L'autre jour, en voulant aller sur un blogue hébergé chez Wordpress, je me heurte à un écran me demandant d'utiliser mon identifiant Wordpress pour pouvoir aller sur le blogue Wordpress. Qu'est-ce que cette formalité ? me dis-je, perplexe.
N'ayant que très peu de temps, je décide de faire demi-tour : tant pis pour le blogue, il n'aura pas ma visite, point final.
Au départ, je pensais à une forme de "blocage" ou de filtre de la part de l'auteur du blogue, mais j'ai changé d'idée aujourd'hui, quand j'ai voulu aller voir un autre blogue chez Wordpress. Impossible sans le foutu identifiant.
OK d'abord, je vais m'en faire un, me redis-je. Une fois fait l'identifiant, je pensais avoir accès immédiatement : eh bien non ! Il faut se faire un avatar, selon la fenêtre qui est apparue. Bon, OK, faisons-en un au plus vite avec un bout d'image et ça fera, pensai-je. Eh bien re-non !
Qu'est-ce que c'est encore ? Y a-t-il une autre formalité que je n'ai pas remplie ? Quel est ce dédale d'insignifiances administratives ? Sommes-nous parvenus, chez Wordpress, à la Maison qui rend fou des 12 travaux d'Astérix ? Je le crois sincèrement... Puis je lis que, "bientôt", j'aurai probablement mon accès, le temps que quelque chose dans leur foutu système d'imbécillités administratives valide je ne sais quoi.
Plusieurs dizaines de minutes après, toujours rien. Mon profil ne doit pas être assez complet pour leur collecte de données et j'aboutis invariablement, à chaque tentative de consultation d'un blogue Wordpress, sur la page de mon profil à compléter, sans avatar, malgré deux téléversements de la même image...
MISE-À-JOUR : 2007-10-08--8h50 :
J'ai fini par comprendre que la niaiserie administrative est en fait une page (plugin) plus ou moins hors propos vers laquelle un blogueur WordPress nous redirige lorsqu'un blogue est bloqué ou fermé, temporairement ou non. Disons simplement que la procédure est tout sauf conviviale et explicite. Pourquoi pas un simple petit message clair ? Ça serait trop simple ?... Il y a certains blogueurs dont le comportement me rend perplexe (Bien sûr, parmi ceux-ci chez WordPress, il y a celui d'Élodie G ou D dont on a beaucoup parlé ailleurs...)
Merci spécial à Djo pour l'explication (4e commentaire ici) que j'étais en train de découvrir progressivement, mais jamais aussi explicitement !
29 septembre 2007
26 septembre 2007
C'est le bouquet !
... et la couleur choisie est le orange, pour cette fois.
Hier je transférais des photos dans l'ordi quand, tout à coup, je suis tombé sur cette fleur aux pétales de velours. C'est mon fond d'écran depuis hier. Faut dire que le rendu des couleurs sur l'écran du MacBook Pro aide pas mal pour apprécier ;-)
Ça m'a donné le goût de chercher quelques autres fleurs photographiées cet été, dans la cour, et, petite fantaisie, de ne choisir que des fleurs où l'orangé prédomine...
Cliquez pour agrandir...
Mise à jour : 2007-09-26--22h34 :
Finalement, le traitement des photos fait par Blogger semble avoir atténué de beaucoup les contrastes et la saturation des couleurs : l'original est bien meilleur sur le fond d'écran que dans la fenêtre du navigateur Internet. Je vérifierai sur d'autres ordis demain. C'est peut-être la réduction du nombre de pixels dans GraphicConverter qui a aussi causé cette désaturation apparente.
Hier je transférais des photos dans l'ordi quand, tout à coup, je suis tombé sur cette fleur aux pétales de velours. C'est mon fond d'écran depuis hier. Faut dire que le rendu des couleurs sur l'écran du MacBook Pro aide pas mal pour apprécier ;-)
Ça m'a donné le goût de chercher quelques autres fleurs photographiées cet été, dans la cour, et, petite fantaisie, de ne choisir que des fleurs où l'orangé prédomine...
Cliquez pour agrandir...
Mise à jour : 2007-09-26--22h34 :
Finalement, le traitement des photos fait par Blogger semble avoir atténué de beaucoup les contrastes et la saturation des couleurs : l'original est bien meilleur sur le fond d'écran que dans la fenêtre du navigateur Internet. Je vérifierai sur d'autres ordis demain. C'est peut-être la réduction du nombre de pixels dans GraphicConverter qui a aussi causé cette désaturation apparente.
25 septembre 2007
«Bon matin !» (sic ?)
Ce matin, je m'interroge sur l'expression «Bon matin!» qui est supposément un anglicisme à proscrire dans notre belle langue française, car elle serait un calque de l'anglais «Good morning!»...
Alors ma question est la suivante : faudrait-il proscrire également «Bonne nuit!» à cause de «Good night!», «Bonsoir!» (bon soir) à cause de «Good evening!» et, tant qu'à faire, «Bonjour!» (bon jour) à cause de «(Have a) good day!» ???
Si on proscrit tout ça, nos salutations seront bientôt très limitées...
23 septembre 2007
Petit film sur le e-book
Ce matin, agréable découverte chez le Renard roux...
Un film sur les utilités possibles ou probables du livre numérique (e-book). Le film est un tantinet long (9 mn 20 sec), et certaines scènes comme le e-book à la plage nous laissent un peu perplexe (eau et électronique n'ont jamais fait bon ménage, à moins que...), mais en général, le potentiel est très bien démontré et le film vaut la peine d'être vu.
Le e-book présenté me rappelle la navigation sur un iPhone faite sur un double écran à DEL organiques (comme celui-ci), le tout emballé dans une couverture rigide rappelant le livre haut de gamme. Bien entendu, toutes les fonctions d'un PDA sont intégrées, avec stylet pour la saisie de données, etc. en plus d'avoir la diffusion d'un signal audio avec écouteurs vraisemblablement sans fil.
Un film sur les utilités possibles ou probables du livre numérique (e-book). Le film est un tantinet long (9 mn 20 sec), et certaines scènes comme le e-book à la plage nous laissent un peu perplexe (eau et électronique n'ont jamais fait bon ménage, à moins que...), mais en général, le potentiel est très bien démontré et le film vaut la peine d'être vu.
Le e-book présenté me rappelle la navigation sur un iPhone faite sur un double écran à DEL organiques (comme celui-ci), le tout emballé dans une couverture rigide rappelant le livre haut de gamme. Bien entendu, toutes les fonctions d'un PDA sont intégrées, avec stylet pour la saisie de données, etc. en plus d'avoir la diffusion d'un signal audio avec écouteurs vraisemblablement sans fil.
21 septembre 2007
Le triomphe du faux ?
Est-on en train d'assister ou de participer, collectivement, au triomphe du faux, ou encore au règne de l'image et de l'apparence à tout prix?
C'est la question (encore une !) que je me pose à la suite des aveux de Geneviève Jeanson qui a finalement tout sacrifié pour la gloire... Mettons qu'ici son image a pris une bonne débarque avec ces aveux, mais peut-être que la personne, la vraie, celle qui s'est cachée (ou qu'on a cachée) pendant 10 ans en sortira gagnante, un gain que procurent seules les vraies victoires, pas celles, plus ou moins factices qui apportent le triomphe et les médailles... sauf quand le sport est clair et net, sans tache ou gonflements artificiels. (Est-ce que ça existe encore, par contre ?)
On assiste au triomphe du faux quand on voit toutes ces photos retouchées, toutes ces modes qui s'érigent en diktats que l'on doit suivre ab-so-lu-ment si l'on veut être in et non out et rejet...
On voit venir le triomphe du faux quand on voit tous ces politiciens à l'image préfabriquée par une armée de conseillers, qui nous véhiculent tantôt une partie d'information vraie tout en cachant l'autre partie, tantôt un plus ou moins pieux mensonge pour convaincre (artificiellement - le temps de cocher un bulletin de vote) quelqu'un de voter pour un parti...
On perçoit le triomphe du faux quand on utilise que partiellement des statistiques à qui on peut faire dire ce que l'on veut en les manipulant ainsi... Même chose en ce qui concerne la manipulation de l'information en général, quand on ne révèle que des bribes, en ne jetant en pâture que des petits morceaux de vérité aux journalistes de plus en plus assoiffés de triomphe et de cotes d'écoute (eux aussi sont "pris" dans un système qui favorise l'immédiateté de la cote d'écoute dont on se glorifie)...
On est dans le règne du faux quand l'apparence prime sur le vrai, sur la personne, sur le côté humain véritable...
Le faux règne en roi et maître quand on voit des vies parallèles, fabriquées sur Second Life ou autres Facebook ou la quantité d'ami (encore un concours artificiel basé sur des amitiés plus ou moins artificielles) importe au lieu de la qualité des amitiés... (Par contre, ici, des gens trop naïfs exposent leur vie privée qui n'a plus de privé que le nom, puisque toute la planète peut savoir !)
Bref, dans toute cette quantité d'informations, qu'est-ce qui demeure vrai, qu'est-ce qui est faux ? Ou est la poudre aux yeux versus la sincérité ?
- - - - - - -
Bien sûr, j'espère encore que j'exagère un brin, car il demeure toujours, quelque part, du vrai, du sincère. Mais on tend trop, en ces temps-ci, à ériger en système l'image ou l'emballage au détriment de la vérité, qui se cache plus en profondeur, très souvent. On systématise trop le résultat immédiat au détriment de la fierté qui résulte au bout de l'effort. On insiste trop sur les chiffres absolus de celui qui est (ou veut être) le meilleur au monde au détriment de tous ceux qui donnent le meilleur d'eux-mêmes... On court trop après une célébrité qui n'apporte que très peu de vraies choses, en bout de ligne.
Dur constat, peut-être, ce matin. Mais je veux lancer tout ça en guise de piste de réflexion sur notre société...
Mise-à-jour : 2007-09-21--10h15 :
Bien sûr, ce qui est dénoncé ne doit pas nous plonger dans le pessimisme qui est, presque par définition, sans avenir, ou qui à tout le moins démotive grandement. Ce qui est dénoncé doit donc servir à construire des bases ailleurs, et ainsi pouvoir continuer à cultiver l'optimisme. (Voir billet de François ici et ici.)
C'est la question (encore une !) que je me pose à la suite des aveux de Geneviève Jeanson qui a finalement tout sacrifié pour la gloire... Mettons qu'ici son image a pris une bonne débarque avec ces aveux, mais peut-être que la personne, la vraie, celle qui s'est cachée (ou qu'on a cachée) pendant 10 ans en sortira gagnante, un gain que procurent seules les vraies victoires, pas celles, plus ou moins factices qui apportent le triomphe et les médailles... sauf quand le sport est clair et net, sans tache ou gonflements artificiels. (Est-ce que ça existe encore, par contre ?)
On assiste au triomphe du faux quand on voit toutes ces photos retouchées, toutes ces modes qui s'érigent en diktats que l'on doit suivre ab-so-lu-ment si l'on veut être in et non out et rejet...
On voit venir le triomphe du faux quand on voit tous ces politiciens à l'image préfabriquée par une armée de conseillers, qui nous véhiculent tantôt une partie d'information vraie tout en cachant l'autre partie, tantôt un plus ou moins pieux mensonge pour convaincre (artificiellement - le temps de cocher un bulletin de vote) quelqu'un de voter pour un parti...
On perçoit le triomphe du faux quand on utilise que partiellement des statistiques à qui on peut faire dire ce que l'on veut en les manipulant ainsi... Même chose en ce qui concerne la manipulation de l'information en général, quand on ne révèle que des bribes, en ne jetant en pâture que des petits morceaux de vérité aux journalistes de plus en plus assoiffés de triomphe et de cotes d'écoute (eux aussi sont "pris" dans un système qui favorise l'immédiateté de la cote d'écoute dont on se glorifie)...
On est dans le règne du faux quand l'apparence prime sur le vrai, sur la personne, sur le côté humain véritable...
Le faux règne en roi et maître quand on voit des vies parallèles, fabriquées sur Second Life ou autres Facebook ou la quantité d'ami (encore un concours artificiel basé sur des amitiés plus ou moins artificielles) importe au lieu de la qualité des amitiés... (Par contre, ici, des gens trop naïfs exposent leur vie privée qui n'a plus de privé que le nom, puisque toute la planète peut savoir !)
Bref, dans toute cette quantité d'informations, qu'est-ce qui demeure vrai, qu'est-ce qui est faux ? Ou est la poudre aux yeux versus la sincérité ?
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Bien sûr, j'espère encore que j'exagère un brin, car il demeure toujours, quelque part, du vrai, du sincère. Mais on tend trop, en ces temps-ci, à ériger en système l'image ou l'emballage au détriment de la vérité, qui se cache plus en profondeur, très souvent. On systématise trop le résultat immédiat au détriment de la fierté qui résulte au bout de l'effort. On insiste trop sur les chiffres absolus de celui qui est (ou veut être) le meilleur au monde au détriment de tous ceux qui donnent le meilleur d'eux-mêmes... On court trop après une célébrité qui n'apporte que très peu de vraies choses, en bout de ligne.
Dur constat, peut-être, ce matin. Mais je veux lancer tout ça en guise de piste de réflexion sur notre société...
Mise-à-jour : 2007-09-21--10h15 :
Bien sûr, ce qui est dénoncé ne doit pas nous plonger dans le pessimisme qui est, presque par définition, sans avenir, ou qui à tout le moins démotive grandement. Ce qui est dénoncé doit donc servir à construire des bases ailleurs, et ainsi pouvoir continuer à cultiver l'optimisme. (Voir billet de François ici et ici.)
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20 septembre 2007
Dopage confirmé
Ça y est ! Après tant d'années, ce qu'on soupçonnait tous est finalement révélé par la principale concernée : Geneviève Jeanson a avoué avoir pris de l'EPO, une substance utilisée pour augmenter artificiellement les performances lors des compétitions. La nouvelle émission Enquête à la SRC en a fait son sujet ce soir. Ça aura pris plusieurs mois et 4 voyages à Phoenix pour faire avouer la cycliste. Il y aura suite la semaine prochaine : comment trouve-t-on l'EPO, qui administre ces produits aux cyclistes?
Mario Asselin avait déjà abordé le sujet ici. Et moi ici. Le cyclisme, comme plusieurs autres sports d'élite, est victime du syndrome de la performance absolue et des affaires de gros (très très gros) sous qui y sont reliées. Il faut donc se doper pour gagner ? Le vrai sport est-il mort ? Je m'interroge sans vraiment avoir de réponse, ou sans vraiment vouloir savoir la réponse...
Mise-à-jour : 2007-09-20--22h15 :
Voici ce que je viens d'ajouter comme commentaire sur le blogue d'Alain Gravel, journaliste à la SRC et animateur de l'émission Enquête :
On peut effectivement s'interroger sur qui est la vraie Geneviève Jeanson, mais on peut par-dessus tout s'interroger sur la systématisation du dopage dans le sport d'élite ou la mort de celui-ci. Car c'est presque un secret de Polichinelle que le dopage dans bien d'autres sports que le cyclisme... Toutes les preuves ne sont pas encore faites, mais le sentiment que la machine à sous a pris le dessus sur le sport est de plus en plus fort. Malheureusement.
Mario Asselin avait déjà abordé le sujet ici. Et moi ici. Le cyclisme, comme plusieurs autres sports d'élite, est victime du syndrome de la performance absolue et des affaires de gros (très très gros) sous qui y sont reliées. Il faut donc se doper pour gagner ? Le vrai sport est-il mort ? Je m'interroge sans vraiment avoir de réponse, ou sans vraiment vouloir savoir la réponse...
Mise-à-jour : 2007-09-20--22h15 :
Voici ce que je viens d'ajouter comme commentaire sur le blogue d'Alain Gravel, journaliste à la SRC et animateur de l'émission Enquête :
On peut effectivement s'interroger sur qui est la vraie Geneviève Jeanson, mais on peut par-dessus tout s'interroger sur la systématisation du dopage dans le sport d'élite ou la mort de celui-ci. Car c'est presque un secret de Polichinelle que le dopage dans bien d'autres sports que le cyclisme... Toutes les preuves ne sont pas encore faites, mais le sentiment que la machine à sous a pris le dessus sur le sport est de plus en plus fort. Malheureusement.
19 septembre 2007
La garantie... de se faire avoir !
Depuis le temps que je pense cela, cet article fait plaisir !
Les garanties prolongées sont, pour la plupart, des arnaques visant à assurer un certain profit à l'entreprise vendeuse du produit.
Dans l'article (en lien ci-dessus), on parle des abus de Future Shop. Cette compagnie n'abuse pas seulement des garanties prolongées, même si elles en sont sûrement la source principale. La pression qu'on a tenté (en vain) de mettre sur moi, quand j'ai acheté un routeur sans fil, afin que je fasse appel aux services de leur technicien pour l'installation, en est un bel exemple...
Un autre exemple personnel me vient de chez Sears, quand on m'a téléphoné l'an dernier pour m'offrir des garanties prolongées à plus ou moins fort prix, concernant des outils dont je fais un usage assez occasionnel (rien qui ne justifie une garantie prolongée !), ainsi qu'une télé 27 pouces ultra-ordinaire (écran «rond»...), payée 400 quelques dollars il y a 5 ans (au moment du téléphone). Juste pour la télé, ça aurait coûté plus de 150 $ : quand on sait que ces mêmes appareils étaient en grande liquidation l'an dernier pour un peu plus de 200 $, on comprend vite le ridicule de la situation !
Alors la seule garantie qu'on a, comme avec une certaine compagnie d'assurances avec qui j'ai eu maille à partir l'an dernier, c'est celle de se faire avoir...
Les garanties prolongées sont, pour la plupart, des arnaques visant à assurer un certain profit à l'entreprise vendeuse du produit.
Dans l'article (en lien ci-dessus), on parle des abus de Future Shop. Cette compagnie n'abuse pas seulement des garanties prolongées, même si elles en sont sûrement la source principale. La pression qu'on a tenté (en vain) de mettre sur moi, quand j'ai acheté un routeur sans fil, afin que je fasse appel aux services de leur technicien pour l'installation, en est un bel exemple...
Un autre exemple personnel me vient de chez Sears, quand on m'a téléphoné l'an dernier pour m'offrir des garanties prolongées à plus ou moins fort prix, concernant des outils dont je fais un usage assez occasionnel (rien qui ne justifie une garantie prolongée !), ainsi qu'une télé 27 pouces ultra-ordinaire (écran «rond»...), payée 400 quelques dollars il y a 5 ans (au moment du téléphone). Juste pour la télé, ça aurait coûté plus de 150 $ : quand on sait que ces mêmes appareils étaient en grande liquidation l'an dernier pour un peu plus de 200 $, on comprend vite le ridicule de la situation !
Alors la seule garantie qu'on a, comme avec une certaine compagnie d'assurances avec qui j'ai eu maille à partir l'an dernier, c'est celle de se faire avoir...
Mon verdict...
Depuis le temps qu'on parle de ce procès, je me permets un petit commentaire...
Évidemment, cette chicane de couple n'aurait pas dû se retrouver dans les médias, mais vu la célébrité (de plus en plus écorchée) de l'athlète, les médias se sont littéralement garrochés sur ce fait on ne peut plus divers.
Peu importe le verdict qui sera rendu ces jours-ci, je trouve que, par-dessus tout, c'est l'enfant de ce couple, ballottée de tous bords, qui est peut-être la plus à plaindre dans toute cette saga.
Un peu comme dans le milieu de l'éducation, dans certaines histoires plus «locales», on oublie parfois un peu, beaucoup, les enfants...
Évidemment, cette chicane de couple n'aurait pas dû se retrouver dans les médias, mais vu la célébrité (de plus en plus écorchée) de l'athlète, les médias se sont littéralement garrochés sur ce fait on ne peut plus divers.
Peu importe le verdict qui sera rendu ces jours-ci, je trouve que, par-dessus tout, c'est l'enfant de ce couple, ballottée de tous bords, qui est peut-être la plus à plaindre dans toute cette saga.
Un peu comme dans le milieu de l'éducation, dans certaines histoires plus «locales», on oublie parfois un peu, beaucoup, les enfants...
16 septembre 2007
Les Ferraris s'envolent
Les Ferraris s'envolent littéralement aujourd'hui à ce grand prix de Belgique. Je ne sais pas si c'est l'importante claque récoltée par McLaren cette semaine qui a refroidi les ardeurs un tantinet, ou si c'est plus simplement Raikkonen qui retrouve avec joie (intérieure, la joie, car il est toujours aussi émotif qu'un frigo!*) son circuit préféré... Quel beau circuit quand même !
Il n'empêche que les deux McLaren se sont royalement fait distancer par les deux Ferraris, même si elles ont réussi à très bien conserver leurs 3e et 4e place (Alonso et Hamilton dans l'ordre).
Parlant de ces 4 coureurs, il faut tout de même mentionner que cette course au championnat est loin d'être banale, car l'issue demeure toujours incertaine, même à 3 grands prix de la fin de la saison, ce qui est bon pour le sport, comme on dit.
Au moins, avec la saga de cette semaine, la course au championnat est sauve, même si on peut continuer de questionner le fait que Ferrari s'en tire un peu trop bien dans cette histoire. (FIA=Ferrari International Assistance, disait-on chez Renault l'an dernier ;-) Après tout, c'est cette écurie qui n'a pu empêcher un de ses employés de fournir des données. Je sais bien que c'est McLaren qui en a théoriquement profité et, pour ça, elle a écopé d'une lourde sentence...
*À part, bien sûr, le petit show de boucane qu'il vient tout juste de nous servir après avoir franchi la ligne d'arrivée !
Il n'empêche que les deux McLaren se sont royalement fait distancer par les deux Ferraris, même si elles ont réussi à très bien conserver leurs 3e et 4e place (Alonso et Hamilton dans l'ordre).
Parlant de ces 4 coureurs, il faut tout de même mentionner que cette course au championnat est loin d'être banale, car l'issue demeure toujours incertaine, même à 3 grands prix de la fin de la saison, ce qui est bon pour le sport, comme on dit.
Au moins, avec la saga de cette semaine, la course au championnat est sauve, même si on peut continuer de questionner le fait que Ferrari s'en tire un peu trop bien dans cette histoire. (FIA=Ferrari International Assistance, disait-on chez Renault l'an dernier ;-) Après tout, c'est cette écurie qui n'a pu empêcher un de ses employés de fournir des données. Je sais bien que c'est McLaren qui en a théoriquement profité et, pour ça, elle a écopé d'une lourde sentence...
*À part, bien sûr, le petit show de boucane qu'il vient tout juste de nous servir après avoir franchi la ligne d'arrivée !
15 septembre 2007
Vers l'Éducation 2.0
La non-conférence vient de reprendre après le dîner (sens québécois ou français, car avec le décalage, ça revient au même ;-)
Jusqu'à maintenant, je suis épaté de toutes les ressources humaines qui sont ainsi réunies et de tout ce qui s'en dégage. C'est une mine d'or d'informations, de réflexions et de collaboration, hors les contraintes habituelles (sauf la technique à l'occasion, mais ça reste dans les détails sporadiques) qui se dégage ici.
Bravo aux organisateurs, Mario et Nicole pour l'animation multi-tasking phénoménale que ça demande !
De nombreux billets sont en train de germer dans mon esprit à la suite de ce brassage d'idées, etc.
À suivre !
Mise-à-jour : 07-09-15--16h53 :
-Bilan : J'aurai besoin de relire et de revoir les échanges qui seront conservés sur VIA (la plateforme utilisée pour les échanges via webcam) pour les 2 prochains mois, mais je peux déjà affirmer que je chemine vers le 2.0, cet «environnement réseau collaboratif» que je découvre un peu plus chaque jour et dans lequel l'éducation doit faire sa place, tout simplement ! Facile à dire, peut-être un peu plus difficile à faire compte tenu des structures actuelles en place. Mais justement, le web 2.0 est souvent là pour faire éclaer certaines structures, alors go ! (tout de... ajouterait Mario ;-)
Jusqu'à maintenant, je suis épaté de toutes les ressources humaines qui sont ainsi réunies et de tout ce qui s'en dégage. C'est une mine d'or d'informations, de réflexions et de collaboration, hors les contraintes habituelles (sauf la technique à l'occasion, mais ça reste dans les détails sporadiques) qui se dégage ici.
Bravo aux organisateurs, Mario et Nicole pour l'animation multi-tasking phénoménale que ça demande !
De nombreux billets sont en train de germer dans mon esprit à la suite de ce brassage d'idées, etc.
À suivre !
Mise-à-jour : 07-09-15--16h53 :
-Bilan : J'aurai besoin de relire et de revoir les échanges qui seront conservés sur VIA (la plateforme utilisée pour les échanges via webcam) pour les 2 prochains mois, mais je peux déjà affirmer que je chemine vers le 2.0, cet «environnement réseau collaboratif» que je découvre un peu plus chaque jour et dans lequel l'éducation doit faire sa place, tout simplement ! Facile à dire, peut-être un peu plus difficile à faire compte tenu des structures actuelles en place. Mais justement, le web 2.0 est souvent là pour faire éclaer certaines structures, alors go ! (tout de... ajouterait Mario ;-)
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13 septembre 2007
Technologie et générations...
Ce «soir», après le boulot, il y avait un 4 à 6 où j'ai décidé d'expérimenter quelque chose d'intéressant : une vidéoconférence avec un collègue qui est à l'extérieur du pays (Martinique) pour un an (on avait planifié le tout hier soir et je me suis fait autoriser un accès sans fil sur le routeur de cette section de l'école par notre technicien bien-aimé!). Ce fut un succès total, avec plusieurs collègues qui sont venus tour à tour à l'ordinateur portable pour converser avec la famille éloignée et échanger presque comme si on y était.
Seule ombre au tableau, dans les circonstances, les haut-parleurs du portable ne sont pas assez puissants et j'ai dû retirer un peu le portable de la «circulation» pour qu'on puisse entendre un tant soit peu.
À part ça, c'est une expérience à renouveler dans un avenir prochain. Ainsi, les gens ont l'impression d'être plus près...
Autre constatation : en jasant avec des collègues moins «techno», je me suis aperçu que la technologie épate beaucoup une certaine génération qui, en même temps qu'elle s'émerveille, s'inquiète un peu de ne pas tout saisir de l'ampleur du phénomène, et qui se demande jusqu'où cela pourra se rendre dans un avenir plus rapproché que l'on pense... Un bon sujet pour la non-conférence de samedi ;-)
Seule ombre au tableau, dans les circonstances, les haut-parleurs du portable ne sont pas assez puissants et j'ai dû retirer un peu le portable de la «circulation» pour qu'on puisse entendre un tant soit peu.
À part ça, c'est une expérience à renouveler dans un avenir prochain. Ainsi, les gens ont l'impression d'être plus près...
Autre constatation : en jasant avec des collègues moins «techno», je me suis aperçu que la technologie épate beaucoup une certaine génération qui, en même temps qu'elle s'émerveille, s'inquiète un peu de ne pas tout saisir de l'ampleur du phénomène, et qui se demande jusqu'où cela pourra se rendre dans un avenir plus rapproché que l'on pense... Un bon sujet pour la non-conférence de samedi ;-)
Beau temps de l'année...
11 septembre 2007
Non-conférence sur l'Éducation 2.0
Ça y est, je viens de me décider à m'inscrire à cette non-conférence (voir définition du terme ici), co-organisée par Mario Asselin, et qui aura lieu à Québec, et partout dans le monde francophone, ce samedi 15 septembre.
Le programme est ici.
Je suis un des très rares, d'après la liste, à être enseignant au secondaire. Il y a toute une brochette d'invités qui m'impressionnent plus qu'autre chose...
Je me considère comme un enseignant ordinaire, ayant ses qualités et ses défauts, ses forces et ses faiblesses : une personne ordinaire comme en sont constituées les écoles, selon le manifeste de l'Éducation 2.0 traduit ici.
Je me considère surtout comme un enseignant 1.0 ou 1.2 (!) qui a besoin d'une mise-à-jour logicielle ;-) En ce sens, je crois que certains des sujets abordés samedi sauront me combler.
Bref, à suivre !
Le programme est ici.
Je suis un des très rares, d'après la liste, à être enseignant au secondaire. Il y a toute une brochette d'invités qui m'impressionnent plus qu'autre chose...
Je me considère comme un enseignant ordinaire, ayant ses qualités et ses défauts, ses forces et ses faiblesses : une personne ordinaire comme en sont constituées les écoles, selon le manifeste de l'Éducation 2.0 traduit ici.
Je me considère surtout comme un enseignant 1.0 ou 1.2 (!) qui a besoin d'une mise-à-jour logicielle ;-) En ce sens, je crois que certains des sujets abordés samedi sauront me combler.
Bref, à suivre !
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Prison écolo sans barreaux
Encore un autre truc lu dans le MédiaMatin-Québec d'hier : une prison norvégienne, située sur une île isolée quelque part dans un fjord. Pas de barreaux, mais plutôt une ferme ultra-bio où tous les prisonniers doivent travailler. Aucune évasion signalée. On ne dit pas depuis combien de temps cette expérience est en cours, mais ça peut être une piste intéressante quand on peut trouver un site assez isolé comme sembl l'être celui-ci. Plus de détails ici.
Long conflit
MédiaMatin-Québec, le journal gratuit-moyen de pression fait par les employés du Journal de Québec en lockout depuis le 22 avril dernier, faisait état hier de la bataille devant les tribunaux que leur livre Québécor sans trop de succès depuis le début du conflit il y a presque 5 mois. Au lieu d'assister à des négociations, nous assistons à des injonctions successives et des procédures au tribunal... un peu désolant comme approche.
Je vous avais déjà dit que ce conflit serait long, long, long...
Je vous avais déjà dit que ce conflit serait long, long, long...
09 septembre 2007
Wi-Fi N
Ça y est, j'écris ceci librement dans la maison, grâce au routeur sans fil N acheté à très bon rabais chez la shop du Futur ce vendredi soir. En fait, le rabais était encore plus substantiel grâce à une erreur d'étiquetage, même s'il a fallu parlementer avec force auprès du gérant très peu réceptif et pas mal misogyne face à ma conjointe ! (Elle n'a vraiment pas apprécié... et je la comprends.)
Bref, un Linksys 300N à juste un peu plus de 100$ avant taxes (au lieu de 150), c'est vraiment bien ! Vive les erreurs de prix !
Et il est bien de pouvoir se balader avec le portable dans la maison sans interruption de connexion. La liberté du sans fil, c'est vraiment intéressant. À quand les villes sans fil ? Ici, à Québec, des bénévoles de Zap-Québec commencent à se décourager... avec raison ! Les politiciens ne comprennent rien à rien et emmerdent vraiment les démarches qui autrement seraient beaucoup plus efficaces. Lâchez pas, vaillants pionniers !
Bref, un Linksys 300N à juste un peu plus de 100$ avant taxes (au lieu de 150), c'est vraiment bien ! Vive les erreurs de prix !
Et il est bien de pouvoir se balader avec le portable dans la maison sans interruption de connexion. La liberté du sans fil, c'est vraiment intéressant. À quand les villes sans fil ? Ici, à Québec, des bénévoles de Zap-Québec commencent à se décourager... avec raison ! Les politiciens ne comprennent rien à rien et emmerdent vraiment les démarches qui autrement seraient beaucoup plus efficaces. Lâchez pas, vaillants pionniers !
07 septembre 2007
MAP - sans compromis !
On en parle ici,dans le cadre du festival Envol et macadam à Québec. Le groupe punk-rock MAP est vraiment un groupe sans compromis, qui a conservé la liberté absolue que tout artiste devrait avoir, celle de créer ce qui lui tente au moment où ça lui tente !
C'est quand même bien de voir de ces groupes sans concessions qui ne succombe pas aux impératifs commerciaux de la rentabilité. Bien sûr, pour vivre cela, ces artistes se doivent quand même de faire des compromis... ailleurs ! Ainsi, il faut accepter de vivre deux vies en parallèle : chaque membre de MAP mène une autre carrière dans un autre métier que musicien.
À la lecture de l'article, je suis quand même resté surpris de me rendre compte que ça fait déjà 12 ans que le groupe existe. Le temps passe vite. Je me rappelle un de leurs premiers spectacles que j'avais été voir avec un ami... dans un sous-sol d'église !
De bons souvenirs :-)
C'est quand même bien de voir de ces groupes sans concessions qui ne succombe pas aux impératifs commerciaux de la rentabilité. Bien sûr, pour vivre cela, ces artistes se doivent quand même de faire des compromis... ailleurs ! Ainsi, il faut accepter de vivre deux vies en parallèle : chaque membre de MAP mène une autre carrière dans un autre métier que musicien.
À la lecture de l'article, je suis quand même resté surpris de me rendre compte que ça fait déjà 12 ans que le groupe existe. Le temps passe vite. Je me rappelle un de leurs premiers spectacles que j'avais été voir avec un ami... dans un sous-sol d'église !
De bons souvenirs :-)
06 septembre 2007
Les joies de la webcam
Cette semaine, j'ai installé Skype sur mon nouvel ordi. Pendant ce temps, mes amis martiniquais d'adoption pour un an faisaient de même sur leur PC.
Puis, ce fut la joie du direct, sans l'intermédiaire du clavier et ses inévitables "s", "w" ou "z" muets qui viennent invariablement s'immiscer entre deux frappes à un moment donné...
Parler ainsi, pendant près de 2 heures, ça vous abolit une distance de quelques milliers de kilomètres en moins de deux. C'était bien amusant ! On s'est promis de récidiver, même si la récidive, ça ne s'applique qu'aux choses négatives par définition ;-) Alors on devra plutôt dire que l'on s'est promis de recommencer, et ce, assez bientôt.
Vive la technologie qui abolit les distances ! Que la Terre paraît soudainement petite...
Le Trois-Rivières de la photo-écran prise pendant la conversation, c'est un plateau à boissons, avec le logo de la distillerie martiniquaise Trois-Rivières (Voir aussi ici) ! Un clin d'oeil à un autre ami, natif de cette ville, au Québec.
Puis, ce fut la joie du direct, sans l'intermédiaire du clavier et ses inévitables "s", "w" ou "z" muets qui viennent invariablement s'immiscer entre deux frappes à un moment donné...
Parler ainsi, pendant près de 2 heures, ça vous abolit une distance de quelques milliers de kilomètres en moins de deux. C'était bien amusant ! On s'est promis de récidiver, même si la récidive, ça ne s'applique qu'aux choses négatives par définition ;-) Alors on devra plutôt dire que l'on s'est promis de recommencer, et ce, assez bientôt.
Vive la technologie qui abolit les distances ! Que la Terre paraît soudainement petite...
Le Trois-Rivières de la photo-écran prise pendant la conversation, c'est un plateau à boissons, avec le logo de la distillerie martiniquaise Trois-Rivières (Voir aussi ici) ! Un clin d'oeil à un autre ami, natif de cette ville, au Québec.
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Technologie
Toute une fresque !
Cet avant-midi, avait lieu l'inauguration officielle de la Fresque de la Découverte de Cap-Rouge, à la Marina de Cap-Rouge. Des enseignants en arts plastiques et leurs élèves ont travaillé tout l'été à la réalisation de cet ambitieux projet qui a débuté le 15 février dernier.
Plus de détails ici et là...
Quant à l'inauguration comme telle, on a eu droit aux sempiternels discours, certains débutant invariablement par la conjonction inutile (dans ce contexte), et j'ai nommé le fameux «donc», qui est aussi parfois remplacé par «alors»; d'autres discours bien sentis comme celui de Jacques Langlois, politicien très connu à Québec; ainsi que les mots des deux enseignantes impliquées dans le projet.
Pourquoi étais-je présent ? Ah, petits curieux ou petites curieuses que vous êtes ! C'est qu'un enseignant de musique de l'école m'avait demandé de jouer du piano avec les autres enseignants de musique qui maniaient les cuivres, ainsi que deux anciens élèves qui jouaient soit du trombone, soit de la batterie. Voilà !
Plus de détails ici et là...
Quant à l'inauguration comme telle, on a eu droit aux sempiternels discours, certains débutant invariablement par la conjonction inutile (dans ce contexte), et j'ai nommé le fameux «donc», qui est aussi parfois remplacé par «alors»; d'autres discours bien sentis comme celui de Jacques Langlois, politicien très connu à Québec; ainsi que les mots des deux enseignantes impliquées dans le projet.
Pourquoi étais-je présent ? Ah, petits curieux ou petites curieuses que vous êtes ! C'est qu'un enseignant de musique de l'école m'avait demandé de jouer du piano avec les autres enseignants de musique qui maniaient les cuivres, ainsi que deux anciens élèves qui jouaient soit du trombone, soit de la batterie. Voilà !
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05 septembre 2007
Foule-traitance...
Un nouveau néologisme est né. Directement traduit de l'anglais crowd-sourcing (avec ou sans trait d'union), la foule-traitance consiste à peu près en de la sous-traitance, mais via le web.
Par exemple, une entreprise fait appel aux internautes pour résoudre un problème quelconque... Pour la compagnie, il devient rapidement évident que ça revient souvent moins cher que de payer une équipe complète de recherche et développement à temps plein.
Par contre, seule la personne qui résoud le problème est rémunérée. Tant pis pour les autres...
Pour quiconque voudrait vivre à temps plein de cette façon, c'est possible. Une photographe québécoise a réussi à gagner supposément dans les 6 chiffres en publiant plus de 5000 photos sur iStockPhoto, un site albertain. Par contre, cet exmple n'est pas tout à fait, selon moi, un exemple de foule-traitance, mais plutôt un cas de self-traitance via le web (un autre néologisme, tant qu'à y être !).
On comprend rapidement que le concept de la sécurité d'emploi devient ici complètement obsolète et que seuls le talent et le génie comptent, dans tous les sens du terme !
Plus de détail dans cet article.
À quand les profs self-traitants ? (Ça, c'est une autre histoire ;-))
Par exemple, une entreprise fait appel aux internautes pour résoudre un problème quelconque... Pour la compagnie, il devient rapidement évident que ça revient souvent moins cher que de payer une équipe complète de recherche et développement à temps plein.
Par contre, seule la personne qui résoud le problème est rémunérée. Tant pis pour les autres...
Pour quiconque voudrait vivre à temps plein de cette façon, c'est possible. Une photographe québécoise a réussi à gagner supposément dans les 6 chiffres en publiant plus de 5000 photos sur iStockPhoto, un site albertain. Par contre, cet exmple n'est pas tout à fait, selon moi, un exemple de foule-traitance, mais plutôt un cas de self-traitance via le web (un autre néologisme, tant qu'à y être !).
On comprend rapidement que le concept de la sécurité d'emploi devient ici complètement obsolète et que seuls le talent et le génie comptent, dans tous les sens du terme !
Plus de détail dans cet article.
À quand les profs self-traitants ? (Ça, c'est une autre histoire ;-))
03 septembre 2007
Martinique - enfin des nouvelles
Je vous avais déjà dit (ici) que j'avais des amis qui étaient rendus en Martinique pour un an.
Eh bien, ils ont eu toute une arrivée. Mes craintes étaient en partie justifiées. La première nuit dans la maison fut consacrée à éponger l'eau qui s'infiltrait, le tout dans le noir, car l'électricité a manqué pendant plusieurs jours. Avec des vents qui ont soufflé autour de 200 km/h et plus par moments, il y avait de quoi s'inquiéter un peu...
Hier, j'ai pu clavarder avec eux, car le lien Internet est enfin revenu. Ceci leur a aussi permis de mettre à jour le site MySpace d'Isabelle. À consulter pour plusieurs photos, de l'arrivée et de l'ouragan Dean, ainsi que des dommages que ça a pu causer, etc.
Eh bien, ils ont eu toute une arrivée. Mes craintes étaient en partie justifiées. La première nuit dans la maison fut consacrée à éponger l'eau qui s'infiltrait, le tout dans le noir, car l'électricité a manqué pendant plusieurs jours. Avec des vents qui ont soufflé autour de 200 km/h et plus par moments, il y avait de quoi s'inquiéter un peu...
Hier, j'ai pu clavarder avec eux, car le lien Internet est enfin revenu. Ceci leur a aussi permis de mettre à jour le site MySpace d'Isabelle. À consulter pour plusieurs photos, de l'arrivée et de l'ouragan Dean, ainsi que des dommages que ça a pu causer, etc.
01 septembre 2007
La rentrée des élèves
Hier, en toute fin d'après-midi ou était-ce l'heure de souper, pendant que j'attendais mon transport, je regardais ces murs et ces corridors encore tous bien lavés ou cirés, où nous nous sommes essoufflés pendant toute la semaine en réunions parfois un peu utiles (C'est ça au secondaire !), manquant cruellement de temps pour vraiment préparer notre rentrée, la vraie, celle des élèves dans nos classes : ce temps, on a commencé à le forcer une fois cette semaine, en improvisant une réunion (utile!) des 5 enseignants en français, 3e secondaire, et ce, de 16h30 à 19h30 environ... Le reste, ce sera pour cette fin de semaine... (Ici je pense aussi à d'autres collègues, mais au primaire. Elles ont eu beaucoup moins de réunions, mais ont aussi manqué cruellement de ce même temps trop rare pour préparer leur classe. Vous n'Avez pas idée de tous les détails dont il faut tenir compte...)
Je regardais donc ces corridors encore complètement vides, morts, sans ce flot continu d'élèves qui vont et viennent en tous sens. Ça manquait de VIE ! Vraiment. Et je me suis pris à avoir hâte à mardi, où nos élèves vont rentrer, plus tardivement que d'habitude, certains anxieux, quelques uns contents, d'autres indifférents, mais tous au poste... pour l'instant.
Et ce sera la vie, la vraie, même si c'est celle de l'école; ce sera leur vraie vie pour les dix prochains mois. Nous aurons l'occasion de côtoyer, d'aider, d'enseigner à toutes ces (petites) personnes en formation, qui cherchent un sens ou qui se cherchent, qui veulent avancer ou qu'on doit pousser, qui parlent ou qu'on écoute (!), qui crient à l'aide ou qui s'étiolent, qui socialisent ou qui s'isolent, qui triment dur ou que la vie endurcit, qui se disent ou qui se taisent, qui ruent ou qui s'écrasent... mais, par dessus tout ou malgré tout, qu'on aime bien !
Si les élèves n'étaient pas là, notre vie de prof n'aurait pas de sens, tout le reste du monde scolaire n'est qu'accessoire : il ne faut jamais perdre de vue cette réalité. Et c'est cette réalité qui nous raccroche, années après années, malgré tous les autres déboires possibles dans toute organisation scolaire. Et Dieu sait qu'il y en a souvent ! ;-)
Je regardais donc ces corridors encore complètement vides, morts, sans ce flot continu d'élèves qui vont et viennent en tous sens. Ça manquait de VIE ! Vraiment. Et je me suis pris à avoir hâte à mardi, où nos élèves vont rentrer, plus tardivement que d'habitude, certains anxieux, quelques uns contents, d'autres indifférents, mais tous au poste... pour l'instant.
Et ce sera la vie, la vraie, même si c'est celle de l'école; ce sera leur vraie vie pour les dix prochains mois. Nous aurons l'occasion de côtoyer, d'aider, d'enseigner à toutes ces (petites) personnes en formation, qui cherchent un sens ou qui se cherchent, qui veulent avancer ou qu'on doit pousser, qui parlent ou qu'on écoute (!), qui crient à l'aide ou qui s'étiolent, qui socialisent ou qui s'isolent, qui triment dur ou que la vie endurcit, qui se disent ou qui se taisent, qui ruent ou qui s'écrasent... mais, par dessus tout ou malgré tout, qu'on aime bien !
Si les élèves n'étaient pas là, notre vie de prof n'aurait pas de sens, tout le reste du monde scolaire n'est qu'accessoire : il ne faut jamais perdre de vue cette réalité. Et c'est cette réalité qui nous raccroche, années après années, malgré tous les autres déboires possibles dans toute organisation scolaire. Et Dieu sait qu'il y en a souvent ! ;-)
Beau cadeau !
En ce premier anniversaire de mon blogue, j'ai reçu un très beau cadeau cet après-midi, lorsque la secrétaire de l'école me fit appeler à son bureau pour m'avertir de l'arrivée d'un colis : mon MacBook Pro enfin arrivé !!! Pas trop tôt diront certains, et avec raison !
Alors je suis allé de ce pas m'acheter une vraie souris, moi qui hais les «trackpads», ainsi qu'un sac de transport.
Par la suite, au café où nous nous sommes arrêtés, nous avons littéralement fait «tripper» la serveuse avec l'appareil qu'elle trouvait «vraiment très beau», selon ses propres mots. Elle a tout à fait raison. C'est pourquoi j'ai choisi cet ordi.
Voilà. Mon premier «post» sur mon nouveau joujou :-)
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