Pendant qu'on discute du sens de Noël (voir ici), chez nous, c'est la maison qui a décidé de se payer (ou plutôt, de nous faire payer) un cadeau... Je préfère voir de cette façon une dépense assez substancielle (ces temps-ci), plutôt que de broyer du noir... budgétaire.
De toute façon, le fait que le four encastré (un Bélanger âgé de 32 ans!) lâche était prévu, mais au printemps seulement, le temps de digérer le fait que la plaque de cuisson (aussi âgée de 32 ans) ait lâché en début d'automne. Une maison sans four, c'est un peu difficile sur la cuisine, quoique le barbecue, la semaine passée, était aussi dégagé qu'en été, mais c'était la semaine passée...
Maintenant, ne reste qu'à attendre la semaine prochaine pour l'arrivée de la merveille et l'installation qui suivra, après avoir élargi l'ouverture pour accueillir ledit objet : ils sont plus larges que dans l'temps ! Ne reste aussi qu'à acquitter les 24 paiements sans frais... (On dira ce qu'on voudra, mais ça rend la pilule plus facile à avaler (et je ne parle pas de ces pilules-là !)
Une connaissance m'a dit qu'elle appelait ce renouvellement d'électro-ménager une sorte de "renouveau conjugal"...
29 décembre 2006
23 décembre 2006
Joyeuses Fêtes !
Décos sans mesure !!!
Voici une illustration de ce dont Christian parlait récemment ici...
Pour faire suite au commentaire lu sur le blogue de Christian, ce n'est pas Viva Las Vegas, mais Viva Val-Bélair ici ;-)
21 décembre 2006
Collusion - c'est sûr !
Les vacances des Fêtes arrivent et... le prix de l'essence vient d'augmenter pour une deuxième fois de suite en deux ou trois semaines. On est passé à 98.4 cents le litre récemment, puis, cette semaine, à 1.034 dollar le litre. Cinq sous d'un coup (plus de dix en deux coups), sans augmentation sensible du prix du baril... une vraie farce !
Bien sûr, le discours OFFICIEL des grandes pétrolières nous dira une fois de plus qu'il n'y a pas collusion : mon oeil ! La vérité, c'est que le con-sommateur doit se soumettre de façon absolue aux appétits voraces des pétrolières qui, avec nos gouvernements et leurs multiples taxes, profitent amplement de notre portefeuille. Une chance que je roule en Honda Civic : ça rend la pilule un peu plus facile à avaler... de travers quand même.
Tiens, tant qu'à faire, je prédis que, quelque part entre le 5 et le 12 janvier, si le prix du baril n'évolue pas beaucoup, nous aurons droit à une ou deux baisses du prix au litre, les vacances et les déplacements (qui vont souvent avec) étant terminés.
Bien sûr, le discours OFFICIEL des grandes pétrolières nous dira une fois de plus qu'il n'y a pas collusion : mon oeil ! La vérité, c'est que le con-sommateur doit se soumettre de façon absolue aux appétits voraces des pétrolières qui, avec nos gouvernements et leurs multiples taxes, profitent amplement de notre portefeuille. Une chance que je roule en Honda Civic : ça rend la pilule un peu plus facile à avaler... de travers quand même.
Tiens, tant qu'à faire, je prédis que, quelque part entre le 5 et le 12 janvier, si le prix du baril n'évolue pas beaucoup, nous aurons droit à une ou deux baisses du prix au litre, les vacances et les déplacements (qui vont souvent avec) étant terminés.
18 décembre 2006
NOUS...
Félicitations à nous tous, blogueurs et blogueuses et autres vivants du cyberespace :-)
Le Times vient de nous élire personnes de l'année !
Continuons donc de développer ce réseau dont nous ne soupçonnons peut-être pas toutes les implications encore aujourd'hui, mais qui fait son chemin de façon sûre. Et longue vie aux blogues !
Le Times vient de nous élire personnes de l'année !
Continuons donc de développer ce réseau dont nous ne soupçonnons peut-être pas toutes les implications encore aujourd'hui, mais qui fait son chemin de façon sûre. Et longue vie aux blogues !
17 décembre 2006
Une belle résurrection
J'avais déjà abordé le sujet ici et là...
Depuis octobre, le groupe vocal s'est retrouvé avec une douzaine de membres en moins (tous ceux qui avaient "créé" en quelque sorte la situation problématique) et quelques autres qui ont décidé, bien humainement, de prendre une pause pour l'automne, question de vivre un peu de calme après la très grosse tempête : ce fut le cas de la directrice qui avait besoin de retomber sur ses pieds et de panser quelques blessures assez évidentes...
Résultat : me suis retrouvé avec une charge de plus, soit de mener les troupes en l'absence de la directrice. Méchant défi... Je vous jure que je me sentais assez petit (j'ai toujours été petit ;-) les premiers soirs de pratique. Petit à petit (encore ce mot!), l'assurance s'est bâtie, j'ai appris à trouver mon style de direction, à clarifier mes exigences, à mener la troupe à bon port, du moins je le crois, après ce qu'on m'a dit... Pendant la session, plus la poussière de la tempête retombait, plus la situation s'améliorait également. Bien sûr, diriger un groupe vocal quand les mains sont déjà très occupées (sur le clavier ou le piano), c'est moins évident : il faut être 50 % au clavier, 50 % à la direction, mais dans les faits, c'est 100 % fois deux!
Le résultat final, lui, c'était hier. Nous avons fait une prestation, formule raccourcie (vu que les débuts de la session d'automne avaient été pas mal sabotés et que tout cela avait grugé du temps), prestation qui, ma fois, était très bien dans les circonstances. Chapeau à tous ceux qui sont restés et qui ont bravé la tempête pour garder le navire à flots : toutes ces voix réunies hier permettaient de retrouver l'esprit commun qui unit tout groupe de ce genre (C'est ben dur à dire en mots, tout ça !). Même la directrice (qui va beaucoup mieux) est venue nous saluer rapidement, faisant un détour spécial, avant d'aller vaquer à des obligations parentales inévitables.
Depuis octobre, le groupe vocal s'est retrouvé avec une douzaine de membres en moins (tous ceux qui avaient "créé" en quelque sorte la situation problématique) et quelques autres qui ont décidé, bien humainement, de prendre une pause pour l'automne, question de vivre un peu de calme après la très grosse tempête : ce fut le cas de la directrice qui avait besoin de retomber sur ses pieds et de panser quelques blessures assez évidentes...
Résultat : me suis retrouvé avec une charge de plus, soit de mener les troupes en l'absence de la directrice. Méchant défi... Je vous jure que je me sentais assez petit (j'ai toujours été petit ;-) les premiers soirs de pratique. Petit à petit (encore ce mot!), l'assurance s'est bâtie, j'ai appris à trouver mon style de direction, à clarifier mes exigences, à mener la troupe à bon port, du moins je le crois, après ce qu'on m'a dit... Pendant la session, plus la poussière de la tempête retombait, plus la situation s'améliorait également. Bien sûr, diriger un groupe vocal quand les mains sont déjà très occupées (sur le clavier ou le piano), c'est moins évident : il faut être 50 % au clavier, 50 % à la direction, mais dans les faits, c'est 100 % fois deux!
Le résultat final, lui, c'était hier. Nous avons fait une prestation, formule raccourcie (vu que les débuts de la session d'automne avaient été pas mal sabotés et que tout cela avait grugé du temps), prestation qui, ma fois, était très bien dans les circonstances. Chapeau à tous ceux qui sont restés et qui ont bravé la tempête pour garder le navire à flots : toutes ces voix réunies hier permettaient de retrouver l'esprit commun qui unit tout groupe de ce genre (C'est ben dur à dire en mots, tout ça !). Même la directrice (qui va beaucoup mieux) est venue nous saluer rapidement, faisant un détour spécial, avant d'aller vaquer à des obligations parentales inévitables.
14 décembre 2006
Crédibilité de l'information
Tout le monde sait (mes élèves aussi) que l'information doit toujours être confrontée, validée, vérifiée.
Mais il existe des sources qui semblent plus crédibles que d'autres au départ. C'est d'une source semblable (la télé publique belge RTBF) qu'ont été victimes 89 % des auditeurs belges quand leur chaine télé leur a annoncé l'indépendance de la Flandre !
Vingt minutes plus tard, ils devaient apprendre que c'était un canular monté par des journalistes voulant susciter un débat sur la question... Drôle de façon d'informer ! Une telle déstabilisation aurait pu se faire dans un contexte de classe, pour susciter l'apprentissage d'une certaine critique, mais, dans ce cas-ci, les implications étaient tout simplement trop grandes... Réfléchir avant d'agir aurait peut-être été une option à considérer de la part des dirigeants de la chaine. On dit que ça rappelle Orson Welles et son invasion extra-terrestre truquée, à la radio, il y a près de 70 ans de cela, mais que, cette fois-ci, la crédibilité apparente était beaucoup plus présente qu'à l'époque...
Mais il existe des sources qui semblent plus crédibles que d'autres au départ. C'est d'une source semblable (la télé publique belge RTBF) qu'ont été victimes 89 % des auditeurs belges quand leur chaine télé leur a annoncé l'indépendance de la Flandre !
Vingt minutes plus tard, ils devaient apprendre que c'était un canular monté par des journalistes voulant susciter un débat sur la question... Drôle de façon d'informer ! Une telle déstabilisation aurait pu se faire dans un contexte de classe, pour susciter l'apprentissage d'une certaine critique, mais, dans ce cas-ci, les implications étaient tout simplement trop grandes... Réfléchir avant d'agir aurait peut-être été une option à considérer de la part des dirigeants de la chaine. On dit que ça rappelle Orson Welles et son invasion extra-terrestre truquée, à la radio, il y a près de 70 ans de cela, mais que, cette fois-ci, la crédibilité apparente était beaucoup plus présente qu'à l'époque...
13 décembre 2006
Bâillons
v.i., impér. prés., 1re pers. pl.
ou
n.m.pl.
Prélude au sommeil ou démonstration d'une lassitude certaine ou d'un manque d'intérêt flagrant.
ou
Mesure exceptionnelle à laquelle peut recourir un gouvernement pressé par le temps, exception qui est en train de devenir la règle... ce qui suscite un certain ressentiment par rapport au grand principe de la démocratie, ressentiment qui peut parfois tourner à la lassitude, quand on voit un parti critiquer vertement cette mesure exceptionnelle trop souvent employée, mais qui l'utiliserait autant, s'il avait le pouvoir : on tourne en rond (et dans les définitions ici, et dans les gouvernements...)
ou
n.m.pl.
Prélude au sommeil ou démonstration d'une lassitude certaine ou d'un manque d'intérêt flagrant.
ou
Mesure exceptionnelle à laquelle peut recourir un gouvernement pressé par le temps, exception qui est en train de devenir la règle... ce qui suscite un certain ressentiment par rapport au grand principe de la démocratie, ressentiment qui peut parfois tourner à la lassitude, quand on voit un parti critiquer vertement cette mesure exceptionnelle trop souvent employée, mais qui l'utiliserait autant, s'il avait le pouvoir : on tourne en rond (et dans les définitions ici, et dans les gouvernements...)
11 décembre 2006
Top Blogues - la suite
Voici le message que j'obtiens en allant à www.topblogues.com :
À cause d'un traffic très élevé, Top Blogues est temporairement hors ligne mais sera de retour très bientôt. Merci de votre patience.
On n'aura pas tout perdu !
À cause d'un traffic très élevé, Top Blogues est temporairement hors ligne mais sera de retour très bientôt. Merci de votre patience.
On n'aura pas tout perdu !
09 décembre 2006
Nez Rouge 2006
Hier soir, jusqu'à tôt ce matin, j'y étais ! Première expérience.
Nous étions un groupe de 30 personnes du boulot, divisé en 10 équipes, à participer. Pour ceux qui n'ont jamais participé ou utilisé le service, les équipes sont composées ainsi : un chauffeur (qui conduit la voiture du client - la personne "émêchée"), un partenaire (qui accompagne le chauffeur dans la voiture du client et qui s'occupe aussi de la paperasse, et une escorte (qui suit la voiture du client dans sa propre voiture et qui ramène l'équipe au prochain rendez-vous avec un autre client à raccompagner).
Arrivés tôt hier soir (trop tôt en fait) à la centrale, nous avons été obligés d'attendre, voire même poireauter très longtemps, avant de partir, à cause d'un ennui administratif. Malgré que les formulaires aient été envoyés deux semaines à l'avance pour vérification (dossier criminel, etc.), aucun examen n'avait été fait sur 3 d'entre eux, paralysant momentanément 3 équipes pour presque deux heures de temps... Je crois qu'il manque des bénévoles pour cet aspect de la tâche...
Dans notre cas, nous avons pu partir vers 23h00 (1re équipe à partir, en fait, parmi les 10), chercher notre premier client à Lac Delage. Puis, presque sans interruption, nous avons effectué 5 raccompagnements (tous dans la ville de Québec) pour terminer aux environs de 4h45 (Retour à la centrale pour remettre nos vestes et remplir quelques papiers d'usage).
Des anecdotes :
- un de nos clients était très émêché (!). Après avoir enfin retrouvé ses clés, il a enfin pu regagner son logis de façon sécuritaire avec nous. (Durée de toute la procédure : au moins 1 heure. Distance totale parcourue avec le client : moins de 1 km !!!)
- une de nos équipes a effectué 2 raccompagnements dans la région de Portneuf (On ne sera pas surpris que cette équipe n'ait pu faire que 3 raccompagnements durant sa nuit...)
- une autre équipe a fait chou blanc à ses 2 premiers essais. Les clients n'étaient pas au point de rendez-vous fixé...
- un collègue a pu conduire une Mercedes récente (Je n'ai pas pu savoir quel modèle : le gars n'est pas maniaque comme moi, snif !) et ainsi réaliser une chose qu'il ne pourra jamais se permettre : quel rêve ! Et que dire de la sécurité active d'un tel véhicule avec toutes les assistances électroniques dont il dispose... Quelques uns de ces dispositifs ont pu être testés avec la petite neige glissante de cette nuit.
Et là, après 3 heures de sommeil, je suis déjà debout (en fait, assis ;-) incapable de dormir plus... Alors j'ai rédigé ce billet.
AJOUT : Je viens de découvrir, sur le site d'Opération Nez Rouge, une page spécialement consacrée aux statistiques. Ainsi, nos raccompagnements de la nuit passée s'inscrivent parmi les 658 faits hier dans la ville de Québec.
08 décembre 2006
Beta Blogger
Ça faisait longtemps que je remettais mon passage à BetaBlogger, faute de temps pour catégoriser les messages (nouvelle fonctionnalité chez Blogger, que j'apprécie beaucoup sur les autres blogues qui en disposent)...
Alors j'ai pris ce temps ! Voilà !
Alors j'ai pris ce temps ! Voilà !
07 décembre 2006
TopBlogues.com ne répond plus
Trouvé ici :
Domain Name: TOPBLOGUES.COM
Registrar: ENOM, INC.
Whois Server: whois.enom.com
Referral URL: http://www.enom.com
Name Server: NS2.MICFO.COM
Name Server: NS1.MICFO.COM
Status: REGISTRAR-LOCK
EPP Status: clientDeleteProhibited
EPP Status: clientTransferProhibited
Updated Date: 15-Nov-2006
Creation Date: 08-Dec-2005
Expiration Date: 08-Dec-2007
Pourtant, le nom de domaine est supposé être valide jusqu'en 2007, il reste exactement un an... demain !
J'aime bien suivre mes statistiques sur ce site. Mon petit blogue est rendu dans le "top" 350-400 ;-)
Nous verrons si ça revient demain : surveillez l'icone au-dessus du sigle de Blogger, ci-contre, plus bas, à droite...
Domain Name: TOPBLOGUES.COM
Registrar: ENOM, INC.
Whois Server: whois.enom.com
Referral URL: http://www.enom.com
Name Server: NS2.MICFO.COM
Name Server: NS1.MICFO.COM
Status: REGISTRAR-LOCK
EPP Status: clientDeleteProhibited
EPP Status: clientTransferProhibited
Updated Date: 15-Nov-2006
Creation Date: 08-Dec-2005
Expiration Date: 08-Dec-2007
Pourtant, le nom de domaine est supposé être valide jusqu'en 2007, il reste exactement un an... demain !
J'aime bien suivre mes statistiques sur ce site. Mon petit blogue est rendu dans le "top" 350-400 ;-)
Nous verrons si ça revient demain : surveillez l'icone au-dessus du sigle de Blogger, ci-contre, plus bas, à droite...
Revenir de très très loin
Hier soir, à Enjeux, Paul Nadler, réalisateur et producteur qui, en 1994, fut victime d'un très grave accident de voiture pendant des vacances en Égypte...
Enjeux présentait son film, Endommagé prise 2 (traduction du titre original BRAINDAMADJ'D TAKE II, hier soir. (Cette fois, on ne peut revoir le reportage, à cause des droits d'une question de droits sur le film.)
Ce qui m'a le plus touché : la fierté de ce gars-là, fierté immense qui se lisait sur son visage, fierté de pouvoir enfin réaliser à nouveau un film après avoir remonté la pente pendant plus de 10 ans... Une détermination à toute épreuve qui a fait mentir toutes les prévisions, même les plus optimistes !
Bien sûr, il y a des séquelles permanentes, mais s'en sortir avec si peu de chance de simplement survivre (5%), c'est vraiment phénoménal.
BRAINDAMADJ'D TAKE II : réalisateur : Paul Nadler, producteur : Jonathan Filkenstein
Enjeux présentait son film, Endommagé prise 2 (traduction du titre original BRAINDAMADJ'D TAKE II, hier soir. (Cette fois, on ne peut revoir le reportage, à cause des droits d'une question de droits sur le film.)
Ce qui m'a le plus touché : la fierté de ce gars-là, fierté immense qui se lisait sur son visage, fierté de pouvoir enfin réaliser à nouveau un film après avoir remonté la pente pendant plus de 10 ans... Une détermination à toute épreuve qui a fait mentir toutes les prévisions, même les plus optimistes !
Bien sûr, il y a des séquelles permanentes, mais s'en sortir avec si peu de chance de simplement survivre (5%), c'est vraiment phénoménal.
BRAINDAMADJ'D TAKE II : réalisateur : Paul Nadler, producteur : Jonathan Filkenstein
06 décembre 2006
Le Guide de l'auto 2007
Bon, c'est fait ! Je l'ai acheté ce dimanche... et je viens à peine de l'ouvrir, question de prendre une petite pause de mes nombreuses corrections (Je ne me plains pas ; j'ai choisi ce job !).
Je ne peux en dire beaucoup plus pour l'instant, car je commence à peine à le feuilleter, ce fameux guide dont la première édition remonte à 1966. Je les ai tous lus, certains à la bibliothèque de mon école secondaire... L'édition de l'an dernier m'avait déçu, à cause des nombreuses fautes et erreurs dans les fiches techniques (Je le lis vraiment, voyez-vous ;-)
Alors espérons que la rigueur aura été un peu plus de mise cette année dans la rédaction et la correction des erreurs... On s'en reparlera dans une "couple" de mois (Je le lis vraiment, mais par bribes et sporadiquement, si on veut donner dans le pléonasme redondant !)
05 décembre 2006
Têtes à claques ...ou à flaques !
En lisant CFD, je tombe sur une référence à cette parodie !
J'aime bien l'allusion à la Porsche devant l'entrée ;-)
Voilà où va l'argent des pubs, nous dit-on...
Allez lire les commentaires des enquêteurs lecteurs de CFD : les Columbo d'Internet ! Des fois j'aimerais avoir un peu moins de corrections à faire pour pouvoir m'instruire sur ces procédures-là !
J'aime bien l'allusion à la Porsche devant l'entrée ;-)
Voilà où va l'argent des pubs, nous dit-on...
Allez lire les commentaires des enquêteurs lecteurs de CFD : les Columbo d'Internet ! Des fois j'aimerais avoir un peu moins de corrections à faire pour pouvoir m'instruire sur ces procédures-là !
02 décembre 2006
BELLe (im)MOBILITÉ
La jungle des forfaits pour cellulaires (on dit "portables" en France ;-), vous connaissez ?
Personnellement, ça me donne presque la nausée : ça doit être pour cette raison que je flottais sur le même forfait depuis 4 ans, soit 2 ans de plus que la date d'échéance du contrat initial...
Mais vient le jour où l'appareil lui-même commence à démontrer des signes de fatigue, alors faut bouger et se taper tout le charabia des vendeurs et tenter de comprendre ce que sera le VRAI TOTAL À PAYER chaque mois. C'est pas mal ce qui compte le plus pour moi !
J'étais déjà chez Bell, alors je commence par la boutique Espace Bell. On me propose quelque chose (voir ici : forfait Mobile 25 moins le "spécial soirée-première année") qui équivaut à ce que j'ai déjà : 100 minutes à 25$, le soir qui commence à 20h (Ah oui ? Me semble que ces temps-ci, avec le soleil qui se couche de plus en plus tôt, c'est plutôt 16h, non?) Soir et weekend, c'est 1000 minutes. Bien sûr, l'afficheur et la boite vocale ne sont pas compris (C'est autour de 10$ de plus par mois). Il faut aussi ajouter les frais d'accès au réseau et le 911, un autre 9,70$ de plus. Bâtard, 'me ramasse avec une facture frôlant les 50$ par mois, taxes incluses...
Allons chez Telus pour voir (C'est juste à côté, à Place Laurier, à Québec). Bienvenue aux nouveaux : on vous aime et on vous accueille avec beaucoup d'espoir. On voit mon dépliant de Bell, et on me dit, sourire en coin : "Qu'est-ce qu'ils vous ont offert, eux ?"
L'offre de Telus : 25$ plus les frais de réseau et le 911 = 34,70$ plus taxes. Tout ça pour 250 minutes et 1000 minutes soir et weekend, afficheur, boite vocale et autres options (dont je n'ai pas besoin) inclus. Ah oui, chez eux, le soir commence à 18h, ce qui me semble plus normal !
Un autre petit tour à l'autre boutique à côté, où on vend des forfaits et des appareils de plusieurs compagnies, dont Bell. Comme j'ai besoin d'une bonne couverture dans les régions éloignées (par exemple, le "chalet" du beau-père est très loin dans le bois = couverture analogique), le vendeur me dit que c'est mieux chez Bell et que je pourrais avoir le même forfait que chez Telus (à une ou deux options inutiles près), mais à la seule condition que je sois un nouvel abonné. ?!?!?
Pause souper.
Retour chez Bell...
Moi :
-Non mais, c'est quoi le truc? On priorise les nouveaux poissons qui viennent mordre à l'hameçon au détriment d'une clientèle fidèle? Me semble que la fidélisation de la clientèle, ça devrait être ça, le plus important, non?
La madame bien gentille :
-Je sais, monsieur. Mais si on téléphone à "la rétention" (département de fidélisation de la clientèle ou quelque chose comme ça : tiens donc, ça existe?), ils vont pouvoir "accoter (sic)" Telus...
Comme on désire garder le même numéro de téléphone pour des raisons évidentes (ma blonde ne veut pas refaire ses cartes d'affaire pour la suppléance dans les écoles...) on lui dit de procéder. Après une bonne demi-heure de tergiversations et de palabres, où le préposé de "la rétention" alterne sa conversation entre la madame bien gentille et moi-même, on finit par avoir ce qu'on voulait. Le monsieur m'explique qu'il a dû "fabriquer" le forfait pièce par pièce, car son ordinateur ne lui permettait pas de le faire d'emblée, etc. Pas grave, c'est le résultat qui m'importe ici...
Résultat donc, téléphone neuf, assez fort en signal (je testerai quand même en région), et environ 10$ par mois dans mes poches par rapport à ce que je payais jusqu'à maintenant. Sur 3 ans, c'est 360$, ce qui n'est pas rien.
Très bon résultat donc, mais il aura fallu travailler fort dans les coins, autant moi que la madame bien gentille que j'ai remerciée pour ses efforts...
En cette ère où seul le court terme est valorisé, on perd de vue la fidélité de la clientèle, gage de réussite à long terme. Aujourd'hui, le diktat semble être "plus de cash, pis plus vite que ça !" Pourquoi faut-il menacer de quitter pour avoir enfin les vraies affaires sur la table?
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