31 août 2007

Un an déjà !

Il y a aujourd'hui exactement un an que je me suis lancé, un peu par hasard et un peu à l'aveuglette, dans cette aventure sur la blogosphère que j'ai décidé d'appeler «Variations sur thèmes» à l'époque.

Un an plus tard, et surtout 237 billets, le rythme tient pas mal toujours. Ainsi j'obtiens 0,65 billet par jour, ou un billet tous les 1,5 jours. Bien sûr, j'ai un peu relâché cet été, mais mon lectorat aussi, vacances obligent; ce qui est normal à mon avis, l'être humain étant tout sauf linéaire...

Alors après cette première année, ça me tente encore de continuer pour une autre année au moins. Vous lirez donc mes découvertes, mes réflexions sur divers sujets (car beaucoup m'intéressent !), et vous verrez quelques photos de temps à autres. Un de mes souhaits serait de faire plus que 27 billets dans la catégorie Photos pour la prochaine année... Mais tout ça dépend des occasions.

En cette journée anniversaire, plusieurs bribes de réflexions sur le phénomène des blogues me viennent à l'esprit. Je vous en ferai part un peu plus tard...

28 août 2007

Gestion humaine ?

Antagonisme assuré que ces deux mots...

En éducation, nous avons des gestionnaires qui accordent des contrats à des personnes sur une liste de priorité d'emploi, puis aux autres, ceux qui ne sont pas sur des listes. Mais, pour entrer sur les listes, il faut avoir accumulé un minimum de contrat dans un minimum de temps.

Mais voilà où le bât peut blesser... Certains gestionnaires accordent très (trop) souvent des contrats selon leurs impressions, ou selon ce que certains autres gestionnaires (ou enseignants, ce qui est encore pire) leur ont dit. Perception d'une perception : bienvenue la subjectivité absolue, ou presque...

Je connais quelqu'un qui est présentement victime de ce qui se rapproche d'une idée préconçue et à qui on n'accorde pas de contrat pour entrer sur la liste de priorité. Une personne gestionnaire qui a vécu une supposée mauvaise expérience avec une enseignante. Ces deux personnes se sont parlé, puis tout semblait OK. Mais le chat vient de ressortir du sac. Cette personne gestionnaire continue de faire mauvaise réputation à l'enseignante concernée. Alors les contrats se font très très rares, voire surtout inexistants. Mais cette enseignante continue de faire de la suppléance sans contrat pendant toutes ces années. Elle est appréciée des autres enseignantes qu'elle remplace, mais ce n'est pas suffisant pour avoir des contrats. On vient de lui dire ouvertement que son professionnalisme n'est absolument nullement en cause...

Pendant ce temps, le moral n'est plus. La confiance en soi est très précaire. Le budget n'est plus là lui non plus. L'enseignante est dégoûtée du métier et ne sait plus quoi faire. Que feriez-vous à sa place, vous ? On parle du décrochage chez les jeunes enseignants. On devrait peut-être questionner les gestionnaires et ce qu'ils font vivre de complètement invivable aux profs précaires.

Il faudrait humaniser la gestion. Pas dans le sens de se baser sur des hommeries ou des femmeries. Pas ce côté humain-là. Mais en mesurant les répercussions humaines que les décisions ont sur les personnes aux dépends desquelles ces décisions sont prises. Car là, franchement, ça frôle la destruction massive d'individus. Rien de moins.

Rentrée

Hier, c'était la rentrée. Je sais que plusieurs commissions scolaires avaient déjà commencé la semaine dernière, mercredi, jeudi ou vendredi, mais pour nous, c'était hier.

Journée appréhendée, comme toujours, mais encore un peu plus cette année... car on y revoit des collègues avec grand plaisir, mais d'autres avec moins d'enthousiasme, car on sait qu'ils continueront à faire ce qu'ils (ou devrais-je dire elles...) font de mieux : le bitchage. C'est normal parait-il...

Année appréhendée, car modifications apportées au plan professionnel... Disons que je change de clientèle et que je n'ai pas pris cette décision au départ, au tout début des vacances. Vacances qui furent hantées en partie par ce changement apporté : les heures de repos furent moins rentables tout simplement... (pour dire court)

Il faut savoir se relever dit l'adage. C'est ce que je veux faire maintenant. Mais il me faut choisir moi-même dans quelle direction je veux le faire. Tout cela est simple à dire, mais il reste à le vivre...

Plus grand que nature

Voilà le genre de personnage qu'était Andrée Boucher, dite «La Mairesse» tout court.

Ce genre de personnage très très entier attire des réactions tout aussi entières. On aime ou on haït, carrément, sans nuance ou presque. Ce genre de personnage n'a pas la tiédeur qu'on reproche trop souvent aux politiciens, car ici on parle de convictions (parfois trop?) profondes, d'idées, de plan défini qu'on va vraiment suivre, etc.

Comme ce genre de personnage est devenu d'une extrême rareté, voilà pourquoi Québec s'ennuiera autant. C'est cet aspect de La Mairesse qui va manquer dans le paysage. Jusqu'à ce que, enfin!, nous ayons un autre personnage du genre un jour, si le moule n'est pas complètement cassé...

Plus grand que nature fait aussi référence à la caricature qui est, par définition, quelque chose qui comporte aussi une exagération quelconque. Ygreck s'ennuiera donc, lui aussi.

D'ici là, on assistera au traditionnel temps des hommages auquel je souscris (en partie). Mais j'ai «hâte» de voir ce que sera l'après-mairesse, dans le monde de la politique municipale pré-400e à Québec...

24 août 2007

Cellulaire - la suite

Je vous ai parlé du décès prématuré de notre cellulaire ici.

Le plan qui consistait à peut-être casser l'abonnement était pire que je pensais. Sachez que les pénalités, chez Bell, sont de 20$ par mois restants jusqu'à un maximum de 400$. Comme il me restait plus de 20 mois au contrat, le calcul était facile à faire.

Seule solution, outre acheter le plus cheap des téléphones et de sacrer après l'appareil pendant plus de 20 mois, acheter un téléphone plein prix, point final.

Ayant beaucoup appris lors de l'achat initial de ce contrat (en même temps que le cellulaire défunt), je demande au commis si c'est sa vraiment dernière offre... Il me dit que, lui, c'est tout ce qu'il peut faire. On passe donc au téléphone dans le fond de la Télé-boutique Bell, puis s'ensuit une conversation d'environ 12 minutes avec le Service à la clientèle où on me dit gentiment que la pénalité de 400$ peut être annulée si je reprends un contrat de 36 mois, mais que je paye le téléphone au plein prix pareil. Je répond immédiatement que le calcul est facile à faire et que la pénalité amoindrie, c'était pour payer moins cher un téléphone d'environ 300$, car je ne VEUX pas débourser 300$. Je sais que c'est nous qui avons perdu momentanément le téléphone, mais, vu les prix abusifs des appareils sans contrat, qu'il y a sûrement moyen de payer moins. On me transfert donc au «Groupe Solutions» : tiens, un nouveau tiroir de la boîte que je ne connaissais pas !!!

Rendu là, après un autre 10 minutes, on finit par me trouver une solution à long terme : vous achetez un appareil plein prix tout de suite et nous vous créditons 5$ par mois pendant le reste de votre contrat (il reste 28 mois). Calcul rapide : un appareil de 300 $ taxes incluses revient donc environ à la moitié du prix : génial ! On finit donc par dire au commis de la Télé-boutique : «Tu vois, en grattant et en fouillant un peu, il y a toujours moyen de payer moins cher chez Bell» !

22 août 2007

Rentrée SRC-INFO.

Hier, j'ai entendu parler de la rentrée d'automne à Radio-Canada. Comme tous les autres postes de télé, chaque automne, on chambarde, on réajuste un tir, on fait du nouveau, parfois avec du vieux, etc.

Quelques questions subsistent à propos de la rentrée en ce qui concerne le volet Informations de la SRC :

  1. Pourquoi avoir fait disparaître Enjeux pour le remplacer par Enquêtes, un amalgame d'Enjeux et de Zone libre enquête ? Me semble qu'Enjeux est un titre plus révélateur du contenu...
  2. Aura-t-on droit à une série d'émissions sur le patinage artistique (ou tartistique = digne de l'entartage!) avec les Élus alors qu'on a déjà le show de chaises du Club des Ex ?
  3. Jean-François Lépine, il sera où ?
  4. Pourquoi envoyer Bernard Derome nous présenter le Téléjournal directement de l'Afghanistan les 4 et 5 septembre prochain ? Les nouvelles seront plus près de la réalité ? Les reporters ne font pas un bon travail sans le présentateur collé à leurs baskets ? Je regrette, mais je ne vois aucunement l'utilité d'une telle démarche...
Mise-à-jour : 2007-08-22--22h28

Dans l'accident qui vient de survenir aujourd'hui en Afghanistan, deux autres soldats du 22e ont été tués. Un caméraman de la SRC a été blessé et Patrice Roy, journaliste connu à Radio-Canada a subi un choc nerveux. Radio-Canada est à réévaluer la pertinence d'envoyer Bernard Derome là-bas début septembre (Voir ici). Alors qu'est-ce qui prévaudra : marketing orienté cote d'écoute (donc le spectaculaire de la chose) ou couverture médiatique normale d'un conflit ?

Dépotoirs du Nord

Entendu hier soir au Téléjournal de la SRC : le gouvernement va investir dans le nettoyage des plus importants dépotoirs miniers du Nord québécois.
Paraît que la SRC avait parlé du sujet en décembre 2006 : je ne m'en souviens pas. Mais si c'est aussi évident que de retrouver trace de ce reportage sur le site radio-canada.ca (i.e. niet!), il se peut que pas grand monde le sache.

Comme pour bien d'autres bavures environnementales, laisser de la machinerie lourde (dont le travail à faire est terminé) et des produits toxiques sur place n'est motivé uniquement que par l'économie de quelques dollars pour maximiser des profits.

Je jasais avec des gens cet été, personnes qui ont travaillé sur certains grands chantiers du Nord québécois dans les décennies passées. Ces gens me disaient que la machinerie était parfois "laissée là" après usage, car ça aurait coûté plus cher de la re-démonter et de la re-transporter vers le Sud ou "vers les villes" que de tout laisser là... Avec le résultat que l'on connaît aujourd'hui, i.e. quelques centaines de sites, dont une vingtaine qui polluent de façon plus importante et dont le coût de nettoyage coûtera quelques millions au gouvernement (donc à nous) plutôt qu'aux compagnies qui ont fait des profits en laissant tout ça là à l'époque. Désolant. (Et je ne me fais pas go-gauchiste ou quoi que ce soit en disant ça, je constate simplement...)

Question : combien ça aurait coûté à l'époque comparativement à aujourd'hui, en dollars constant. on ne le saura jamais...

Cellulaire perdu... et retrouvé !

Mais la nouvelle reste mauvaise ! (Voir plus loin)

Hier, le clip du cellulaire (portable pour nos cousins français) se détache du sac à main de ma blonde sans qu'elle s'en aperçoive... Environ une heure de magasinage plus tard, elle se rend compte que le téléphone est disparu. Retour dans les deux commerces fréquentés, alerte aux employés des deux entreprises, appels répétés de ma part pendant presque une heure pour faire sonner le téléphone, depuis la maison, pendant que les employés et ma blonde cherchent sans cesse : peine perdue, le téléphone est bel (Bell) et bien introuvable :-(

Pour ne pas se faire monter en épingle une facture salée par quiconque aurait pu vouloir profiter de l'appareil à nos frais, je fais procéder à la désactivation du cell. Aujourd'hui, un aimable employé d'un des deux commerces téléphone à la maison pour nous dire que le cellulaire a été retrouvé... mais complètement écrapouti par une voiture (De quoi faire la Une de certains journaux!), car il avait dû tomber dans le stationnement avant qu'un véhicule ne lui passe sur le corps, le rendant définitivement aphone pour le reste de l'éternité... Voilà pourquoi la sonnerie ne pouvait se faire entendre DANS le commerce pendant que les employés cherchaient en vain.

Le seul hic, c'est que j'avais acheté ce téléphone récemment et qu'il n'est pas éligible à un remplacement gratuit à cause de sa vétusté. Je devrai donc acheter un téléphone plein prix (ce qui signifie, pour une qualité à peu près équivalente, environ 250 à 350 $ : OUCH!) Ou bien, j'annule mon forfait qui n'en est qu'au quart de sa durée (9 mois sur 36) et je recommence toutes les maudites négociations interminables pour un nouveau forfait, chose qui ne me tente guère, vous le savez de par ce billet...

À suivre...

16 août 2007

Alaska

Pour faire contraste avec la Martinique, nos amis alaskiens (d'adoption depuis un peu plus de 4 ans maintenant) sont repartis, après une visite éclair de 15 jours au Québec. Je dis éclair, car ils ont essayé d'être partout, de voir leur monde au Lac-St-Jean, à Québec et à Montréal : pas facile de se multiplier ainsi en si peu de temps...

À Québec, ce fut relativement facile: on les a reçus chez nous en invitant d'autres amis, alors tous ont vu tout le monde en même temps, ou presque.

Au moment où j'écris ceci, ils doivent être sur le bord d'arriver à Anchorage. Leur restera 6 heures de route pour se rendre à la maison, à Fairbanks...

Décidément, cette semaine, mes amis voyagent beaucoup !

Martinique

Voilà ! Au moment où j'écris ces lignes, un couple d'amis et leurs deux enfants viennent à peine de débarquer en Martinique pour un an.

Elle, Isabelle, a changé de poste d'enseignante avec un Français habitant la Martinique. Alors tout le reste des familles respectives suit. Lui, Mario, a pris un congé d'un an pour pouvoir le faire...

L'aventure commence donc pour ces deux familles qui vivent chez l'autre en son absence pendant un an. Chacun laisse derrière lui ses biens : maison, auto, meubles, etc

Nous avons pu voir nos amis une dernière fois cette semaine, peu avant le grand départ. Ils vont nous manquer, c'est sûr, mais l'expérience qu'ils commencent à vivre en est une qui ne se refuse pas ! Je leur souhaite d'en profiter pleinement et j'invite mes lecteurs à suivre les aventures sur le site d'Isabelle.

Ne me reste plus qu'à boucler un budget voyage et me réserver un vol d'ici quelque temps...

Un avant goût qui fait rêver :
Le Marin, dans le Sud de l'île, là où mes amis habiteront pendant la prochaine année .
Mise à jour : 2007-08-16--13:10
À la lecture de ceci, j'espère qu'ils ne seront pas trop touchés... Quand une tempête tropicale fonce tout droit à l'endroit où tu viens d'arriver, il y a de quoi se poser au moins une question.

15 août 2007

Code «régional» ?

(Voir aussi lien en cliquant sur le titre)
Dans environ un an, cohabiteront deux codes dits régionaux sur ce qui n'était qu'une seule grande région (téléphonique) auparavant. En effet, tout l'Est du Québec (à partir de Portneuf sur la rive Nord et à partir de la Beauce sur la rive Sud) aura deux codes régionaux, le 418 qui arrive au bout de ses numéros disponibles et le nouveau 581.

Contrairement à Montréal où on a scindé la région en deux (L'Île-ville et les banlieues), ici on superposera les codes régionaux. Avantages à plus long terme : si pénurie de numéros, on ajoutera simplement un 3e code régional, point final.

Désavantage à court terme : composition à 10 chiffres obligatoire. C'est pas vraiment plus long à pitonner, mais faut retenir 3 chiffres de plus. En ce temps où les pertes de mémoire progressent avec l'âge moyen de la population, sera-ce le coup de grâce pour les mémoires défaillantes ?

Plus sérieusement, verrons-nous les immenses annuaires de téléphone élargir (pour y inscrire 10 chiffres au lieu de 7 par colonne) après avoir considérablement épaissi ces dernières années ? Ne serait-ce pas le temps de passer uniquement au Canada411.ca ? Ou de distribuer les immenses annuaires uniquement sur demande ?

Dire que j'ai déjà, dans ma tendre enfance, composé seulement 4 chiffres pour les appels à l'intérieurs du même incidatif LOCAL ! :-)
Faut dire que sur un téléphone à roulette, ça comptait, le temps de composition !

Tant qu'à y être, Raffaella Carra apparaîtra encore plus comme une antiquité avec sa fameuse chanson ressortie récemment des boules à mites par TVA : 535-3456 (Prononcer cinque-tre-cinque-tre-quattro-cinque-sei) Na-na-na-na-na-nana !

14 août 2007

Ça passe partout ?

La magie de passe-partout vient de perdre un peu de son lustre. (Voir ici)

Pour un "vieux" comme moi, qui était déjà un peu petit trop âgé à l'époque pour vivre pleinement cette magie à laquelle toute une génération et même plus adhère encore, ce n'est pas si grave, ce qui arrive présentement.

La situation : actuellement, parmi ceux qui empochent largement (puisque ça se vend beaucoup), il y a deux des trois comédiens principaux, soit Marie Eykel et Jacques L'Heureux. Ici je me suis toujours posé la question pourquoi Claire Pimparé ne fait pas partie des producteurs de ces DVD... Je n'ai pas la réponse.

Et là, aujourd'hui, voilà que le créateur veut sa part. Bien qu'il ait été employé salarié du MEQ à l'époque, il a probablement droit à une forme ou l'autre de reconnaissance, qu'elle soit monétaire ou non.

Mais il n'empêche que la magie vient aujourd'hui de s'effacer un peu au profit des arguments financiers. Verra-t-on une petite guerre s'installer au sein d'une ancienne équipe qu'on disait jadis absolument fantastique, aux dires des gens interrogés sur les DVD ? Ce serait dommage.

MacBook Pro - l'attente encore

J'attends encore... N'y tenant plus vers la fin de la semaine dernière, j'appelle ma représentante Apple qui me dit qu'il y a un bogue dont elle ignore la nature et que la date qui est finalement arrêtée pour l'ordi commandé fin juin est le... 28 août !

Une chance que c'était les vacances, que j'ai été parti quelques fois et que mon patio m'a beaucoup occupé dernièrement, car je commence à avoir hâte pas à peu près...

Si je n'ai pas de nouvelles le 28 ou ble 29, par contre, je vais devenir méchant et bien montrer les dents !

13 août 2007

R.I.P. Simoniz

Voilà ! C'est fini entre les laveuses à pression électriques Simoniz et moi.

J'en ai eu une qui a duré environ 2 ans et 1 mois, soit 1 mois de plus que la garantie... J'aurais peut-être pu utiliser l'article de la loi de la Protection du consommateur qui dit qu'un bien doit avoir une durée de vie raisonnable, mais manquant cruellement de temps, je n'ai pas procédé...

Ce printemps, j'achète une nouvelle laveuse à pression électrique, encore de marque Simoniz, encore à 50% de rabais chez Canadian Tire. Cette fois, à la 3e utilisation, le moteur de la pompe a commencé à avoir un comportement erratique, alors que tout baignait les 2 premières fois où j'ai utilisé l'appareil. Devant ce comportement étrange de la machine, je me suis empressé de me renseigner chez Canadian Tire pour savoir si je pouvais encore faire affaire avec eux directement ou s'il faudrait me taper les procédures de retour directement avec la compagnie, ce qui me tentait pas mal moins. On m'a alors informé que je pouvais retourner l'appareil défectueux directement chez le Pneu Canadien, si ça faisait moins de 90 jours que je l'avais acheté. On est le 13 août et la laveuse a été achetée le 20 mai : OUF !

Alors voilà ! On ne m'y reprendra plus. J'ai donné la chance au coureur, mais les moteurs de pompes trop fragiles de ces machines font en sorte que le taux de retour est semble-t-il assez astronomique.

Canadian Tire devrait cesser de vendre ces pourritures. Sa réputation en serait probablement améliorée.

12 août 2007

Blocage de route

Il ne sera pas question ici de blocage pour une quelconque manif, mais bel et bien de blocage de route par les policiers à la suite d'accidents...

À Chambord, il y a deux semaines, ça passait très au ralenti sur la seule route possible, la 169. Résultat, ça prenait plus de 3 heures pour traverser le village. J'y étais et nous nous sommes découragés, après une heure d'attente à la magnifique halte qui surplombe le Lac St-Jean. (Voir photos)

Des jeunes avaient volé un camion vers 9h00, heurté une moto par la suite, puis pris la fuite sur la 155 en direction de La Tuque. Plusieurs personnes se sont questionnées sur le blocage de la 169, laissant passer les véhicules un par un, très lentement, pendant que des policiers reconstituaient très (trop?) longuement la scène... La circulation fut bloquée jusqu'à au moins 17h00 : c'est long quand aucune autre route ne peut être prise comme alternative.

En fin de semaine dernière, sur la 20 entre Québec et Victo(riaville), un policier était impliqué dans un accident mortel. Encore une fois, très très (trop?) longue reconstitution de la scène et blocage de la 20 pendant toute la journée ou presque (Délai de passage se mesurant en heures). Des gens que je connais y étaient, en moto. Ne connaissant pas trop la région, ils ont demandé au policier qui bloquait le passage par où passer pour aller à Victo. Ils les a envoyé passer par la 132 !!! Comme je leur avais parlé de la 116 la veille comme trajet alternatif à l'autoroute, la réponse du policier les a fait tiquer un peu. (Un GPS leur eût été pratique, mais ça, c'est une autre histoire ;-)

Bref, quand un accident survient, je comprends que l'on doive reconstituer la scène pour l'enquête, mais il me semble que les reconstitutions s'allongent de plus en plus, en durée, paralysant presque complètement le trafic pendant de trop longues heures.

Où est le juste milieu dans tout ça ?

Patio en bois... -2

La teinture avance bien, mais c'est long ! Il reste la section du bas à teindre et on a déjà doublé la quantité de teinture qu'on pensait requise au départ. C'est que les réparations effectuées ont mis du bois à nu et du bois nu, ça boit comme un ivrogne !

Le tout devrait se terminer aujourd'hui ou demain maximum. En heures, la teinture a maintenant pris autant de temps que la préparation, donc ça aura été plus long teindre que préparer et réparer...

Heureusement, il fait très beau depuis quelques jours.

07 août 2007

Perte de valeur...

Rassurez-vous je n'ai rien perdu.

Mais Fernando Alonso a perdu beaucoup de mon estime en fin de semaine quand il s'est enfoncé d'une très grosse marche vers les tréfonds de la vengeance et de la mauvaise compétition. En retardant Lewis Hamilton aux puits pour l'empêcher de faire un dernier tour de qualif, il a embarqué un très gros pas de plus dans la voie stérile de la vengeance imbécile, dictée uniquement par un ego trop gros, voire trop enflé ! Dommage !

Mais n'allons pas croire que Lewis Hamilton soit exempt de tout blâme, lui qui avait jusqu'ici un parcours absolument parfait en terme d'attitude et presque parfait en terme de résultats (Il accumule les podiums comme on n'a jamais vu auparavant, pour une recrue). Lewis, en fin de semaine, a refusé de respecter l'alternance chez MacLaren-Mercedes qui veut donner chances égales à ses deux poulains. C'est de ce départ pris «de force» par Lewis Hamilton devant Fernando Alonso que ce dernier a voulu se venger, mais d'une façon absolument anti-sportive, complétement indigne d'un champion.

Décidément, la Formule 1, comme bien des milieux où on favorise la compétition (excessive ou non — sportive ou non), comporte son lot de comportements crapuleux qui visent à écarter de très bons éléments.

Heureusement, dans le cas de la F1, la FIA a pénalisé Alonso avec justesse : pénalité qui lui a coûté cher dans la course au championnat. Mais pénaliser aussi l'écurie était inconvenant à mon humble avis : ça n'a rien à voir.

Patio en bois...

Me revoilà après une autre absence. Physiquement, j'étais absent, à l'extérieur, pendant quelques jours.

Par la suite, on a décidé de clancher la préparation du patio qui est dû pour être teint. Mais auparavant, fallait faire quelques réparations et préparer les surfaces par un bon nettoyage, ce qu'on a terminé hier, sous la pluie fine de début d'après-midi...

En additionnant toutes les heures consacrées à la préparation par les trois personnes qui y ont oeuvré, on arrive à la rondelette somme d'environ 35 heures d'ouvrage. Ne reste plus qu'à teindre, mais ce matin, malgré le très beau temps, le bois est encore humide du lavage-frottage de la veille...

Et ici, on ne parle que de patio, comme dans le cas de Christian (Voir ici aussi). Imaginez des travaux de l'ampleur de ceux chez Nathalie et Michel !