04 décembre 2007

Quelques nouvelles... et de la neige à la pelle !

Escapade musique en fin de semaine : générale et concert. Ça occupe pas mal ;-) Mais c'est très agréable, cette soupape d'évacuation des tourments quotidiens qu'est la musique !

Pendant ce temps, mes fils RSS se remplissent trop rapidement : plus de 200 non lus : ouf !

Réveil dans la tempête lundi matin : ma Commission scolaire ferme ses écoles, une exception qui confirme la règle voulant qu'en ville, on ne ferme jamais les écoles, ou presque !

Tempête d'émotions en lisant le billet de François, ce collègue très apprécié...


Depuis hier, on en a reçu, de cette neige encore blanche (jusqu'à ce que les abrasifs routiers la rendent brunâtre à souhait : eurk !). Ce matin, c'était le temps d'observer, de regarder vivre les gens qui se dépêtrent avec les éléments naturels, qui s'entassent presque au milieu des voitures, attendant un autobus qui arrivera très en retard à coup sûr, qui déblaient leur entrée engorgée par la charrue (casse-neige québécois) qui voulait faire un petit peu de place aux automobilistes sur la voie principale... J'ai eu tout le loisir d'observer ce matin, dans ma voiture qui faisait du surplace (hello les polluants en quantité industrielle !) Trajet total de 28 km, en deux parties. Un premier "tronçon" de 18 km, parcourus en 50 minutes : pas si pire. La deuxième partie fut épouvantable pour quiconque était pressé. Heureusement, ce n'était pas mon cas... Plus de 80 minutes pour parcourir une dizaine de kilomètres, ça fait dans les 7,5 km/h. J'aurais donc bien aimé que ma voiture soit pourvue d'un dispositif arrêtant le moteur dès qu'on fait du surplace, i.e. la majorité du temps ce matin. Je l'ai quand même fait (arrêter le moteur), de temps en temps, manuellement...

Puis je me suis mis à imaginer un système de feux de circulation (qui sont normalement - j'ai bien dit normalement, car il y a trop d'exceptions - synchronisés) qui ajusterait la synchronisation selon les conditions routières et la vitesse de démarrage des véhicules aux coins des rues : sur la neige, plusieurs véhicules patinent un peu (certains trop, mais c'est une question de conducteur ici), ou démarrent très lentement sur surface glissante... Il me semble qu'avec toutes les technologies que nous avons, on pourrait à coup sûr simuler de telles conditions dans l'élaboration de systèmes plus intelligents. Je rêve ?

Source image : ici.

Aucun commentaire: