Voilà le genre de personnage qu'était Andrée Boucher, dite «La Mairesse» tout court.
Ce genre de personnage très très entier attire des réactions tout aussi entières. On aime ou on haït, carrément, sans nuance ou presque. Ce genre de personnage n'a pas la tiédeur qu'on reproche trop souvent aux politiciens, car ici on parle de convictions (parfois trop?) profondes, d'idées, de plan défini qu'on va vraiment suivre, etc.
Comme ce genre de personnage est devenu d'une extrême rareté, voilà pourquoi Québec s'ennuiera autant. C'est cet aspect de La Mairesse qui va manquer dans le paysage. Jusqu'à ce que, enfin!, nous ayons un autre personnage du genre un jour, si le moule n'est pas complètement cassé...
Plus grand que nature fait aussi référence à la caricature qui est, par définition, quelque chose qui comporte aussi une exagération quelconque. Ygreck s'ennuiera donc, lui aussi.
D'ici là, on assistera au traditionnel temps des hommages auquel je souscris (en partie). Mais j'ai «hâte» de voir ce que sera l'après-mairesse, dans le monde de la politique municipale pré-400e à Québec...
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire