Plus ça change, plus c'est pareil, nous dit souvent l'Histoire. C'est ce que conclut Monsieur A sur son blogue dans le billet suivant qui se veut une lettre adressée aux jeunes de l'an 2034 : original et intéressant.
«...succès ou échec. C’est ce qui définit la capacité d’un élève. Capable ou non.»
Le problème, c'est la définition du capable quand vient le temps d'écrire un texte s'apparentant à un conte par exemple. Capable, ça prend quelle forme sur le papier?
Il est évident qu'avec une telle "largeur" de signification, le flou "artistique" s'installe et il est difficile de communiquer quelque chose de compréhensible, même si d'instinct, on peut arriver à une évaluation somme toutes cohérente, si on est de type intuitif. Mais encore faut-il pouvoir concrétiser cette intuition, afin de valider ou blinder la communication qui sera faite par la suite, cequi est beaucoup moins évident quand le cadre est si flou que "capable ou non".
En d'autres mots moins théoriques, je peux facilement savoir (presque d'instinct en le voyant foncitonner) si Ti-Pit est capable, s'il a de la difficulté en grammaire ou en syntaxe, etc. Mais je ne peux justifier une intuition sans la valider concrètement dans une évaluation (on disait examen autrefois) plus formelle.
Voilà pourquoi il faut être capable (!) de l'objectiver par la suite. (J'ai bien aimé votre paragraphe sur l'évaluation holistique dont la maîtrise est souvent insuffisante par certains enseignants, etc. : j'y reviendrai vraisemblablement plus tard).
4 commentaires:
«...succès ou échec. C’est ce qui définit la capacité d’un élève. Capable ou non.»
Le problème, c'est la définition du capable quand vient le temps d'écrire un texte s'apparentant à un conte par exemple. Capable, ça prend quelle forme sur le papier?
Il est évident qu'avec une telle "largeur" de signification, le flou "artistique" s'installe et il est difficile de communiquer quelque chose de compréhensible, même si d'instinct, on peut arriver à une évaluation somme toutes cohérente, si on est de type intuitif. Mais encore faut-il pouvoir concrétiser cette intuition, afin de valider ou blinder la communication qui sera faite par la suite, cequi est beaucoup moins évident quand le cadre est si flou que "capable ou non".
En d'autres mots moins théoriques, je peux facilement savoir (presque d'instinct en le voyant foncitonner) si Ti-Pit est capable, s'il a de la difficulté en grammaire ou en syntaxe, etc. Mais je ne peux justifier une intuition sans la valider concrètement dans une évaluation (on disait examen autrefois) plus formelle.
le problème est que ce type de mesure est subjective, propre à votre personne.
Voilà pourquoi il faut être capable (!) de l'objectiver par la suite. (J'ai bien aimé votre paragraphe sur l'évaluation holistique dont la maîtrise est souvent insuffisante par certains enseignants, etc. : j'y reviendrai vraisemblablement plus tard).
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