S'il y a une expression qui m'énerve (et non qui m'excite, soyons clairs !) , c'est bien celle-là. Et on l'entend dans toutes ces pubs-presque-arnaques qu'on voit à outrance, à la télé, surtout.
On peut faciliter un paiement, un gros, en le subdivisant en plusieurs versements. Mais expliquez-moi quelqu'un en quoi des paiements (au pluriel) peuvent être faciles. Les versements (au pluriel) facilitent le paiement de quelque chose qu'on ne pourrait s'offrir autrement, d'accord. Mais les versements (terme correct, au lieu de paiements au pluriel) ne peuvent être faciles en eux-mêmes... Voilà !
Bref, les versements ne sont pas faciles, mais ils facilitent quelque chose, le paiement.
Bon, OK. Je l'ai dit, je me sens mieux : alors allons travailler maintenant. Oui je sais, c'est samedi, mais j'ai un petit extra musical aujourd'hui...
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3 commentaires:
Ma blonde a la même urticaire. C'est drôle que tu en parles, car elle m'en parlait encore hier.
Irritant pour irritant, ce qui me fait grimper dans les rideaux, depuis quelque temps, c'est l'abus du «parfait!» dans le commerce.
- "Est-ce que tout était à votre goût, Monsieur?"
- "Trés bien, merci."
- "Parfait!" (Non, merde... ce n’était pas parfait! seulement "très bien").
«Parfait!» par-ci, «parfait!» par là... j'sus p'us capable! Est-ce si difficile de varier son vocabulaire?
Peut-être est-ce là la nouvelle grille d'évaluation proposée dans la réforme... du commerce ? ;-)
Toi Sylvain tu es assez «grand» pour comprendre tout ça mais imagines-toi donc qu'il y a des poissons qui mordent à ces hameçons...
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