté que la nature a plutôt bien pourvues, et qu'on appelait «créatures» à une certaine époque, ou d'autres qu'on voit moins souvent mais dont l'énergie transmise devient contagieuse (comme les microbes, c'est vrai, mais bon...)
Oh, bien sûr, il existe de ces mains que le temps a ramollies, il existe de ces épaules fragilisées et voûtées par le poids des années. L'énergie s'en est peut-être allée progressivement au fil du temps, mais il n'empêche que de prendre le temps de toucher pour sentir un courant sincère circuler est peut-être une réalité dont on commence à être ignorant, en ces temps de virtualité de plus en plus présente.
Sur ce, chers lecteurs, je vous en souhaite une bonne, en 2008. Soyez heureux, virtuellement, sur la Toile, mais aussi dans le réel... euh, ce blogue est bel et bien réel pourtant, alors disons dans le tangible (?). Vous savez ce que je veux dire ;-)
Il est vrai qu'on peut trouver à redire sur ces souhaits, sur le contenu, la manière de les formuler, la manière de les exprimer, dans le non verbal qui accompagne le souhait, dans l'embrassade ou l'étreinte qui s'y colle ! Et il n'a même pas encore été question des échanges de microbes, particulièrement virulents ces semaines-ci... Ouache !
Mais, en même temps, quand on s'y arrête quelques secondes, comme ce matin en me réveillant, quand on y pense juste un peu, n'est-il pas bon ou sain de se souhaiter, sincèrement, de passer une bonne année au moment où on en commence justement une ?
N'est-il pas agréable de serrer une main,vigoureusement, de prendre quelques secondes pour bien sentir l'énergie et la sincérité qui passe ? N'est-il pas agréable de serrer dans nos bras certaines personnes de la parenté que la nature a plutôt bien pourvues, et qu'on appelait «créatures» à une certaine époque, ou d'autres qu'on voit moins souvent mais dont l'énergie transmise devient contagieuse (comme les microbes, c'est vrai, mais bon...)
Oh, bien sûr, il existe de ces mains que le temps a ramollies, il existe de ces épaules fragilisées et voûtées par le poids des années. L'énergie s'en est peut-être allée progressivement au fil du temps, mais il n'empêche que de prendre le temps de toucher pour sentir un courant sincère circuler est peut-être une réalité dont on commence à être ignorant, en ces temps de virtualité de plus en plus présente.
Sur ce, chers lecteurs, je vous en souhaite une bonne, en 2008. Soyez heureux, virtuellement, sur la Toile, mais aussi dans le réel... euh, ce blogue est bel et bien réel pourtant, alors disons dans le tangible (?). Vous savez ce que je veux dire ;-)
S'abonner à :
Messages (Atom)